Faut Il Compter Sur Autrui Ou Avec Autrui

LA NOTION DE FAUTE « Nul n’ayant le droit de nuire à autrui, en principe, tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer ». Ce considérant affirmé par le Conseil constitutionnel dans un arrêt rendu le 22 octobre 1982, reprend l’article 1382 du Code civil lequel pose comme fait générateur de l’engagement de la responsabilité civile délictuelle la faute. Au regard de ces deux textes donc, il est clair que la faute

ne peut atteindre la sagesse qu'en s'interdisant les plaisirs. cette maxime renvoie à la religion Chrétienne qui interdit le plaisir car celui-ci est assimilé au péché. Aussi le plaisir est considéré comme mauvais compte tenu du fait qu'il ne s'éprouve que sur l'instant et relève du domaine des sens. Cette conception est critiquée par Spinoza qu’il qualifie de "farouche ", sauvage et «  triste ». Selon

donc l’acte interdit par la loi. Il faut donc un acte positif de la part de l’agent. On se demande comment reconnaitre les deux types d’infraction ? C’est le Législateur qui va définir, préciser quel est le type de l’infraction. Donc, si on veut connaitre le type d’infraction, il faut regarder dans la loi, et dans le code. On regarde la manière dans laquelle le Législateur définit l’infraction. Ex. art. 221-1 CP « Le fait de donner volontairement la mort à autrui constitue un meurtre. Il est puni

LE LANGAGE Notions de philosophie, Kembouchner (dir.), INTRODUCTION Montaigne : le langage ne compte pas, mais il n'est rien qui compte davantage Essais I XXVI, Pléiade p205 => deux architectes présentent leurs projets aux Athéniens, l'un prononce un discours brillant, l'autre dit simplement "Ce qu'il a dit, je le ferai." Lequel choisir? Le discours du premier pourrait n'être que cosmétique, pure apparence; celui du second, sait que l'important est dans ce qu'on dit, non dans ce qu'on

rapport à autrui et donc « l’autre ne peur manquer que dans et pour un être-avec ». L’existence humaine est toujours déjà coexistence. Pour Kant, nous reconnaissons l’autre non pas parce qu’il nous est similaire, mais parce qu’il nous est moralement supérieur : « Mon esprit s’incline ». la reconnaissance de l’humanité de l’autre serait donc dictée par un sentiment moral produit par la raison : le respect. Néanmoins, Hegel souligne que la conscience est surtout avide de conscience et il lui faut dès

collation, je me suis rendue compte que les élèves, bien qu’adorant manger des fruits, ne connaissent pas leur nom, ni leur aspect entier. C’est pour cette raison que j’ai mis en place dans cette classe de Petite Section, cette progression transdisciplinaire nommé « Les fruits » qui évolue selon 3 axes : 1. La découverte du fruit à travers son image, et son goût 2. La reconnaissance du fruit à partir de ces mêmes éléments 3. Le partage des connaissances acquises avec autrui grâce à l’écrit. De nombreux

d’une éthique agissante. Cette intention éthique se manifeste par l’interaction entre les trois pôles du triangle éthique de Paul Ricœur : le « je », le « tu » et le « il », c’est-à-dire la recherche de la « vie bonne » (« pôle-je »), avec et pour autrui (« pôle-tu »), dans des institutions justes, une société qui impose les limites (« pôle-il »). Enfin, la mise en œuvre des actes dans le cadre de l’éthique expriment une compréhension, un don offert au soigné sans autre but que lui-même. Le soin

libre ? L’absence de choix, et donc de contraintes en suivant toujours sa volonté nous rend-t-elle plus libre ? Être libre est ce respecter autrui en ne faisant pas ce qui nous plait sans réfléchir mais en faisant ce que l’on veut ? Finalement, pouvons nous affirmer que être libre se résume a faire ce qui nous plait ? Ou bien devons nous admettre qu’il faut faire ce que nous voulons pour être libre ? Pouvons-nous donc dire que faire ce que nous voulons et aussi faire ce qui nous plait ?

exemple) avec les autres, rire, chanter, tout ce qui procure un sentiment de complétude et qui rend heureux. La cité est plus bonheur que malheur. Si l‟homme est un « animal civique », il est donc côte à côte avec autrui et dont il doit comprendre, ne pas vexer, aider… . Il faut d‟abord qu‟il se comprenne avant de comprendre l‟autre. Parmi ces choses dont l‟homme doit comprendre, jusqu‟en avoir la maitrise, il y a : LE CARACTERE. Les dictionnaires français le définissent comme un ensemble

sensible à ses attitudes, à s’intéressant à lui • La non congruence avec chaleur mais sans implication émotionnelle excessive ».5 • L’inconséquence (non respect des rendez-vous, retard…) • Ressentir l’aidant comme congruent, authentique • Compter sur l’aidant en tant que personne « réelle » • Sentir que l’aidant est axé sur les potentiels, centré sur lui aidé en tant que personne • 5 Sentir l’empathie Résultats d’une recherche de Fiedler, op cit P.33 II. Quelques concepts développés