Faut Il Diminuer Les Prelevements Obligatoires

entreprise et plus généralement d’une nation dépend de plusieurs facteurs. L’intervention de l’Etat et donc les dépenses sociales représentent certes des sommes importantes mais cela joue un rôle mineur dans le fonctionnement des entreprises. Il ne faut tout de même pas oublier que la France est une économie ouverte. L’extérieur a un effet important dans le comportement économique d’un pays. Par exemple, une politique d’austérité menée dans les autres pays aura des conséquences sur l’économie et la

est de ne rien faire car le partage de l VA est un mécanisme de marché fondamentale. La deuxième option serait d’inciter fiscalement un partage de la VA jugé plus favorable à la croissance moins inégale, il existe une marge de manœuvre fiscale ou prélèvements sociaux mais avec une limite qui est la concurrence fiscale à l’échelle de l’Europe. La troisième option est d’agir sur certaines catégories tel que les bonus. La quatrième option, les marges de manœuvre en matière de politique de revenus sont

l'épargne du revenu relatif ou du revenu permanent, donc d'éléments liés au patrimoine. § II- Question des formes et des motifs de l'épargne (des ménages). II-1) Les typologies • Place des différentes formes d'épargne Revenus primaires Prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) + Revenus de transfert = Revenu disponible Dépense de consommation finale Investissement en logement (accumulation réelle) Épargne forcée, sociale Épargne (libre, individuelle) Capacité de financement

------------------------------------------------- * L’agence biomédecine ------------------------------------------------- L'Agence de la biomédecine est un établissement public national de l'État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement et de la greffe d'organes, de tissus et de cellules, ainsi que dans les domaines de la procréation, de l'embryologie et de la génétique humaines. ------------------------------------------------- L'Agence de la biomédecine met tout en œuvre pour

poids de la fiscalité dans les économies modernes. Son importance est liée au poids des prélèvements obligatoires. Ces derniers correspondent à la part du revenu national qui transite par un processus de perception et d’affectation collective et obligatoire, dont l’impôt constitue la part la plus importante. Malgré les tentatives de réduction du poids des impôts, on constate que ces derniers n’ont pas diminué. Ce constat largement partagé par les spécialistes laisse entendre que le phénomène fiscal

conduit à une hausse des prélèvements obligatoires, qui vient freiner les tensions inflationnistes dues à une demande trop élevée. B. Soutien de la demande En prélevant un impôt sur un ménage à revenu élevé, on ne réduit pas sa consommation, mais seulement son épargne. En attribuant la somme prélevée à un ménage à revenu faible, qui dépense en général la presque-totalité de son revenu, on augmente sa consommation. Au total, la consommation des ménages à haut revenu ne diminue pas (ou très peu) du

revenu disponible Cf fiche redistribution La redistribution c l’ensemble des opérations permettant de passer du revenu primaire o revenu disponible des ménages. Le revenu disponible=revenu primaire (impots – cotisations sociales)prélèvements obligatoires + prestations sociales (=env 1 /3 des ressources des ménages modestes) Le revenu dispo est soit consommé soit épargné (taux d’épargne =16%) II -/ Objectifs de la redistribution objectif d’assurance assurance contre la maladie,le

sociales dans cette logique assurantielle sont financées par des cotisations dont l’assiette est les salaires (cotisations sur les salaires) et donc a priori la prise en charge de ces risques sera réservée à ceux qui cotisent. Pour avoir des droits il faut avoir cotisé. Une logique d’assistance : ayant pour objectif d’instaurer une solidarité entre individus afin de lutter contre les différentes formes de pauvreté. Cette logique va consister à assurer un revenu minimum qui ne couvre pas forcément

Quelques notions et conceptions nécessaires à l’analyse macroéconomique 2 III. Histoire stylisée des victoires et déboires des différentes approches théoriques 4 IV. Keynésiens et néoclassiques 5 Chapitre 1.2 : Revenus, inégalités, prélèvements obligatoires, redistribution 7 I. Revenus et distribution des revenus 7 II. Principes de redistribution 9 III. Les principes de la fiscalité 9 IV. Le système fiscal français 10 Chapitre 1.3 : L’arbitrage entre la consommation et l’épargne

hausse des impôts ou une baisse des dépenses publiques ainsi que l’augmentation des taux d’intérêt. COMMENT L’ETAT AGIT I. Quelles peuvent être les situations économiques auxquelles l’État doit faire face ? Avant toute politique économique, il faut déterminer (qualifier) la situation dans laquelle se trouve l’économie d’un État. Quatre situations conjoncturelles peuvent être recensées : – expansion : situation où le PIB augmente (sur une courte période) ; – stagnation : situation où le PIB