Faut Il Consommer Ou épargner Pour Relancer La Production

Sous-partie I- Les facteurs de production Chapitre I- Le Capital Section I- La formation du capital technique ou l'Investissement. I- Les différentes formes d'investissement II- Les facteurs qui déterminent le volume des investissements Section II- Les sources de financement des investissements. I- Les formes d'épargne II- Les facteurs qui agissent sur le volume de l'épargne III- Les motifs qui poussent à l'épargne Chapitre II- Le Travail Section I: Les instruments d’analyse démographique

semaines pour garantir le système bancaire, puis les plans de relance de l’économie, ont brusquement relégitimé l’intervention économique de l’Etat et la dépense publique. Force est de constater que celle-ci prend néanmoins le visage d’un retour de l’Etat maître du jeu, aux méthodes peu renouvelées. De plus, l’ampleur et le caractère systémique de la crise font que, aussi inattendues et apparemment novatrices soient-elles, les tentatives de relance actuelle ne parviendront pas à enrayer son extension et

D’UNE ECONOMIE A. Introduction Pour produire des biens ayant une valeur et les répartir on utilise des ressources rares. On évolue dans un monde de rareté rempli de biens économiques. Rareté : état où les biens sont en quantité limitée. Il faut qu’une économie fasse le meilleur usage de ces ressources  efficacité. Ce meilleur usage désigne l’utilisation la plus efficace possible des ressources d’une société pour satisfaire les souhaits et les désirs des individus. Smith est considéré comme

d’endettement : financement de l’éco qui passait par les banques et la création monétaire. Tensions inflationnistes intensifié par les chocs pétroliers : l’inflation atteint 15%. Cette inflation pose un certain nombre de problème. On cherche à la casser donc il faut stopper la création monétaire et donc on monte les taux à un niveau tel que la création monétaire est interrompu et l’inflation effectivement cassé. Conséquence : cela est défavorable à la croissance car plus d’investissement. De plus, emprunt à taux

sont non moins visibles. Son extension au monde entier semble loin de profiter à tous. Il peut laisser inemployées des forces productives ou les gaspiller. Il détruit souvent autant qu'il crée, qu'il s'agisse de l'environnement, de capacités de production ou de modes de vie antérieurs. Pourtant, les forces du marché, si puissantes soient-elles, ne sont pas livrées à elles-mêmes. La société peut les encadrer, les infléchir ou les compléter. Les choix politiques n'ont donc pas disparu du champ de

politique est ainsi attribué a Montchrestien dans son ouvrage traité de l’économie politique en 1615 avec les physiocrates le terme garde son sens de gestion publique mais s’enrichie d’une référence à une science de l’organisation économique de la production et de la redistribution. Chez Adam Smith en 1776 ou dans l’ouvrage de John STUART MILL 1848 principe d’économie politique, il désigne la science économique en générale avec l’idée implicite que la politique influence les variables économiques ;

cumulativement et durablement son produit réel global. (def de François Perroux) Principaux changements : - économique : industrialisation, tertiarisation, hausse qualification, hausse prod, baisse tps de W, hausse pvoir d’achat, changement de manière de consommer (loi hengel : quand revenu augmente, la part consacrée à l’alimenta° baisse), améliora° loisirs/santé/nvelle technologies/transport - sociaux : alphabétisation ; hausse espérance de vie à la naissance, baisse mortalité infantile, baisse fécondité

effet une économie permettant un développement planétaire plutôt que régionalisé et réservé à une faible partie de la population mondiale. Pourquoi donc cette demande de la part du chef de l'état français et donc du pouvoir politique en place ? Il faut rappeler que l'économie se définit comme la science des choix (de la nécessité de satisfaire avec des ressources limités des besoins quant à eux illimités) et que le mot politique vient du grec politikè (« science des affaires de l'État »). La politique

diagnostic établi, il doit définir les priorités que sa politique va adopter. En effet, une politique économique ne peut être axée que sur certains objectifs principaux (parmi les plus courants figurent la lutte contre le chômage, la tentative de relance de la croissance, ou encore la lutte contre l'inflation), les autres objectifs étant du coup nécessairement relégués au second plan, ou négligés. L'État doit ensuite décider des outils qui vont lui permettre de mettre en œuvre son action pour atteindre

l’ensemble de ces idées) « le négociant porte son effort vers le gain qui introduit la cupidité dans le cœur des citoyens ». La propriété privée est donc licite car elle rapporte un meilleur soin à son bien propre. Pour réconcilier morale et commerce, il faut tenir compte de l’intention. Ainsi, si le commerçant vise à subvenir à ses besoins ou à prodiguer la charité, son activité sera légitimée. Il doit donc pratiquer le juste prix c’est-à-dire le prix qui ne cherche pas à tirer profit du besoin de l’acheteur