Favela

manières de s'adapter à la planète, et de la respecter, et c'est à nous de trouver une façon de rétablir un certain équilibre. L'inégalité des niveaux de vie est flagrante aussi. Certaines personnes vivent dans la misère comme en Afrique, dans les favelas brésiliens, au Bangladesh et dans nombreux pays dans le monde. Tandis que dans les quelques pays aisés, les gens vivent du travail de ces personnes du tiers monde. Nous exploitons et utilisons les pays pauvres. Ils sont riches en ressources et au

développement , la ségrégation socio-spatiale est extréme. Rio de Janeiro ,Brésil 10 ème puissance mondiale, le Brésil est un pays riche … avec beaucoup de pauvres.Cette pauvreté massive se lit dans des paysages urbains.Les Favélas sont de quartiers d'habitat spontané sans existence , ils occupent les espaces dangereux et /ou malsains de la ville ou de sa périphérie. L'insécurité vient aussi de la multiplication des gangs et de leurs affrontement,de la drogue et des reglement

sont la preuve. Pourtant les deux-tiers de la population sont sous-alimentés, et une grande partie de la population est exclue de cette croissance économique (qui a atteint presque 10 % en 1995 par ex, ou encore 5 % en 2005). Les bidonvilles ou « favelas » regroupent le tiers des citadins, les paysans n’ont, pour la plupart, pas de terres (« paysans sans terre ») et la misère ne fait que s’accentuer du fait des mesures d’ajustement structurel (politiques monétaires et budgétaires restrictives imposées

une recherche chorégraphique qui ne peut pas être « traduite » en paroles. Le théâtre forum est une technique de théâtre mise au point dans les années 1960 par l'homme de théâtre brésilien Augusto Boal, dans les favelas de São Paulo. Le principe en est que les comédiens improvisent puis fixent une fable de 15 à 20 minutes sur des thèmes illustrant des situations d'oppression ou des sujets problématiques de la réalité sociale, économique, sanitaire d'une communauté

s'implanter faire un pas faire la r�duction des in�galit�s en jouant un r�le citoyen. Ainsi carrefour implant� au br�sil pour ouvrir son magasin a du respecter des normes impos�es par la municipalit� de porto Alegre. (Le relogement du personnel des favelas, la pr�sence d'une cr�che et l'approvisionnement aupr�s de fournisseurs de la r�gion).La soci�t� Carrefour a permis une redistribution des richesses r�ductrices des in�galit�s. Certes la croissance am�liore aussi la position sur le march� du travail

défenseur du peuple et des plus fragiles, voilà qui témoigne, au contraire, d’une étonnante transmission des processus d’identification. Depuis deux cents ans, la figure de l’Ami du Peuple poursuit ainsi sa vie posthume, des faubourgs de Paris aux favelas de Rio. Lire le texte sur Lumières du Siècle et voir la bande annonce de Waste Land Éléments d’une histoire du droit naturel : à propos de Léo Strauss, Michel Villey et Brian Tierney Etudes Par Florence Gauthier, Université Paris Diderot

problèmes au quotidien : - Le problème de logement qui entraîne la prolifération des habitats spontanés, précaires et insalubres ou bidonvilles ; (différentes appellations : bidonvilles en Afrique, Villas miserias en Argentine, ghettos aux Etats-Unis, favelas au Brésil) ; - Le problème d’emploi : main-d’œuvre abondante certes, mais avec une qualification insuffisante d’où le développement du secteur informel avec la prolifération des petits métiers : cireurs, porteurs, pousseurs, sauveteurs, bayam-selam

Copy of MAURY_LivLiv MAURY L’habitat précaire, une des étapes précurseures à la ville? “Une ville est à 90 % des cas un bidonville qui a réussi”, d’après Sébastien Thiéry, membre fondateur du PEROU (Pôle d’Exploration des Ressources Urbaines). En effet, cette comparaison entre une ville et un bidonville est intéressante, mais pose aussi la question de ce rapport avec d'autres formes d’habitat précaire, comme les camps de réfugiés. Sachant qu’un bidonville est majoritairement composé d’auto-constructions

Les disparités régionales et sociales restent fortes voire se creusent, en particulier entre les villes et les zones rurales, les littoraux et l’intérieur, alimentant d’importants flux internes, grossissant les quartiers d’habitats informels (favelas, bidonvilles, slums) qui contrastent fortement avec les quartiers d’affaires, les luxueux centres commerciaux ou lotissements résidentiels aisés. Le nombre de réfugiés augmente du fait de la multiplication des conflits et de l’instabilité politique

ii. de nombreuses insuffisances. Pénuries alimentaires, 800M de personnes souffrent de la faim, alimentation peu diversifiée. Mal logés, s’entassent dans les villes (1/4 de la pop en 1970) : bidonvilles comme les slums de Calcutta ou les favelas au Brésil, manque d’hygiène et d’encadrement médical, exposition aux maladies tropicales. c. Retards et sujétion du Tiers-Monde. iii. La dépendance technique. Peu de techniques agricoles, secteur industriel de petites entreprises