Felipe Calderón

prévention plus que sur la répression. Pour remédier à cette violence globalisée, des solutions existent. Cependant, les initiatives sont malheureusement trop peu nombreuses. Le traité Esquipulas en est un exemple. Le président mexicain, Felipe Calderon, récemment accablé par les proches de victimes d’une fusillade qui a fait 15 morts au Mexique de ne pas avoir fait le nécessaire pour empêcher le massacre, sera-t-il à la hauteur du défi ? Les 4 ans passés à la tête du Mexique ne lui ont pas permis

fataliste pourrait résumer la situation au Mexique. Ou peut-être cette blague racontée par les Mexicains eux-mêmes : “Savez-vous pourquoi le Mexique n’est pas le pays le plus corrompu au monde ? Parce qu’il a payé pour être second.” Depuis que Felipe Calderon a déclaré une guerre ouverte contre les narcotrafiquants en décembre 2006, le Mexique a plongé dans une véritable guerre civile. Le conflit a déjà coûté la vie à 60 000 personnes - narcotrafiquants, policiers et civils. Les Mexicains parlent du

d’abord le Mexique qui prend le contrôle du marché dans un premier temps, puis récemment le Brésil. 1. Au Mexique Ce phénomène s’explique sans doute par le démantèlement des Cartels Colombiens. De plus, l’arrivée au pouvoir du président Felipe CALDERON en 2006, avec le lancement du programme de lutte contre les narcotrafiquants « l’initiative de Mérida » Les Etats Unies ont soutenu ce projet avec notamment une aide militaire pour un cout d’environ 1,6 Milliards de dollars. Ces derniers représentent

les vétérans des accords braceros (1942-1964), Philippe Schaffhauser. .................................................................. . 75 Conférence d’inauguration de la deuxième Semaine nationale de la migration au Mexique, Leticia Calderón Chelius. ............................................................ . 93 Problèmes d’Amérique latine, N° 75, Hiver 2009-2010 Varia Les « Maras » ou la transnationalisation des pandillas en Amérique centrale, Wim Savenije........

nueva”. Una prueba también de la afición por el teatro. “Para que no hubiese mezclas” de sexos, en los templos y teatros había separación con unas cortinas. Hubo incluso intentos para que las mujeres no asistiesen al teatro y así no hubiese mezclas. Felipe II manda a la ciudad de Granada una Real Cédula diciendo “que los hombres y las mujeres estuviesen separados y se debía prohibir la entrada a frailes, todo controlado por un alguacil.” También sabemos que los hombres se disfrazan de mujeres para meterse

Marcus | 354 414 | 524 341 | 7 101 | 49 320 500 | Amérique du Nord |  Canada | Premier ministre | Stephen Harper | Ministre des finances | Jim Flaherty | Mark Carney | 1 563 664 | 1 330 106 | 45 888 | 34 088 000 | |  Mexique | Président | Felipe Calderón | Secrétaire des finances et du crédit public | Ernesto Cordero Arroyo | Agustín Carstens | 1 004 042 | 1 549 671 | 9 566 | 111 211 789 | |  États-Unis | Président | Barack Obama | Secrétaire au trésor | Timothy Geithner | Ben Bernanke | 14 624 184

communiste, avec Sartre et sa revue, Les temps modernes. 1953 - Camus revient au théâtre, passion qui dominera toutes les dernières années de sa vie. Il traduit et adapte Les esprits (comédie de Pierre de Larivey), La dévotion à la croix (de Pedro Calderon) qu'il présente au festival d'Angers (juin). En octobre, projetant de mettre en scène Les possédés, il travaille à l'adaptation du grand roman de Dostoïevski. 1954 - Printemps : publication de L'été. 4, 5, 6 octobre : court voyage aux Pays-Bas, unique

Amériques " porté par les États-Unis dans les années 1990. Mais si globalement on tourne Nestor Kirchner en Argentine et l'Uruguayen de centre gauche la Colombie où a été réélu le conservateur Alvaro Uribe et le Mexique où le candidat de droite Felipe Calderon l'a emporté de justesse. Le 3 décembre 2006, a obtenu des pouvoirs spéciaux pour promouvoir la loi pétrolière (appliquée avec retard) et la réforme agraire, ce qui avait provoqué une levée de boucliers dans le infrastructures et le logement.

et partagée sur la décision à prendre. Impossible d’envoyer Ricardo seul à Paris, le déménagement de toute la famille est d’autre part inenvisageable : le fils aîné doit terminer ses études d’ingénieur à Barcelone. Par ailleurs J. Bautista Pujol et Felipe Pedrell insistent pour que Ricardo étudie dans la capitale, la ville lumière étant à cette époque un objectif incontournable pour les artistes étrangers. Sur ce, Albeniz demande à entendre le jeune pianiste ; impressionné par ses possibilités, il

notamment au trafic de drogue, Felipe Calderon a décidé de déployer l’armée et de réorganiser la police. La violence ne cesse de croître (plus de 34 000 victimes liées au narcotrafic depuis 2006, plus de 15 000 en 7 Parti Révolutionnaire Institutionnel 26 2010) ainsi que les enlèvements. Des abus commis par les militaires ou la police, des dysfonctionnements de la justice ont été rapportés et dénoncés. Effectivement, le gouvernement du président Felipe Calderon a tenté en vain une lutte acharnée