Félix de Vandenesse

vu interne ou omniscient * Surprise : coup de foudre ( « subitement » le regard) * Destin/Amour impossible/Lyrisme Personnages : * Felix de vandenesse * Mme de Marsauf Le texte est : * Un roman (Topos, scène de rencontre) * Registre lyrique * Texte descriptif (personnages, la scène) et narratif (la métamorphose de Felix) * Texte expressif En quoi ce texte est-il plus expressif que narratif Plan : I. L’art du récit 1. Une scène de rencontre typique

BALZAC ‘’Le lys dans la vallée’’ (1835) Roman de 290 pages Le narrateur, Félix de Vandenesse, raconte comment, après une enfance et une adolescence malheureuses où il a été sevré d’affection, il fit des études qui, l’ayant épuisé, l’ont amené, en 1814, à venir se reposer en Touraine où il retrouva une femme inconnue qui, dans un bal, l’avait frappé par sa beauté au point qu’il avait osé baiser son dos nu. Madame de Mortsauf vivait dans un domaine de la vallée de l’Indre, avec son mari

humble. Nature les rossignols chantent la mort d’Henriette. La religion et de la pureté sont présents. Narration fonction interne. Point de vue d’un personnage Félix, Vandenesse amoureux, sourde jusqu’au bout expression amoureuse, chasteté absolue. Communication des âmes, derniers mots au discours direct. La dernière parole au DI est pour Félix ainsi que le dernier regard. Ce que le perso ressent est décripté, il lui embrasse le front. « je l’aimais morte, autant que je l’aimais vivante. Des chiffres

spirituel » Félix. Le roman se construit autour de cette femme et de sa vertu . Il s'agit en réalité d'un roman épistolaire. Félix de Vandenesse, frère de Charles de Vandenesse que l'on retrouvera dans La Femme de trente ans, écrit une lettre à une femme, Mme Nathalie de Manerville. Ainsi le roman se compose d'en réalité trois lettres, une première qui sert d'introduction de Félix à Mme de Manerville, la deuxième compose la quasi totalité du texte du roman, elle est également envoyée de par Félix à Mme

: Il est considéré comme un des écrivains les plus spirituels et les plus paresseux de l'époque. Dans Une fille d'Ève c'est lui qui présente l'écrivain Raoul Nathan à la jeune comtesse Marie-Angélique de Vandenesse dans le salon de la Comtesse de Montcornet. Nathan séduit la comtesse de Vandenesse, puis Blondet lui conseille de se lancer en politique et de devenir le héros du centre-gauche. L'ambitieux Nathan se lance en effet en politique. 1836 : dans La Maison Nucingen, Blondet est avec Finot et

dans l’espoir d’etre mis sur son testament. Un soir, verse ce meme temps, il emmena souper, chez Véry, Raoul Nathan à profiter des faveurs de la comtesse Félix de Vandenesse (Une fille d’Eve).En 1833, chez la princesse de Cdignan, en présence de marquise d’Espard, des vieux ducs de Lenoncourt et de Navarreins, du comte et de la comtesse de Vandenesse, d’Arthez, de deux ambassadeurs, de deux orateurs célèbres de la Chambre de pairs, Rastignac entendait son ministre révéler les secrets de l’enlèvement

dans laquelle Félix de Vandenesse fixe les conditions, circonstances et objets du récit qui suivra, je cite : « Aujourd’hui tu veux mon passé, le voici. ». Ce récit s’intéressera donc à la solitude vécue par Félix durant son enfance et sa jeunesse mais aussi à sa rencontre avec Madame de Mortsauf. Le récit de la jeunesse de Félix caractérisée par la solitude et l’abandon représente une caractéristique essentielle du roman d’apprentissage ou d’initiation. En effet, Félix de Vandenesse dans ce premier

de lord Dudley, dandy cruel et puissant, il fait partie des treize conjurés de l’Histoire des Treize, dans Ferragus, la Fille aux yeux d’or et la Duchesse de Langeais. Il est l’amant d’Anastasie de Restaud dans le Père Goriot, et l’ennemi de Félix de Vandenesse dans le Lys dans la vallée. Ami et complice de Maxime de Trailles dans Gobseck, il attise et encourage l’ambition de Rastignac dans Illusions perdues. Il meurt dans d’étranges circonstances (Une ténébreuse affaire). Béatrix de Rochefide et

dans sa version complète, fut publié en 1836 chez Werdet. L’écriture du Lys dans la vallée s’est échelonnée sur plusieurs années. Dans une première ébauche, que l’auteur abandonnera momentanément, Blanche de Mortsauf, (surnommée Henriette par Félix de Vandenesse) apparaît sous les traits de Mina, femme dévouée à la souffrance en 1823[1]. C’est ce portrait-là qu’il a développé et enrichi après avoir lu Volupté de Sainte-Beuve, ce qui excita la hargne du critique littéraire qui savait son roman imparfait

amours, ses affaires, sa vie en somme. Il est intéressant d’étudier son œuvre comme étant un témoignage sur sa vie car, sans cesse, il transposa des éléments de sa vie dans l’intrigue et les personnages de son œuvre. Dans Le Lys dans la vallée, Félix de Vandenesse, reproduit, en partie, la vie du jeune Honoré à Paris et sa relation avec sa mère et avec l’argent. Ce personnage principal est le porte-parole de l’auteur sur les rapports qu’un enfant peut avoir avec sa mère, « quelle vanité pouvais-je blesser