Faux documentaire

histoire est magnifique et nous ne démarrerons pas avec les Vues Lumières (env. 1400) Cette production n’est pas à son origine dans le champ de l’art. Personne à l’époque n’y verrait un geste artistique. Même si plus tard on leur confère une démarche documentaire. Ce sont des films qui relèvent d’un paradigme qui n‘est pas celui du cinéma. Le cinématographe Lumière, des modes de productions qui leurs sont propres, des modes de diffusions également… les contenus même de ces vues appartiennent à des traditions

dans la réalisation de ses films ( n’hésite pas à mettre en danger ses comédiens) Les sérials de feuillade entre dans un contexte ou le cinéma commence à pomper ce qui est de l’ordre des feuilletons littéraires pour s’émanciper de la simple donné documentaire afin de faire entrer le cinéma dans l’air du divertissement : attitude très commerciale. Victorin Jasset, père du sérial au cinéma 1908 : adapte pour le studio éclair un roman américain ‘’ Nick Carter’’, à partir de là, va engendrer une flopée

les images souvenir. Le fait qu’elle ait travaillé à partir de reproductions corrobore la thèse de Baudrillard selon laquelle nous vivrions dans un monde de simulacre. Pour se « déguiser », elle utilise des prothèses : des faux nez, des moustaches, des sourcils et beaucoup de « faux nichons » pour reprendre ses termes. Par ces accessoires extravagants, elle va plus loin qu’un simple travestissement, en rendant visible ce qui la métamorphose. Elle nous montre que les sujets des tableaux historiques étaient

(Grenoble, Lille et Clermont-Ferrand). En 1989, de retour en France, Klapisch réalise son cinquième court, Ce qui me meut, faux documentaire humoristique sur Etienne-Jules Marey, couvert lui aussi couvert de récompenses et qui sort en salles en première partie de La vie des morts de Desplechin. En parallèle, Klapisch se voit confier des films institutionnels, ainsi qu'un documentaire ethnologique sur les Masaï du Kenya. En 1992, il met enfin en scène son premier long, Riens du tout, la vie d'un grand

  B/ explorer de nouvelles postures de lecture La lecture courante : c'est une lecture fluide qui court le long du texte, une lecture naturelle. C'est la plus pratiquée, la plus courante. Elle concerne les écrits fictionnels. La lecture documentaire : porte sur des textes qui apportent des informations sur les savoirs qui organisent le monde. Ces textes combinent écrits et images. La lecture littéraire : elle concerne la manière de lire. Elle n'est pas liée aux textes lus, aux écrits fictionnels

Yann Arthus-Bertrand, est un film documentaire sur l'état de notre planète, les causes et conséquences de la surconsommation de ses ressources par l'homme et son inconscience. Yann Arthus-Bertrand ne le présente pas comme un film catastrophe mais comme un message d'espoir, en rappelant qu'il reste 10 ans pour agir. En nous présentant l’origine des grands équilibres mondiaux, les activités humaines et leurs impacts et les déséquilibres engendrés, ce documentaire met en évidence les enjeux écologiques

au festival Walls on Fire à Bristol 1999 : The Mild Mild West, une fresque qu’il réalise + en 2000 : exposition de l’oeuvre au restaurant Severnshed de Bristol 2003 : il réalise de la pochette du disque de Blur, « Think Tank » 2004 : imprime deux faux billets de 10 livres, à la place de la reine d’Angleterre, se trouve Lady Diana. Change le «Bank of England» par «Banksy of England». Disperse la plupart lors du carnaval à Notting Hill Banksy est entré dans l'enclos des manchots du zoo de Londres

titre de ce dernier « Odyssée » qui est une émission de télévision présentant des documentaires sur divers sujets. A coté de l’encadré, le type de programme, « Documentaire » nous est confirmé et son titre : « La nouvelle stratégie du diable » nous est révélé. Le titre de l’article, « Vermine satanique », suivi, en dessous, du sous-titre « Au Congo, la chasse aux enfants est ouverte », pose le thème du documentaire qui est la maltraitance des enfants au Congo, qui seraient considérés comme de la

distance et de changer le monde) Transcendé par le montage, qui sera l’une des plus grandes trouvailles de l’époque : Expérience de Koulechov .. Eisenstein : Le cuirrasé potemkine à partir de la 50e minute I.4 Réactions face aux avant-gardes Documentaires engagés suite à Vertov et Eisenstein en France, quelques films réalistes (Charles Dullin « remorques »… ) Mais surtout réalisme poétique naît avec le parlant (meilleure qualité synchronisation images son  24 images/sec, permet d’approfondir le

Fahrenheit 9/11 de Michael MOORE. INTRODUCTION : Le cinéma est un moyen moderne et populaire pour transmettre un message qui doit avoir un effet percutant sur la société. A la façon des propagandes le documentaire de M.MOORE met en avant des arguments, des preuves que le spectateur ne peut ignorer. Moore décide de s’en prendre à G.W.BUSH et son administration par des procédés comiques et surtout en se basant sur enquête complète préalablement faite. Il est toujours plus facile de prendre