Fédération du e-commerce et de la vente à distance

III) Analyse du secteur de la maroquinerie . . . . . . . . 5-9 a- Volumes et valeurs du marché, tendances . . . . . . . . . . . 5 b- Analyse de l’offre locale et internationale, de leurs produits et stratégies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5-6 c- Analyse de la demande locale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6-7 d- Analyse des circuits de distribution locaux . . . . . . . . . . 7-8 e- Analyse des moyens de communication locaux . . . . . . 8-9 f- Modes

SESSION ORDINAIRE DE 2011-2012 Enregistré à la Présidence du Sénat le 18 janvier 2012 RAPPORT D´INFORMATION FAIT au nom de la délégation sénatoriale à la prospective (1) sur le commerce électronique, Par M. Joël BOURDIN, Sénateur. (1 ) Cette déléga tio n est co mpo sée d e : M. Jo ël Bou rd in , présid en t ; Mme s Natach a Bouch art, Bern ad ette Bou rzai, MM. Vin cent Cap o-Can ellas, Yvon Co llin , Mme Év elyne Didier, M. Alain Fou ch é, Mme Fabienne Keller, MM. Ronan Kerdraon et

E MARKETING A RETENIR ENTREPRISE PUR PLAYER : Faux anglicisme signifiant mot pour mot « acteur pur », déformation de l'anglais américain « pure play ». Désigne une entreprise ayant démarré et exerçant dans un secteur d'activité unique.[] L'expression est toutefois popularisée pour désigner les entreprises œuvrant uniquement sur Internet et est souvent définie comme telle. Elle se situe alors côte à côte avec les expressions Brick and mortar et Bricks and clicks. BRICK AND MORTAR : Dans le contexte

Début prometteur du M-COMMERCE dans l’hôtellerie JP Corniou Juin 2011 Etudiantes: BLAVIER Oriane DUBREUIL Valentine DUNG Le DUZAN Clémence Agenda  Tourisme digital: un vif succès  M-tourisme: un début promettant  Nouvelles applications mobile, nouveaux usages  Intérêts des professionnels du secteur  Etudes de cas  Recommandations Tourisme digital, un vif succès  10 milliards € CA en 2010 (+ 10%)  9.09 milliards € CA en 2009 (+15%)  Perspective: - Non e-tourisme: 40 % fournisseurs

PROSPECTIVE DES METIERS DU E-COMMERCE Synthèse – Juin 2013  Champ de l’étude Le secteur professionnel du commerce électronique recouvre, par définition, l’ensemble des entreprises engagées dans une activité de commerce utilisant un moyen de communication électronique (Internet, téléphone mobile, etc.). Proche, par essence, des activités de la vente à distance (code 4791 de la NAF rév.2, 2008) qui intègrent les « Pure Players » du e-commerce, le commerce électronique déborde toutefois

mensongère (ou trompeuse) consiste pour un commerçant ou un industriel à diffuser des informations inexactes ou propres à tromper le public sur les produits ou les services qu’il met en vente, sur les engagements qu’il prend à l’égard de la clientèle, sur les aptitudes et les qualités qu’il possède, est interdit toute publicité comportant, sous quelques forme que ce soit, des allégations, indications ou présentations fausses ou de nature à induire en erreur, lorsque celles-ci portent sur un ou plusieurs

Chapitre 1 : La distribution Introduction : Savoir : les grandes évolutions duc commerce les entreprises de la distribution et les choix stratégiques le poids de la distribution dans l’économie 16 Avril : Evaluation sur l’histoire et le circuit de distribution, retour exposé 21 Mai : Evaluation Appareil commercial, problématiques I. Les grandes évolutions du commerce A. Première période : les bases du commerce Le commerce traditionnel La distribution moderne date du 19ème siècle Au « bon marché »

ambitieux. E-commerce : Arrivée réussie pour Zalando Copier n'est pas jouer, mais cela peut tout de même rapporter très gros... Les trois frères Samwer ont trouvé chaussure à leur pied en important en Allemagne le modèle inventé par l'américain Zappos. L'idée de départ pouvait pourtant sembler osée, pour ne pas dire risquée. Vendre sur la Toile des produits qu'il faut presque obligatoirement essayer avant d'acheter paraissait en effet voué à l'échec. Mais Zalando est malgré tout parvenu à séduire à une

JUIN 2010 1. Le résultat d’exploitation est égal à : a. b. c. d. produits d’exploitation – charges d’exploitation (décaissables ou non) produits financiers – charges financières produits exceptionnels – charges exceptionnels résultat d’exploitation + résultat financier + résultat exceptionnel - impôts 2. Une de ces affirmations concernant les tableaux de bord de gestion est fausse, laquelle ? a. b. c. d. le tableau de bord de gestion aide à piloter l’entreprise un tableau de bord de gestion

siècle. Le taux d’urbanisation actuel est d’environ 50% et il est prévu d’atteindre près de 70 % d’ici 2025 2. Le marché est en pleine mutation et cette urbanisation croissante associée à une demande de plus en plus exigeante en termes de produits et services et un pouvoir d’achat supérieur représentent des potentiels à valoriser. La position géographique du pays, ses ressources humaines jeunes et qualifiées, son régime douanier attractif (accords de libre échange) sont autant d’atouts dont dispose le