Faut Il Etre Optimiste

Candide retrouve Cunégonde et la Vieille. Cependant, son amoureuse est devenue laide et acariâtre. Candide respecte tout de même ses engagements et décide de l’épouser. Candide achève enfin son voyage. La morale du récit du jeune candide est qu’il faut : « cultiver notre jardin ». III. Personnages principaux : i. CandidePortrait morale l.2-5 p.11Candide n’est pas décrit physiquement. Nous savons seulement qu’il « avait le jugement assez droit, avec

l’opposé est le camp des pays optimistes qui exposent plutôt que la présence de ces armes amènerait une certaine stabilité dans les relations internationales, dans le sens que si un pays menace un autre d’utiliser les armes contre lui, ce dernier reculera et sera prudent dans ses prochaines relations avec lui. Ces deux points de vus sont exposés dans la citation suivante : «In recent years, the debate has been divided between the proliferation pessimists and the optimists. Pessimists state that the

discours des fétiches (tous les hommes sont frères) et le traitement qu’ils font subir aux esclaves Décalage entre l’Optimisme et la réalité des faits soulignée par la réplique finale de Candide, qui pointe le caractère illusoire de la philosophie optimiste : « la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal » En multipliant les éléments de décalage, Voltaire fait sentir à quel point l’esclavage résulte aussi d’un décalage, entre la civilisation, ses ambitions, et le sort qu’elle fait subir

Dissertation de philosophie. « Le mal général ne peut être que dans le désordre, et je vois dans le système du monde un ordre qui ne se dément point. » Rousseau, La profession de foi du vicaire savoyard. La question du mal, pierre d’achoppement de nombreux systèmes philosophiques, devait naturellement trouver sa place dans l’œuvre de Rousseau et la théodicée qu’il tente d’établir dans la Profession de foi du vicaire savoyard. Comment, dans un monde qu’il estime globalement parfaitement ordonné

avant de montrer comment il met soigneusement en place tous les ingrédients d’un « happy end ». Jusqu’à la dernière ligne du roman, Zola maintient pour le lecteur l’hésitation entre une possible fin heureuse et un dénouement moins optimiste. Il s’avère donc être maitre du suspense en faisant se succéder dans un dernier passage deux situations conflictuelles, en usant du retournement de situation, et en jouant sur la confusion des sentiments de ces personnages. Dans ce passage, le lecteur assiste

ironique : tout le livre raconte la vie horrible d’un homme, Candide, qui est optimiste et naïf au début du livre et qui ne l’est plus du tout à la fin. Il est même dégouté de l’humanité. Le thème principal pourrait être, la place de l’argent dans la société. Voltaire essaye de montrer que les hommes sont dépendants de l’argent et que ce dernier ne les rend pas plus heureux. Il semble tenter de nous convaincre qu’il ne faut pas compter sur la chance ou le hasard pour avancer. Maintenant la composition

autre homme. Il est moins terre à terre que Cacambo mais il est très généreux, trop même. Il incarne l’humaniste qui malgré ses bonnes intentions est la victime de notre société cruelle. On peut voir que l’absence de réalisme de ce personnage peut être mortelle. Il aide néanmoins grandement Candide. • Vanderdendur, négociant escroc. • Abbé périgourdin : C’est un parasite qui vole Candide par supercherie et en l’emmenant chez une amie qui le dépossède autant. Résumer : Candide est un

Donc il ne faut pas rire avec n’importe qui. Le temps et le lieu sont aussi très importants car nous devons respecter l’instant et le lieu où nous pouvons rire. Il ne faut pas non plus rire pour stigmatiser ou pour humilier car il y en a qui peuvent se sentir blessé et d’autres encore peuvent trouver cela drôle. Dans ce cas là, il faut faire attention à distinguer ce qui est drôle et ce qui ne l’est pas. De plus, si on n’est pas drôle, on peut être mal vue par les autres. Du coup, il faut savoir rire

« métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie », autant dire une pseudoscience. Effectivement Voltaire tend à nous démontrer tout au long du roman que l’optimisme peut-être affirmé seulement au prix d’erreurs de raisonnement car l’expérience prouve l’omniprésence et l’universalité du mal. « Il est aussi démontré (disait Pangloss) que les choses ne peuvent être autrement : car tout étant fait pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin ! » Pangloss pousse sa logique jusqu’à l’absurde : « Les malheurs

Cette philosophie est reprise par la phrase : « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. » qui est récurrente tout au long de l’œuvre. Pour Leibniz il y a une harmonie préétablie par Dieu. D’après lui le monde est exactement comme il devrait être, puisque Dieu le veut ainsi. Il n'y a pas de meilleur monde que celui ci. Voltaire dénonce cette philosophie à travers le personnage de Pangloss, un défenseur ridicule de celle-ci. Cette philosophie est déjà présente au début du roman quand Pangloss