Faut Il Réduire La Progressivité De L Impôt

pouvoirs publics. Les politiques de stimulation de l’investissement, elles, génèrent l’inflation . Pour LAFFER, le revers des politiques de dépenses publiques est l’augmentation des impôts, ce qui a trois conséquences : • Soit elle dissuade l’activité économique (à quoi sert de travailler si les impôts imputent trop les revenus ?) • Soit elle provoque des départs vers des régions plus avantageuses fiscalement (Grande Bretagne ;paradis fiscaux) • Soit elle encourage le travail

l’autofinancement. Les crédits à court terme sont les plus dominants par rapport| |aux crédits d’investissement», a souligné M. Sairi. En ce qui concerne la politique sectorielle de développement des PME de| |l’artisanat, M. Sairi, a indiqué qu’«il faut aider à l’émergence d’acteurs et producteurs de réference dans le cadre d’une | |approche contractuelle impliquant l’Etat, l’acteur et le réseau de distribution tout en définissant les engagements de | |».

 Le FN et l'immigration  * Les immigrés exclusivement envisagés comme des charges Les immigrés sont considérés exclusivement comme des charges, alors que comme n’importe quelle personne, ils consomment des produits taxés, paient des impôts et contribuent à la solidarité nationale via les charges sociales. Par ailleurs, ayant été le plus souvent formés dans leur pays d’origine, ils n’ont rien ou peu coûté à l’État français en formation. Ils sont plus souvent au chômage, mais, comme ils sont surreprésentés

réellement importante, c’est parce que l’administration française est aujourd'hui très insuffisamment efficace (dans une mesure et pour des raisons qu’il faudra détailler). On s’interrogera donc principalement sur les raisons pour lesquelles il faut réformer l’administration, et sur le contenu que doit avoir cette réforme. Mais on abordera aussi la question de la mise en œuvre pratique de cette réforme, à partir des éléments de réforme de l'administration déjà expérimentés dans les dernières années

gendarme ») s’est ainsi complété de la théorie de « l’impôt échange » ou de « l’impôt contrat » (A) tandis que l’Etat « providence »a eu recours à la théorie de « l’impôt solidarité » (B)[6]. A – La théorie fiscale libérale : « l’impôt échange » ou « impôt contrat » La théorie « échangiste » de l’impôt part de l’idée que l’impôt est une sorte d’assurance ou de contrepartie que l’Etat garantit à l’individu. Très en vogue à la fin du XVIIIe et au XIXe siècle, cette théorie doit être rattachée au courant

CONTEXTE ECONOMIQUE NATIONAL Pour gérer une entreprise, il faut appréhender le contexte économique national, le contexte économique international et enfin le contexte régional tout proche. Des statistiques et des indicateurs vont nous y aider. I Les indicateurs économiques français 1. 1 PIB en 2013 le PIB est de 27 770 € par habitant. La France se positionne à la 20° place derrière l’Allemagne. Sa position est stable par rapport à 2012. (source banque de france évalutation sept 2013)

rentier et du capitaliste oisif » (c’est à dire dissuader les comportements d’épargne) La politique monétaire n’est pas préconisée par Keynes qui est assez sceptique sur la portée de cette politique. - La relance fiscale qui vise à baisser les impôts et donc à soutenir la consommation. - C’est la politique budgétaire qui entre en jeu : elle comprend les recettes de l’Etat et ses dépenses et les traitements versés. Keynes préconise le déficit budgétaire, et pour lui l’Etat ne doit pas hésiter

peuvent instituer des impôts. Généralement, durant cette période, on institue un impôt pour faire face à une dépense nouvelle. Durant cette période, en général, l’impôt est affecté. Cette affectation de l’impôt ne constitue cependant pas une obligation juridique. Ces impositions sont aussi bien indirectes que directes. ⋄ Les impositions indirectes sont l’octroi qui est un péage institué aux portes de la ville et payé sur les marchandises qui entrent et, les aides sont un impôt payé sur l’achat des

SOMMAIRE Hautes instructions de SA MAJESTE LE ROI MOHAMED VI ...................................... 3 La Direction des Impôts au forum des jeunes talents ............................................. 4 Discours de M. Abderrahmane YOUSSOUFI, Premier Ministre.................................. 5 Discours de M. Fathallah OUALALOU, Ministre de l'Economie et des Finances........... 8 Discours de M. Hassan CHAMI, Président de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc.........................

non de concepts journalistiques. (2) Il y a un certain nombre de distinction à faire en termes de vocabulaire : différence entre « impôt » et « taxe », entre « redevance » et « taxe ». Il faut être capable de qualifier justement et à bon escient la notion à laquelle on a affaire. C’est un droit très illustratif de la tendance taxinomique du droit : il faut qualifier exactement juridiquement un fait (contribuable paie l’impôt, assujetti paye la TVA, redevable paye la TVA mais ne la reverse