Femme de couleur

Aussi, Apollinaire a décrit les oeuvres de Sonia et Robert Delaunay avec le terme “orphisme” et que leur idée de la peinture était la recherche sur la (couleur) pure, et sur l'instantané. L’idée d'écrire l’instantané est aussi un défi pour de nombreux auteurs. b. Sonia Delaunay expose aussi Philomène (1907) et Jeune fille endormie (1907). Les couleurs de Prismes électriques et Jeune fille endormie sont similaires, notamment la tonalité de vert utilisée sur les contours de la jeune fille et sa main,

réels. - Formes et lignes : on peut immédiatement remarquer les formes géométriques qui forment le tableau. Elles inscrivent l’œuvre dans le mouvement du cubisme. - Le noir et blanc : le noir est la couleur du deuil, les couleurs symbolisent le deuil du peintre, des espagnols. Ces couleurs sont aussi celles des actualités de l’époque. Le tableau a donc une valeur documentaire, informative. - Composition : l’œuvre peut être découpée en 3 parties. 4.1 Analyse détaillée La pièce maîtresse

la première fois, la Française où qu’elle vive reçoit une image unique de la femme à travers les publications féminines, où les mannequins posent dans des tenues de haute couture. Les photographes les mettent en  scène, à la plage, faisant du sport, devant une voiture… Ces magazines renvoient une image parfaite de la mère de famille dévouée, une vision délaissée au sortir de la Première guerre mondiale au profit de la femme moderne et indépendante. Désormais, les femmes portent le plus souvent le tailleur

par contre il a joué plusieurs rôle artistique comme  peintre, photographe et réalisateur de films. Son coté cinéaste a joué sur l’œuvre Le violon d’Ingres avec sa mise en scène qui s’est faite connaitre dans le monde entier. L’œuvre représente une femme, Kiki de Montparnasse, légalement Alice Prin, étant en couple avec Man Ray, avec en surimpression sur son dos nu, les ouïes d'un violon. Sa coiffe, un turban, évoque les tableaux orientalistes du peintre français Jean-Auguste-Dominique Ingres, duquel

  Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans

INTRODUCTION la discrimination peut avoir plusieurs victimes :  -un étranger :  "la possibilité d'être embauché serait-elle directement proportionnelle à la quantité de mélanine produite par la peau ?"  -une femme (qui ne sera pas embauchée car elle a/aura des enfants) :  "avez-vous conscience que vous avez fait rater un entretien d'embauche à votre mère car vous avez eu le tort de vivre"  Sujet de l'étude: L'étude porte sur la non-discrimination à l'embauche : La non-discrimination

Cependant, la première oeuvre qu'il exposa au salon, l'Esméralda, 1864, connut un véritable succès. Il peint énormément de paysages et de corps humains, principalement des corps féminins, surtout celui de Lise Tréhot qui fut sa maîtresse. Cette jeune femme fut vitale à l'art de Renoir car, lorsque leur relation se termina, les oeuvres du peintre changèrent. Il était plus tempéré dans ses émotions. Sa carrière débuta réellement en 1867 lors de l' exposition de son tableau « Lise à l'ombrelle ». De

ds une longue trad vantant mérite de la «dame» avc topos connu de femme fleur, on peut se demander : S'agit-il d'un poème lyrique? ANALYSE : I. Un poème particulièrement déconcertant, qui à 1ère vue ne semble pas lyrique absence de ponctuation déconcertante + vers nn réguliers (répartis de manière fantaisiste) s'adresse à la femme directement (peu courant ds la poésie) → «et ma vie pour tes yeux»

surtout avec les couleurs qu’il attribue au portrait. On peut voir que les cheveux de Marilyn son jaunes, sa peau est rose, ses paupières et ses vêtements sont turquoises et sa bouche rouge. Les couleurs sont vives et accentuées. D’une part, on pourrait qualifier ce portrait de factice puisque Warhol ici ne représente pas la réalité dans le sens où les couleurs sont bien trop vives. De plus, si l’on compare avec la photographie originale, on peut constater bien sûr que les couleurs ne sont pas identiques :

avec des bandes de silicones dans lesquelles il coule la résine de polyester. Ce matériau permet des reproductions détaillées. Il peint ensuite à l’acrylique puis à l’huile ses mannequins de manière vériste (=fidèle), sans négliger aucun détail : couleur de la peau, bleu des veines, taches de rousseur, rides, pilosité... Il ajoute de vrais cheveux, des yeux de verre, des vêtements de circonstance et une foule d’accessoires. Duane Hanson accorde la plus grande importance aux vêtements de ses sculptures