Faut Il Renoncer à Sa Liberté Pour Vivre En Societe

Liberté et contraintes sont-elles incompatibles ? De tout temps, la notion de liberté a été présente dans le monde. Que ce soit en droit, d’un point de vue moral ou dans le domaine de l’action. On ne naît pas libre mais on le devient. C’est ainsi qu’au cours de l’Histoire, il y a eu des prisonniers, des esclaves, des régimes dictatoriaux et tyranniques mais aussi des hommes libres et des démocraties. Alors est-ce que liberté et contrainte sont-ils incompatibles ? La liberté signifie-t-elle

conforme à la loi, justifié... Est-il préférable que l’Etat existe ? Etat est une instance de commandement. Raison d’Etat = prendre une décision même si les lois l’interdisent pour la survie de l’Etat. Le citoyen obéit à l’Etat, on est forcé de se plier à ses décisions (démos=peuple, kratès=le pouvoir). Il y a le commandement et l’obéissance. Etat indique tjrs 2 choses : qlqn pour commander et qlqn pour obéir et des individus associés à l’intérieur de l’Etat. Association→ société→ Etat = état

Obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? A quelles conditions l'homme doit-il obéir tout en restant libre? Premièrement, obéir supprime la liberté lorsque par exemple, l'être humain n'y trouve pas son compte et que la frustration l'emporte sur l'épanouissement personnel. Citons le cas des régimes autoritaires. Deuxièmement, obéir peut être un acte libre dans la mesure où l'individu a le choix de peser le pour et le contre de la démarche. Ainsi, le membre d'une équipe d'un sport collectif

prive-t-on l'animal de conscience? Conscience La conscience de soi est-elle connaissance? La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte? N'exprime t-on que ce dont on a conscience? Prendre conscience de soi, est-ce devenir étranger à soi? La conscience me fait-elle connaître que je suis libre? La conscience de soi doit-elle quelque chose à la présence d'autrui? Suis-je ce que j'ai conscience d'être? Inconscient Quelle conception de l'homme l'hypothèse de l'inconscient

Contexte : «Soumise», «asservie», «arriérée»: ces qualificatifs se lisent dans le regard de plusieurs passants, et à plus forte raison de passantes, qui croisent une femme voilée. Ce jugement agresse les musulmanes. Elles en ont assez d'être perçues comme les victimes d'une religion oppressante. Pour certaines, le port du voile soit une obligation divine. D'autres y voient un choix motivé par une quête spirituelle, la revendication d'une identité musulmane ou la volonté de se soustraire aux rapports

Spinoza TTP 2013. INTRODUCTION GÉNÉRALE. biographie (à vous de faire, on a déjà vu pas mal de choses sur Spinoza). Rappel : 1. le sujet : l’illusion du libre-arbitre (Descartes vs Spinoza) 2. Corrigé rédigé et donné : La liberté n’est-elle qu’une illusion ? 3. Envoi d’un dossier sur L’Appendice du Livre I de L’Éthique. I. LA FINITUDE INHÉRENTE A LA NATURE HUMAINE COMME POINT DE DÉPART. Ontologie (la nature c’est dieu, et tout est en dieu qui est tout y compris l’homme qui

que Kant cherche à apprendre à son élève à vivre avec des contraintes dans un monde où elles sont nécessaires pour être libre. D'après lui, l'éducation est un ensemble de contradictions : elle unit la liberté Q1 : Dans cet extrait, Kant traite de l’éducation qui a 2 buts qui peuvent sembler contradictoires. D’un côté, éduquer, c’est dresser ou plutôt redresser, imposer une discipline aux comportements et pulsions. Mais d’une autre côté, éduquer, c’est aussi élever, permettre à l’élève de s’élever

l’autorité. Les lois de l’Etat sont vues par les uns comme des contraintes imposées à l’Homme qui viennent porter atteinte à sa liberté. Dans le chapitre 8 nous allons vois que pour d’autres, elles sont vues comme ce qui permet de garantir au sein d’une société ordre et coexistence des libertés. Mais il faut bien avouer que même dans ce cas, on reconnait que si la liberté est certes garantie par les lois, ce n’est qu’une liberté partielle et limités par ces mêmes lois. Alors peut on vraiment en obéissant

Etre heureux, est-ce satisfaire tous ses désirs ? Etre heureux peut-être définis comme un état similaire au bonheur, c’est un état de satisfaction stable et durable. Le désir quant à lui est le souhait de posséder ou de réaliser quelque chose qui produit chez nous un effet de manque. D’une part, l’accomplissement de tous les désirs semble bien constituer le bonheur dans la mesure ou celui-ci n’est accessible qu’une fois les manques satisfait et donc, les désirs. D’autre

plus de liberté à ceux qui sont oppressés. C’est dans ce contexte qu’apparaît l’existentialisme, un courant littéraire philosophique abordant l’entière liberté humaine qui s’accompagne d’une lourde responsabilité. Les auteurs existentialistes comme Jean-Paul Sartre et Simone De Beauvoir abordent ce sujet par des textes engagés sur l’identité, la collectivité et le jugement de l’autre. À travers un style dépouillé, ils s’interrogent sur le sens de la vie qu’ils jugent absurde. Jean-Paul Sartre a été enseignant