Faut Il Consommer Ou épargner Pour Relancer La Production

conséquence d’une politique économique . . . . . . . . . . . . . . 2.1.1 2.1.2 2.2 Le deficit budgetaire peut soutenir la demande . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le déficit budgetaire peut soutenir l’offre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La relance économique par le déficit public : Exemples concrets . . . . . . . . . . . . . CONCLUSION ANNEXES Exposé d’Economie: deficit publique et gestion de la politique économique Par YANKAM et EHOUMAN c ENSEA 2010 RESUME Il est clair que

satisfaction que procure les biens lorsqu'ils sont consommés, on leurs attributs une valeur. D'autres notions mesurent la valeur comme la rareté et la quantité de travail nécessaire à la production du bien. - la notion d'utilité. L'utilité est subjective donc différente et propre à chacun. Il existe la loi de Gossen ou de décroissance de l'utilité marginale. C'est une approche mathématique qui consiste à dire que plus le bien ne sera consommé par une même personne, plus son degré d'utilité diminuera

Marché des titres La rotation sectorielle observée depuis janvier 2009, vous paraît-elle conforme à la théorie ? Crise Mondiale, Récession, Reprise, Chômage, Plan de Relance Economique, Dette,… Depuis maintenant deux ans, la crise financière a bouleversé la situation économique mondiale. A coup de chiffres et de millions, économistes et politiciens s’attèlent à analyser et à réguler l’évolution de l’économie mondiale. L'année 2009 a été marquée par le retour de la croissance après une récession

ou sur une seule idée ; il est indispensable de mener des études et analyses. Le marketing, une nouvelle donne *Différence entre la démarche marketing et la démarche production : - Après la guerre : besoins très importants et simples : Entreprise => Consommateur - Offre de moins en moins importance puis supérieure à la demande, il faut des nouvelles méthodes pour des nouveaux besoins : Consommateur => Entreprise => Consommateur Pourquoi faire du marketing 1 *Des consommateurs de plus en plus

productif supplémentaire, décourage la production, les revenus, l’épargne, l’activité en général. La baisse de la pression fiscale devrait libérer les forces productives, et provoquer une progression de la production: par là même, la matière imposable augmentera, et le rendement de l’impôt aussi, tout en étant plus léger en pourcentage des revenus. Cette analyse rejoint le courant de l’économie de l’offre, parce qu’elle vise à agir sur l’activité du côté de la production au lieu de manipuler la demande

la croissance augmente et qu’il y ait plus d’emplois: il faut vendre. Le besoin est donc une notion évolutive. Les besoins sont largement subjectifs et assez souvent interdépendants. B) La notion de bien économique Un bien peut être un service. L’économie d’aujourd’hui est de plus en plus une économie de services. Il y a des biens matériels et des biens immatériels. Un bien: on reconnait deux caractéristiques à un bien économique. Il faut combiner deux notions: utilité et rareté. Bien économique:

beaucoup plus complexe. La production génère des revenus qui sont à l'origine d'une demande, mais tous ces revenus ne sont pas réinjectés dans le circuit (comme l'affirmait Say) : les entreprises constituent une trésorerie pour faire face à l'amortissement du capital fixe, les ménages épargnent une fraction de leur revenu... rien n'indique que ces sommes seront investies de manière productive. Dès lors, il peut exister un équilibre de sous-emploi des facteurs de production, une surproduction à la fois

Cela fonctionne grâce à des mécanismes d’incitations (permis à polluer, bonus-malus). Confiance dans la capacité d’innovation du capitalisme Rapport Stern de 2006. Ecole hétérodoxe : On ne peut pas donner de valeurs à certains biens naturels, il faut donc s’abstenir d’exploiter ce capital naturel, et préserver un minimum vital. Elle rejette la théorie de la substituabilité des facteurs au profit de leur complémentarité. Cette école prône généralement la Décroissance. Les politiques économiques

agrégats économiques. SI) Les questions macro-économiques : Les questions macro-économiques essentielles ont trait à : * La croissance économique à long terme et au développement. * Les fluctuations économiques et en particulier la baisse de la production et de l’emploi. * La stabilité des prix c’est à dire la maitrise de l’inflation. Toute fois la macro-économique s’intéresse à l’interrelation entre l’économie nationale et le reste du monde. Le commerce international et les mouvements de capitaux

sort de la planète. D’abord, c’est contrevenir aux lois. En France, M. Dupont qui a retiré tout son argent n’aurait plus les moyens légaux de s’acheter une voiture puisque les paiements en liquide sont plafonnés à 3.000 euros hors taxes. Au-delà, il faut payer par chèque, par virement ou par carte, ce qui nécessite d’avoir une compte dans une banque. Mais dira-t-on, que ne change-t-on ces lois-là favorables à la finance! OK. Mais c’est oublier que les banques jouent un rôle social utile de sécurisation