Faut Il Opposer Raison Et Croyance

principalement, sur sa condition d’être humain et sur sa raison d’être. Son besoin de connaissance est immense et va croissant. Dès qu'une question est résolue, une autre, dix autres surgissent. La Religion comme la Science sont nées et ont traversées les siècles alimentées par cette curiosité humaine intarissable à vouloir trouver « des réponses ». La religion, la première, a tenté d'en apporter sous la forme de certitudes fondées sur la croyance en l’existence d’une entité supérieure. Puis la science

eudémoniste », mais pour l’atteindre il faut agir. Pour Epicure, il y quatre remèdes pour « prendre soin de son âme » et expose aussitôt ces quatre remèdes. Le premier est de ne pas craindre les dieux, le second est de ne pas avoir peur de la mort et enfin le troisième et le quatrième remède est de se dire que le bonheur est facile à obtenir et la douleur facile à fuir en faisant un tri parmi ces désirs. Ce texte traite donc du but de la philosophie, de la mort, de la croyance au dieu et du tri des désirs

dialogue de l’âme avec elle-même » (Théétète) : un discours qu’elle entretient avec elle-même sur les choses qu’elle examine. Elle ne fait rien d’autre que de dialoguer avec elle-même, se faisant les demandes et les réponses, affirmant et niant. Il ne faut jamais ignorer que la philosophie est au service du vrai dans la mesure où elle est une démarche au service du vrai, c’est à dire que la démarche est constitutive de l’acte de philosopher, par l’étonnement. « C’est tout à fait l’état d’un philosophe

Une fois le préalable à toute méthode donné, (il faut faire de la philosophie), Epicure ennonce des conditions négatives au bonheur : ne pas craindre la mort et les dieux. Elles sont négatives, car la crainte de la mort, comme des dieux sont des passions. Comme toute passion (cf les stoïciens) elles troublent mon esprit. Elles empèchent l’exercice de ma raison, qui ne sait plus distinguer quels sont les désirs possibles à réaliser et qui correspondent à un vrai besoin du corps. Elles favorisent

de liens sociaux. Le politique c’est la forme de lien qui englobe la totalité des individus. Il englobe la multitude d’individus. Il y a une société avec des buts et des valeurs différentes (différence et contradictions). Pour qu’il fonctionne, il faut qu’il y est une valeur commune à tous. Cette valeur c’est l’existence de la société elle-même. Le politique permet de donner forme a se souci pour la préservation de la société. Le politique est ce par quoi la société existe. Le politique c’est donc

les systèmes religieux des civilisations anciennes ou de sociétés traditionnelles, éloignées dans l'espace ou dans le temps. Ce terme ne désigne pas n'importe quel récit fabuleux, mais un récit tenu pour vrai, dans un système de croyances déterminées, en apparence opposé au discours rationnel. Le mythe apparaît comme l'expression d'une pensée symbolique, en relation avec la totalité du psychisme humain, l'histoire et les préoccupations communes des hommes : "tout l'humain est engagé dans le mythe"

AVJC), distinction entre lois naturelles et lois conventionnelles (ou normatives) 1. L'artificialisme social des sophistes (fin 5ème siècle et début 4ème siècle AVJC). Protagoras : «L'homme est la mesure de toute chose.» • 2 concepts se sont toujours opposés jusqu'à aujourd'hui : une conception harmonique du sociale contre une conception conflictuelle. II. De la Renaissance aux Lumières. Rappel : les périodes historiques; Antiquité, Moyen-Âge, Temps Modernes, Époque contemporaine. A. Diversité

illusion ? B) Repérer les notions du programme en jeu dans le sujet : la liberté, la conscience et l’inconscient, le désir. C) Problématiser le sujet : Si tout individu éprouve un sentiment immédiat de liberté, cette conviction renvoie-t-elle à une croyance illusoire ou à une véritable connaissance de soi ? L’objectif consistera donc à faire la part de ce qui relève d’une liberté réelle, repérable, de ce qui relève d’un désir infondé de liberté, dans un souci de lucidité et de vérité. D) Mobiliser des

sociale de la vérité o 5.3 La métaphysique + 5.3.1 Être et devenir + 5.3.2 La volonté de dénigrement + 5.3.3 Les critères idéalistes de la connaissance + 5.3.4 Critique de la raison + 5.3.5 Théorie du langage o 5.4 L'erreur originelle * 6 Culture et législation o 6.1 Critique de la culture moderne + 6.1.1 Critique de la philosophie universitaire + 6

n’était physique mais psychique. 2) Le refoulement Mais le récit de ces souvenirs est toujours difficile, comme si le malade refusait malgré lui de les évoquer en pleine conscience. Freud en déduit que cette résistance que le malade oppose au retour à la conscience des traumatismes pathogènes ne fait qu'un avec la force qui les a refoulés dans les profondeurs de l'oubli ou de l'inconscient. Mais pourquoi y a-t-il refoulement? C'est parce que, répond Freud, ce qui est refoulé représente