Faut Il Preferer La Liberte Au Bonheur

sur l'art mimésis ( imitation du vice) Aristote: trouve que cela n'est pas négatif car c'est naturel aux hommes, cela donne du plaisir et nous apprend des choses. Platon: Le mimésis est un danger pour la cité, il faut le contrôler, voir le condamner. Ils pensent tout deux qu'il faut une éducation contrôlée par l'état pour maintenir la démocratie. 1 L'éducation est au centre de tout les textes d'Aristote, il veut: • l'uniformisation • le contrôle des matières enseignées • La transmission

son inconscient mais d’avoir l’impression d’être dirigé par lui peut faire penser à une sorte de fatalité, quelle est la limite d’un tel déterminisme (Alain) ? Peut-on réellement parler de fatalisme ? N’est-ce pas un terme trop fort, enlevant toute liberté, tout libre arbitre, dans la conduite de la vie ? Quelle peut-être la part de mauvaise foi d’une telle conception ? Et à quoi servirait la psychanalyse, si tout était déjà joué ? Sartre a beaucoup parlé de cette domination de l’être par son inconscient

interdits, le cynique peut démontrer qu'aucune des règles sociales n'est essentielle, et que seule compte l'éthique naturelle, universelle : la vertu. L'école cynique prône donc la vertu et la sagesse, qualités qu'on ne peut atteindre que par la liberté. Cette liberté, étape nécessaire à un état vertueux et non finalité en soi, se veut radicale face aux conventions communément admises, dans un souci constant de se rapprocher de la Nature. III) Quelques cyniques 1) Antisthène (445-360) a) Biographie

enfance, le bonheur de Rousseau ne fait aucun doute. Son entourage le comble : ses proches l'aiment, et cet amour est réciproque.4 "Mon pere, ma tante, mes parens, nos amis, nos voisins, tout ce qui m'environnoit (...) m'aimoit ; et moi je les aimois de même."5 Il ajoute : " Comment serois-je devenu méchant, quand je n'avois sous les yeux que des exemples de douceur, et autour de moi que les meilleurs gens du monde."6 Rousseau fait donc l'expérience de la citoyenneté dans un climat de bonheur et d'amour

nécéssaire. Dans quelle mesure faut il alors en posseder ? I. Manquer d'im : une carence ... 1. Parce qu'on manque d'experience. L'experience, la perception, le vécu sont la base de l'im. Elle porte sur une réalité absente qui n'a pas tjs été absente, qui a été une perception. L'aveugle de naissance n'a aucune image colorées. Les voyages forment la jeunesse. C'est à partir de la découverte de choses nouvelles que nous existons. Quelqu'un qui ne voyage pas a une vie morose. Il faut cultiver la découverte

assurerait probablement pas de vivre paisiblement étant donné que la loi même œuvre pour maintenir cette justice. Toutefois, tous les biens ne peuvent pas se distribuer de cette manière. Par possession, on ne peut pas parler seulement de richesse, il faut aussi considérer les personnes avec qui chacun passe sa vie, et les dons même que la nature offre à chacun. Il est évident que face à l’inégalité naturelle que le cours des choses se voit doté par le sort, une lutte permanente fait surface pour tenter

« je me soucie de la mort comme de rien et que mon seul souci, c’est de ne rien faire d’injuste ni d’impie ». Par ailleurs, si la mort c’est un sommeil, alors ce n’est pas si mal et si c’est un passage dans un autre lieu, alors c’est le comble du bonheur pour lui, car il aura la chance de converser et philosopher avec des esprits exceptionnels (les héros des temps passés comme Palamède). Ne pas philosopher malgré le don de pouvoir le faire serait pour Socrate comme une injure faite aux Dieux et même

consensus s’est dessiné chez les économistes pour en éclairer les « limites » : la principale provient du bien-être, pas pris en compte par le PIB. Pourtant devenu essentiel aujourd’hui, c’est un concept qui touche à la santé, au plaisir, ou à la liberté. De plus, son calcul prend en compte uniquement ce qui est déclaré à l'État. Cet agrégat oublie donc de nombreuses activités : telles que le bénévolat, l’autoconsommation, le travail « au noir ». Mais, aussi d’autres notions, omniprésentes dans

entre le monde sublime : la poésie et la vulgarité dégradante de la société qui le condamne à souffrir. Les poètes sont d’abord vus comme des êtres « intermédiaires » entre Dieu et les hommes. Incompris de ces derniers, ils sont voués à chercher la liberté par le rêve et la méditation, mais cette quête est, comme on le voit dans les poèmes A, B et C, purement illusoire et vouée à l’échec. Les artistes doivent donc vivre dans le monde infâme des hommes, punition d’autant plus injuste et cruelle qu’ils

les concessions. Je trouvais ça trop beau de « dire non et mourir ». D’ailleurs, je pensais qu’il fallait refuser tout compromis et que si le bonheur des Dieux n’était pas atteignable, il valait mieux s’abîmer dans le désespoir. Je trouvais méprisable l’ataraxie, préférais les paroxysmes quels qu’ils soient et considérais la quête d’un pauvre bonheur humain vaine et pleine de médiocrité. Je ne sais pas si c’est à cause de ma vision du monde d’alors (sans doute) ou si cela vient du texte d’Anouilh