Faut Il Plaire Pour Instruire

et lui apprend les difficiles étapes de la vie amoureuse auxquelles il faut résister. -L’amour n’a pas de limites et rien ne l’arrêtera, on est prêt à tout pour se marier. Exemple : Dans Cinna de Corneille, Cinna est amoureux d’Émilie, pour cela, elle lui demande de tuer Auguste sans quoi elle ne l’épousera pas. Cinna organise un complot pour assassiner l’empereur. Le théâtre est fait pour plaire et également pour instruire, entre, autre une pièce classique du 17ème siècle telle que Cinna était

menacent de désorganiser la vie de famille, d’heureux hasard y mettent bon ordre. Dès 1630, des théoriciens de la littérature élaborent des règles : Instruire et plaire Produire une œuvre « régulière » et conforme aux exigences de la raison et de la morale Imiter les anciens S’inspirer de la nature, traits essentiels et permanents. Il faut également respecter d’autre règle pour la tragédie : Les bienséances La règle des trois unités : unité de temps, unité de lieu, unité d’action

utilise souvent le monde animalier pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement à l’idéal classique de brièveté, et du « plaire et instruire ». Cette fable nous conte les ravages causés par la peste, qui est vue comme un châtiment divin. Les animaux pensent qu’il faut sacrifier le plus coupable d’entre eux pour que l’épidémie s’arrête. À la fin, il y a une morale sur l’injustice qui caractérise les relations entre les puissants et

l’humour et l’ironie sont les registres les plus fréquemment employés, même lorsqu’il s’agit de traiter de sujets graves et pathétiques, ce n’est pas le cas de ces 5 textes. Pourtant les Lumières pensent que s’il faut éclairer et instruire le lecteur, il faut aussi avant tout lui plaire. De par leur nature (déclaration, encyclopédie) les textes proposés sont abordés de façon concrète et sérieuse, nous sommes loin des fables. Dans « Qu’est ce que les Lumières ? » le dialogue d’enseignement a une visée

première définition structurale que l’auteur évoque est la suivante : la littérature est une fiction (une histoire peut certes relater un fait réel, mais nous la lisons tout de même « comme » de la littérature). La deuxième est celle-ci : « plaire » l’emporte sur « instruire ». La littérature doit être autotélique (une activité est autotélique lorsqu’elle est entreprise sans autre but qu’elle-même). On observe alors une organisation rigoureuse et, parfois, l’emploi de mécanismes identiques. ➢ Dans un

communication. Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire et dénoncer par le biais de leur œuvre. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. Ainsi, ils veulent éveiller la curiosité et la sensibilité du lecteur et provoquer son adhésion à leur œuvre. «  Il y a certaines vérités qu'il ne suffit pas de persuader, mais qu'il faut encore faire sentir. Telles sont les vérités de morale

Madame de La Sablière, qui s'était retirée aux Incurables en 1685, meurt en janvier. Tombé gravement malade mi-décembre 1692, La Fontaine reçoit l'extrême-onction en février 1693. Pressé de revenir sur sa vie dissolue, il confesse publiquement ses fautes devant une délégation de l'Académie .Il aurait alors renié ses contes et promis de ne plus en écrire. Rétabli, il se retire chez son ami d'Hervart, conseillé au parlement de Paris, fils d'un puissant financier qui avait été contrôleur général des

Port-Royal en 1710. Les règles du classicisme: Les oeuvres classiques sont soumises a des règles élaborées par des théoriciens des 1630. Les écrivains doivent produire une oeuvre répondant aux exigences de la raison et de la morale. Plaire et instruire sont les règles d'or. La représentation des personnages sert a corriger les moeurs. Les auteurs doivent imiter les anciens dont la supériorité est incontestable. D'autres parts nous avons la règle de la bienséance , on ne doit pas représenter

Le loup et l’agneau est une fable écrite par Jean de Lafontaine à la fin du 16ème siècle. A cette époque classique deux ambitions prédominent : instruire et plaire. Soucieux de remplir ces critères Lafontaine dénonce la société de son temps et notamment les injustices sociales qu’engendre la monarchie absolue, de façon dissimulée puisque ses personnages sont des animaux. Romain Roland écrit le roman Jean Christophe au début du 20ème où, bien que la royauté ait disparue, de fortes inégalités subsistent

court et souvent distrayant. L'avantage de la transposition : grâce au symbolisme animalier, le lecteur saisit mieux ce qui est dit et ne se sent pas de prime abord concerné par la moralité. Chez la Fontaine particulièrement, la fable est faite pour plaire : le genre de la fable permet de mêler l'utile à l'agréable. La moralité : La fable propose une moralité, ou au début ou à la fin, qui illustre le récit, l’histoire. Énoncée par le narrateur-fabuliste, elle prend souvent la forme d’un proverbe,