Femmes Et Tertiarisation

LA PLACE DES FEMMES DANS LA VIE POLITIQUE ET SOCIALE AU XXè SIÈCLE. Au début de la IIIè Rép, les femmes n’ont pas ou peu de droits politiques et sont dans un état d’infériorité juridique et sociale (code civil napoléonien). La contradiction entre les idéaux républicains émancipateurs, égalitaires et la condition des femmes conduit à des réformes. Le XXème siècle est celui de l’émancipation des femmes, mais avec une évolution lente, chaotique, et incomplète. La véritable rupture s’effectue dans les

manifestent la difficulté de conciliation emploi-famille. Relation entre emploi et famille et son évolution Le profil de la population active québécoise a grandement changé au cours des récentes décennies. Pensons d’abord à l’entrée massive des femmes sur le marché du travail, mouvement qui s’est accéléré surtout à partir des années 60. La nouvelle main-d’œuvre compte également plus de familles à deux revenus, plus d’hommes assumant directement des responsabilités familiales, plus de familles monoparentales

s’y perpétuent : évolutions majeures blocages sociaux * aboutissement des processus d’industrialisation et d’urbanisation * tertiarisation des activités * effondrement du parti communiste et de la culture de la lutte des classes * bouleversement des mœurs par l’explosion de la liberté individuelle * émancipation qualitative et quantitative des femmes ( 3 /4 des femmes qui travaillent, nbr de mariages qui baisse de moitié alors que se doublent les divorces…) * des systèmes d’organisation et

l’esclavage des femmes : Au Zaïre 70% des taches domestiques ou de production sont réalisées par des femmes. Les jeunes filles doivent travailler dés l’âge de 10 ans, puis elles sont mariées de force ou vendues en prostitution. Les femmes africaines peuvent donc être considérées comme les esclaves d’aujourd’hui et l’économie africaine a longtemps été fondée sur cet esclavage. L’exploitation des femmes provoque ainsi un cercle auto-entretenu de pauvreté et d’exploitation. L’esclavage des femmes dispense

L’emploi génère un revenu qui permet de sortir de la pauvreté Le travail marque l’entrée dans le monde adulte en rendant financièrement indépendant. C’est l’une des raisons pour lesquelles la part des femmes dans la population active n’a cessé d’augmenter depuis trente cinq ans – 13,4 millions de femmes au travail sur les 28,2 millions que compte la population active totale selon les dernières statistiques de l’INSEE.. Le revenu tiré de l’emploi permet de se libérer de l’emprise de la pauvreté et

d'activité qui passe de 35% en 1954 à 65% en 1980, auj : 81%. Ce phénomène s'explique pendant un changement de mentalité → énonciation des femmes Femmes profitent de la démocratisation de l'enseignement + l'essor du tertiaire → exercent de plus en plus une activité salariée = employées de bureau, dans la santé, l'éducation. Cependant, la situation professionnelle des femmes restent plus précaires que celle des hommes : salaire moyen annuel inférieur, taux de chômage plus élevé, emploi à temps partiel plus

permettant de se protéger d’une certaine manière du chômage. Dans le tableau ci-après, on peut voir que Pour les hommes comme pour les femmes, l’intensité du lien entre diplôme et risque de chômage décroît nettement avec l’ancienneté. Il est, par ailleurs, systématiquement plus élevé pour les femmes. Des inégalités persistent donc entre les hommes ainsi que les femmes sur le marché du travail. En effet, l’adéquation supposée entre diplôme et emploi repose d’abord sur celle attendue entre compétences

économiques sociaux et politiques. • Transformations de l’appareil de production : tertiarisation et désindustrialisation massives, féminisation, qualification.  La baisse du monde ouvrier, bastion traditionnel très syndiqué comportant une importante conscience de classe, donc très impliqué au sein de l’action collective est un facteur de désyndicalisation. Ce déclin s’explique par la désindustrialisation et la tertiarisation de l’économie dues au progrès technique et à la hausse de la qualification.

* Les ouvriers avec savoir-faire * Les femmes et les enfants * Les ouvriers de l’exode rural sans qualifications * Les immigrés. La condition ouvrière est caractérisée par 2 choses : * La précarité (menace de chômage constante * La difficulté de la vie (salaire permet tout juste de survivre. De quoi est composée la classe moyenne, comment sont ils appelée ? De petits commerçants et de métiers issue de la tertiarisation elle-même créée grâce a l’industrialisation. Ils

2. Une croissance élevée est-elle compatible avec un développement durable II Toutefois la croissance peut être à la fois élevée et soutenable A La technologie favorable ( techniques moins polluantes + énergies renouvelables ) B L’avenir : tertiarisation de l’économie moins polluantes + prise de conscience politique Protocole de Kyoto I la croissance peut parfois sembler remettre en cause le bien être des générations futures A : un mode de consommation actuellement non soutenable ( épuisement