Favela

immigrés, je m’en fous, des revendications, des chutes d’avion, de la baise de la Bourse, de l’effondrement monétaire, je m’en fous, de la colère des paysans, du Nil qui déborde, des monuments qui s’écroulent, des Indiens, du problème lapon, des favelas, des persécutions, des réfugiés politiques, du problème turc, je m’en fous, de la réhabilitation, du grand pardon, je m’en fous, du problème arabo-perse et sino-japonais, du Liban, de tous les cartels, de l’inflation, des ramasseurs de mégots en Egypte

l’économie mondiale, certains sont encore qualifiés de « sous » ou « peu » développés dues aux conditions de vie difficiles des habitants . Au Mexique, par exemple, le taux de croissance est seulement de 2,7% pour l’année 2009 et dans tous les pays, les favelas (bidonvilles), violences, exclusions et problèmes de logements sont encore très présents dans les grandes villes. Cependant, comment peut-on mesurer la pauvreté d’un pays ? Le développement économique des pays d’Amérique Latine a –t-il pu éliminer

problèmes sanitaires des villes avec l'observation de personnes aux teins vitreux, atteins de maladie etc. Cette pauvreté va entraîner une misère et donc beaucoup de violence et les femmes vont se prostituer pour essayer de gagner plus de sous. Les favelas sont dû à la densité qui entraîne une énorme promiscuité, avec des gens malade, de la violence, ce qui entraîne un bouillon social qui est contre productif. Les médecins seront les premiers à s’intéresser a cette contre-productivité, à repenser la

bien s’en servir. Si l’on essaie de faire une évaluation, un certain nombre de constatations s’imposent : -La participation a permis-à beaucoup de femmes de sortir de l’isolement de leur maison, de l’isolement où les tient la peur qui règne dans les favelas (peur de la drogue, des violences, des meurtres et donc une méfiance très forte envers les autres, les voisins). Elles apprennent à nouer de nouveaux liens sociaux, des liens de convivialité qui permettent de travailler, de s’amuser ensemble, d’échanger

effectives du pouvoir public en observant les limites de sa capacité/volonté d´action dans les quartiers « abandonnés » suivant des logiques différenciées dans les Amériques : ghettos « ethniques » aux États-Unis, « colonias proletarias » au Mexique, favelas au Brésil (Bastos et alii, 1996), etc. 17A l´inverse, certains quartiers sont systématiquement favorisés par l´intervention publique dans le traitement de l´espace. C´est le cas par exemple du traitement monumental des centres-villes, qui dépend

situations problématiques dans cette activité de théâtre participatif illustrant des « scènes » de la vie quotidienne de ces pré-adolescents. Le théâtre forum est une technique de théâtre, mise au point dans les années 1960 par Augusto BOAL, dans les favelas de Sao Paulo. Il créa jusqu’en 1964 un théâtre de rue contestataire dans lequel il a développé le rôle du « spect-ACTEUR » où le spectateur passe de l’état passif à la création de la scène par son action, qui s’opposera à la dictature militaire de

NB : Le mélange de tous ces peuples a donné de nos jours de nombreux métis. 2-Situation actuelle La population est confrontée à de nombreux problèmes tels que l’analphabetisme,la misère et la pauvreté : en ville ils nombreux à vivre dans les FAVELAS. Au niveau religieux : le catholicisme est majoritaire dans la plupart des pays : Toutefois le protestantisme connaît depuis plusieurs années une forte croissance. III- L’économie L’Amérique Latine est considérée comme une zone pauvre. Cependant

américaine, qui y virent une attaque raciste. D’autre part le premier comme le deuxième clip furent mal perçus par les gouvernements du pays de tournage, l’un montrant des violences policières et militaires, l’autre ne montrant que la misère et les favelas du Brésil. Cependant la chanson eut un impact sur ces sujets pour lesquels il y eut des efforts gouvernementaux pour améliorer les conditions de vie des personnes défavorisées. Le texte utilise le champ lexical de la violence (Frappez-moi, cassez-moi

consommation ne signifie pas forcément l’amélioration de la qualité de vie. En effet, une bonne partie des anciens pauvres continue à habiter les favelas, qui abritent des millions de foyers au Brésil. Selon la fondation Vargas, le nombre de pauvres est tout de même passé de 49, 5 millions en 2003 à 29 millions en 2008. Favelas de Rio de Janeiro De plus, le coût élevé des crédits (11,5% d’intérêts en 2011) ne décourage pas les consommateurs et l’endettement croissant

l’Equateur le 3ème, l’essentiel de leur production étant destiné aux Etats-Unis C’est une agriculture efficace et rentable mais on déplore cependant une vraie crise sociale dans les campagnes. L’exode rural fait affluer une population pauvre dans les favelas des grandes villes et les revendications des « sans terre » au Brésil s’intensifient. Au Mexique, la guérilla a reprise de dans les Chiapas Le Président Lula a lancé le plan « faim zéro » au Brésil car comment expliquer que dans un pays exportateur