Faut Il Réduire Les Prélèvements Obligatoires

est-ce un hasard ? Le classement montre que les pays les plus corrompus sont ceux où l’interventionnisme étatique est le plus fort. Est-il en effet raisonnable de laisser le pot de miel sous la garde de l’ours ? Si nous voulons réduire la corruption, il nous faut réduire le rôle de l’Etat.   La plupart des pays occidentaux moins corrompus que la France   Chaque année, l’ONG Transparency international, qui est présente dans de nombreux pays, publie son rapport sur la corruption dans les différents

7,7% du PIB : 149 MM (UE demande = 3% Max) Dépenses de l'état en 2010 : 354 Milliards d'euro Dépenses de santé = 206 MM d'euro en hausse de 35 milliards d'euro Quel est l'avenir des retraites? 185 MM de dépenses en 2010 → Comment réduire les dépenses? réduire les emploi de la fonction publique par exemple Tout cela est assez préoccupant, c'est un vrai problème de société d'où l'intérêt pour cette matière. Les Finances Publiques : une notion transversale : pour certains auteurs ce ne sont

général de la montée de l’État-providence, qui se traduit par une élévation des prélèvements obligatoires Une augmentation concomitante des prélèvements obligatoires. Doc 4 à 6 + voir tableau 7 du manuel Pour faire face à l'augmentation des dépenses, les États ont dû augmenter leurs recettes, d'où l'augmentation des prélèvements obligatoires. Taux de prélèvement obligatoire Doc 4 : moyenne européenne. Rq : on observe des différences importantes

l'on s'appauvrisse pour autant. Alors que le patrimoine est un stock dans lequel tout prélèvement (ou toute absence d'entretien) entraîne un appauvrissement. Vivre des revenus de son travail (ou, éventuellement, de ceux de son capital) n'est pas la même chose que vendre les bijoux de famille pour subsister. Mais à l'échelle collective, une partie de ce qui fait notre revenu actuel est en réalité un prélèvement forcé sur des richesses qui manqueront aux générations à venir (exploitation de ressources

d’accès à l’emploi…) III- Les deux logiques de la redistribution Une logique d’assurance (BISMARCKIENNE): droit à la redistribution dépend de ses cotisations préalables Seules les personnes qui ont une activité professionnelle sont protégés puisqu’il faut verser une cotisation pour en profiter. Une logique de solidarité (BEVERIDGIENNE) : toute la population en bénéficie sans besoin de cotiser. Protection contre les risques sociaux, économiques, financée par l’impôt. Ex : indemnisation chômage. IV

de la propriété. 2/ revenus primaires soumis à des prélèvements obligatoires (impôt sur le revenu) et complétés par des revenus de transferts (allocations familiales)  Revenus primaires – prélèvements + revenus de transferts = revenu disponible (consommer et épargner) RMI (Revenu minimum d’insertion) créé 1988 par l’État pour assurer aux plus démunis un minimum de ressources, remplacé en 2009 par la RSA (revenu de solidarité active)  réduire la pauvreté mais aussi inciter à la reprise d’un emploi

d'établir des ratios importants en terme d'analyse : ➢ Taux de Marge : EBE/VAB, ➢ Rémunération des salariés/VAB, ➢ Taux d'Epargne Brut : EB/VAB ➢ Taux d'Autofinancement : EB/FBCF ➢ Taux d'Investissement : FBCF/VAB Il faut toutefois relativiser les chiffres obtenus puisque selon les choix qui seront faits de l'"Emploi" des revenus (Compte de Revenu ex : distribution de dividendes plus importante), les taux seront plus ou moins élevés (part relative du profit distribué)

importants Le T.E.E. permet d'établir des ratios importants en terme d'analyse : Taux de Marge : EBE/VAB, Rémunération des salariés/VAB, Taux d'Epargne Brut : EB/VAB Taux d'Autofinancement : EB/FBCF Taux d'Investissement : FBCF/VAB Il faut toutefois relativiser les chiffres obtenus puisque selon les choix qui seront faits de l'"Emploi" des revenus (Compte de Revenu ex : distribution de dividendes plus importante), les taux seront plus ou moins élevés (part relative du profit distribué)

« primitives ». Le pouvoir est aux mains d’un organe central, l’Etat, qui peut imposer de payer l’impôt. Dans des sociétés plus structurées comme les grands empires (grec, romain, perse), l’impôt n’était pas le mode unique dominant de prélèvement pour l’Etat. Les guerres suscitaient de nombreux pillages renflouant ainsi le trésor public. L’impôt était minoritaire dans les ressources publiques. 500-1000 après J-C => morcellement politique et militaire du territoire. 1000-1500 après

Le chômage est un problème économique lundi 6 septembre 2004 Les termes du débat de la rentrée sont clairement posés : faut-il accorder la priorité à l’économique ou au social ? C’est, sous une forme à peine renouvelée, la reprise de l’éternel débat entre Bercy et le ministère des affaires sociales. Face à face, comme toujours, le gardien sourcilleux des grands équilibres financiers, et le gardien des grands équilibres sociaux. Jeu de rôles attendu et somme toute naturel. S’il s’agit