Faut Il Plaire Pour Instruire

apprend à se connaître sans s’en rendre compte l. 2 S’inspire d’Esope l. 5 Mise en vers l. 64 : insiste surtout sur le désir de divertir - Soumission et flatterie du Roi, de sa famille par ex l. 33, l. 55-56 - culte de l’Antiquité - volonté de plaire et d’instruire b. Préface de 1668 - l. 9 brièveté - l. 95-101 : gaieté, charme - l. 103 : utilité - l. 106- 121 : « si divin » ; proche de la parabole - l. 120-149 : enseigne sans qu’on s’en rende compte = persuasion - l. 151-153 : légèreté

adulte. Le présent de vérité générale et les tournures du type « il faut que », « un adulte est », placent la réflexion sous le signe de l'abstraction. Trop théorique, l'argumentation directe peut donc rebuter le lecteur par son aridité formelle et échoue ainsi à intéresser ou à toucher. [Conclusion partielle et transition] S'il faut reconnaître à l'argumentation directe le mérite de la clarté et une force dans le ton, il faut aussi admettre qu'elle peut décontenancer le lecteur par sa franchise

dissolues de DG - R va + loin dans l'arg avec vocab de l'autorité (« règle, précepte ») + cite poète latin connu pour son Art Poétique, Horace, qu'il qualifie plus bas de « grave autorité » donc argument d'autorité qui vient appuyer sa démarche : « Il faut commencer par dire ce qui doit d'abord être dit, / Et retarder les détails et les négliger pour le moment ». Avec cette citation, R (et forcément abbé P) fait le lien avec période antique donc héritage classique + exprime défiance vis-à-vis d'une

dû inventer le rire ». Peut-on aborder les questions graves sur le mode comique ? L'artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n'a-t-il pas des limites et ne faut-il pas traiter sérieusement certaines questions ? I définition délimitation 1. Qu'est-ce qu'un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que faut-il entendre par « sujet sérieux » ou « grave » ? Sans doute les sujets qui touchent à la condition humaine : la vie et la mort, l'ignorance

Une morale nue apporte de lennui Le conte fait passer le prcepte avec lui. En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire, Et conter pour conter me semble peu daffaire., Ctait le mot dordre de Jean de La Fontaine, trs clbre fabuliste du XVIIme sicle. Paul Raynal a dit un jour La Fable est le ciel de lHistoire , en effet, ma fable est prsente depuis lAntiquit, notamment grce Esope. Cest un apologue, cest--dire un court rcit qui pour fonction dillustrer lallgorie de lHomme accompagne

des techniques et stratagèmes utilisées pour bien s’exprimer, et l’éloquence serait plutôt un don, une facilité à bien s’exprimer), est divisée en cinq parties par Quintilien : Invention, Disposition, Élocution, Mémoire et Action. C’est à dire qu’il faut tout d’abord trouver les arguments, les ordonner, les présenter avec style et stratagèmes, se rappeler du discours et enfin jouer le discours (être expressif dans les gestes, l’attitude et la diction.) Ce stratagème veut atteindre la clarté et l’intelligibilité

symbolique de ces personnages va être révélée; ➢ des dialogues qui confrontent différents points de vue ou qui permettent d'énoncer une leçon; Ainsi le conte philosophique s’inscrit dans la fonction de la littérature : docere / placere = plaire et instruire (Horace) « Nous avons tâché de joindre l’agréable à l’utile, n’ayant d’autre mérite et d’autre part à cet ouvrage que le choix. Les personnes de tout état trouveront de quoi s’instruire en s’amusant. » (VOLTAIRE, préface du Dictionnaire philosophique)

plus savant ; mon fils vous devra toute son éducation » où au final le fils ne lui devra donc rien du tout puisque le « gracieux ignorant » n’a rien à lui transmettre ! Ainsi, en rapprochant son texte d’une scène de comédie, Voltaire joue à plaire et instruire à la manière de Molière et c’est par le rire et la satire que la critique trouve sa place. Car ce texte est avant tout une condamnation des courtisans et de leur vanité. En effet, ces-derniers tournent délibérément le dos à l’éducation

multiple : chaque metteur en scène a une vision personnelle de la pièce. Le spectateur peut mieux saisir la richesse d’une pièce en comparant les diverses interprétations. Mais une pièce n’est pas que sens. Le théâtre vise à « instruire », certes, mais aussi et d’abord à « plaire ». Il est avant tout spectacle : la représentation, dans cette perspective, joue un rôle primordial et enrichit considérablement la pièce. III. Comprendre ? Oui, mais aussi goûter le plaisir 
de la représentation 1. Le spectacle

apprend à se connaître sans s’en rendre compte l. 2 S’inspire d’Esope l. 5 Mise en vers l. 64 : insiste surtout sur le désir de divertir - Soumission et flatterie du Roi, de sa famille par ex l. 33, l. 55-56 - culte de l’Antiquité - volonté de plaire et d’instruire b. Préface de 1668 - l. 9 brièveté - l. 95-101 : gaieté, charme - l. 103 : utilité - l. 106- 121 : « si divin » ; proche de la parabole - l. 120-149 : enseigne sans qu’on s’en rende compte = persuasion - l. 151-153 : légèreté