Faut Il Plaire Pour Instruire

de cette fable est implicite ;elle ne correspond pas à une phrase uniquement. Cette morale est expliqué tout au long de ce récit. Jean de La Fontaine nous fait découvrir dans sa Fable qu’avant de prendre ces rêves pour quelque chose de concret il faut réfléchir à ce que cela peut avoir comme conséquence dans la réalité. Au travers de ça, Fable Jean de La Fontaine veut nous montrer l’universalité de son texte. Il nous laisse rêver tous le long de son récit puis à la fin, sa façon d’écrire va nous

Selon lui, les tragédies suscitent une émulation morale; le théâtre est l'«école du peuple» et occupe les oisifs - les nobles, eux, viendront s'y reconnaître, tirer plaisir du miroir qu'on leur tend, plutôt que leçon.   Il réaffirme qu'il faut plaire et instruire, mais c'est sur le plaisir qu'il ne cesse d'insister, faisant même de celui-ci un argument à l'appui de sa théorie; jamais il ne reprend les concepts de crainte et de pitié, négligeant la catharsis chère aux commentateurs d'Aristote. Distinguant

aux flatulences . Rabelais demande de ne pas se laisser illusionner par ces titres.. Ainsi, il emploie les expressions « il ne faut pas » et « c’est pourquoi » et utilise les temps verbaux à des fins bien distinctes : - - -- le présent , de vérité générale , sert à transmettre les valeurs , à apporter la sagesse. – le passé

XVIIe siècle -> siècle de la grandeur -> régime de monarchie de droit divin de Louis XIV • Mouvement : le Classicisme -> culte de la raison -> goût pour les règles, la morale -> principe du "placere et docere", plaire et instruire OEUVRE La Princesse de Clèves, 1678 -> prototype du roman d'analyse psychologique -> paraît sous un nom d'emprunt -> roman précieux : situations compliquées, sentiments subtils, langue chargée -> succès immense dès

auquel personne n’échappe : « quand on pense [… ]» . Pour autant, faire « la leçon » ne se passe pas de divertissement dans le cadre d’un apologue, notamment à des fins stratégiques. Instruire au 17e siècle, cela signifie aussi plaire au lecteur qu’il faut amadouer ou bien toucher ou bien distraire pour mieux l’infléchir. Ce texte est donc avant tout persuasif, grâce à un rythme entrainant, grâce à un art de la mise en scène et grâce à un aspect affectif donné à ce

comme les hommes ne se dégoûtent point du vice, il ne faut pas aussi se lasser de leur reprocher : ils seraient peut-être pires, s’ils venaient à manquer de censeurs ou de critiques ; c’est ce qui fait que l’on prêche et que l’on écrit. [...] On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction ; et s’il arrive que l’on plaise, il ne faut pas néanmoins s’en repentir, si cela sert à insinuer et à faire recevoir les vérités qui doivent instruire. [...]Il y a une autre (règle), et que j’ai intérêt

pouvoir. TEXTE BAC 1 : La Fontaine Fables « Les animaux malades de la peste ». Introduction : La Fontaine est un auteur du XVIIe siècle qui appartient au mouvement littéraire et culturel du classicisme. Sa devise était « Instruire et plaire » ( placere et docere ) et pour atteindre ce double objectif il va reprendre un genre antique utilisé par Esope et Phèdre, celui de la fable. Cet extrait est une de ces fables, un genre relevant de manière plus générale de l’apologue, un court

Le portrait est général, intemporel. Il suppose une morale, un peu comme La Fontaine qui veut instruire son public, conformément aux règles classiques : plaire et toucher. Le texte n'est pas médisant, on ne se moque pas de quelqu'un qu'on connaît, contrairement aux portraits que fait Célimène dans le Misanthrope de Molière. Il y a un côté pédagogique, l'auteur châtie les moeurs en faisant rire, il ne faut pas devenir comme Arrias. Le texte est intéressant sur le plan des mœurs historiques : l'honnête

d’adaptation en recourant au silence et fait semblant d’avoir un rhume pour pouvoir s’en sortir. La Fontaine nous communique ses idées et evite la censure en utilisant l’argumentation indirecte et en personnifiant les animaux, d’utiles outils pour instruire et plaire. 4. Commentaire du narrateur. Comparaison très desobligeante. L’humanité considérée comme la plus raffinée se trouve assimilée à une hiérarchie animale. Les oppositions entre la nature et la culture sont alors source de contrastes ironiques:

(négations, antithèses, oppositions, chiasmes...) Je me jetai à ses pieds, je lui pris les mains, je les arrosai de mes larmes. Je lui rappelai tous les moments de bonheur que nous avions passés ensemble. Je lui offris de rester brigand pour lui plaire. (Mérimée) pathétique > susciter la compassion Un texte pathétique cherche à émouvoir jusqu'aux larmes par des situations et des discours empreints de souffrance, de passion et de nobles sentiments. On aura donc un vocabulaire de la douleur et