Fenêtre Sur Cour

TEXTE 5Il faut nous quitter, ma fille, lui dit-elle, en lui tendant la main ; le péril où je vous laisse et le besoin que vous avez de moi augmentent le déplaisir que j’ai de vous quitter. Vous avez de l’inclination pour M. de Nemours : je ne vous demande point de me l’avouer ; je ne suis plus en état de me servir de votre sincérité pour vous conduire. Il y a déjà long-temps que je me suis aperçue de cette inclination ; mais je ne vous en ai pas voulu parler d’abord, de peur de vous en faire apercevoir

informe, embryons près d'éclore, Puis vous les aviez mis, prompts à vous accorder, Dans le feu, pour jouer, pour voir, pour regarder Dans une cendre noire errer des étincelles, Comme brillent sur l'eau de nocturnes nacelles, Ou comme, de fenêtre en fenêtre, on peut voir Des lumières courir dans les maisons le soir. Voilà tout. Vous jouiez et vous croyiez bien faire. Belle perte, en effet ! beau sujet de colère ! Une strophe, mal née au doux bruit de vos jeux, Qui remuait les mots d'un

A Torcello, île du nord de la lagune, le campanile de Sainte Marie Génitrice (ou Santa Maria Assunta) achevé en 1008 et toujours debout, a donc aujourd’hui mille ans. Il est à plan carré. Ces flancs ont des pilastres surmontés d'arceaux aveugles. Des fenêtres à colonnettes éclairent la cage. Egalement à Torcello, l'église Santa Fosca, de 864, a été reconstruite au 10e siècle sur le plan central à croix grecque. La coupole, n'ayant pas été construite est remplacée par une couverture de bois.Ce sont les

tapisserie, mais aussi : chiens, basse-cour, palefreniers…Le lieu = province rurale d’un royaume mal connu des Français, la Vestphalie (orthog. francisée de Westphalie).( Ancrage dans un «  ailleurs » laissant libre champ à l’imagination. Les personnages semblent mener une vie dans un monde clos et réduit, comme coupé du monde réel : leur univers se borne au château et à ses environs immédiats (chasse, ferme, écuries) : son château…une porte et des fenêtres, …Sa grande salle, une tapisserie…ses

Document sans titreGerrit rietveld : maison Schroeder Il s’agit d’une moitié de double maison, qui est intégrée au rez-de-chaussée par l’arbre dans la cour intérieure, avec clarté et des pièces fragmentées. L’aspect le plus remarquable de la Rietveld-Schröder est l’indépendance visuelle de ses parties par la séparation physique des plans, l’utilisation des plans libres et la modulation des plans horizontaux et verticaux et l’utilisation de la couleur, qui accentue et détermine l’identité de chaque

Seconde 1 Sujet d’invention sur « Phèdre », Jean Racine. Sujet : Phèdre bouleversée par les évènements qu’elle vient de vivre, écrit à une amie intime une lettre, afin d’expliquer ce qui vient de se dérouler à la cour de Thésée. Ma chère amie Ronsoir, Vous avez sans doute appris cette dernière nouvelle, la mort de ma maîtresse. Ce décès m’a profondément touché car elle était pour moi, une amie fidèle et joyeuse. Hippolyte, le fils de Thésée, fut tué par un monstre

fait ressortir la perspective. Au milieu de cet intérieur il y a un meuble de bois, qui est le cabinet d'étude de saint Jérôme. La fenêtre inférieure de gauche s'ouvre sur un paysage miniature de campagne. Au premier plan on peut apercevoir, au bord d'une rivière qui coupe horizontalement l'espace de la fenêtre, un arbre à gauche, et deux personnages. Les deux fenêtres inférieures de droite laissent voir la continuité du paysage de gauche. Cependant il n'ya aucune trace humaine, seules les boules

il est « Tête nue. Sans épée », il se place tout en bas de la société. Ces constats d'à première vue nous sont confirmés dès la première scène, dans laquelle Ruy Blas exécute les ordres de Don Salluste: « Ruy Blas, fermez la porte,-ouvrez cette fenêtre. Ruy Blas obéit »(v.1). Nous repérons les impératifs employés par Don Salluste, les termes respectueux de Ruy Blas, « Seigneur »(v.59). Don Salluste et Ruy Blas forment donc un couple maître-valet caractérisé par leur attitude, leur langage et aussi

La vie est une reve(songe) calderon Résumé de l'œuvre 1er jour Rosaure se dirige vers la cour royale de Pologne pour se venger du duc Astolphe qui lui a fait une promesse de mariage, puis l'a abandonnée. Déguisée en homme, elle est accompagnée de son valet Clairon. Elle aperçoit une forteresse où elle trouve un prisonnier enchaîné, Sigismond. Elle apprend qu’il est encore plus malheureux qu’elle : il n’a jamais quitté sa tour et la seule personne qu’il voit est Clothalde, qui l’éduque

contenu. Instantanément, elle commence à grandir jusqu’à ce que son corps remplisse toute la maison. Le Lapin blanc vient chez lui à la recherche de Mary Ann. Voyant l’énorme bras d’Alice qui dépasse de la fenêtre, il envoie chercher de l’aide. Une foule d’animaux jette des cailloux par la fenêtre, et les cailloux se transforment en petits gâteaux. Alice en mange un pour voir si cela va la rétrécir. C’est le cas, et la petite Alice s’enfuit de la maison. Après s’être échappée d’un chiot, elle aperçoit