Ferdinand Ier de Naples

Amboise en 1470 et mort en 1498. Roi de France de 1483 à 1498, fils de Louis XI et Charlotte de Savoie. Il gouverna sous le règne de sa sœur (Anne de Beaujeu) puis fut marié à Anne de Bretagne pour amener ce pays à la France. Il convoitait le royaume de Naples et pour agir librement en Italie, il donna le Roussillon à l’Espagne et L’Artois ainsi que la Franche-Comté à l’Autriche mais son expédition en Italie échoua complètement. La guerre de 100 ans oppose l’Angleterre à la France Jeanne d’Arc

III à partir du 2 décembre 1852. Il est donc à la fois le premier président de la République française et le dernier monarque français. Issu de la maison Bonaparte, prince français à sa naissance et prince de Hollande, il est le neveu de Napoléon Ier, il est le troisième fils de Louis Bonaparte, roi de Hollande, et de Hortense de Beauharnais, fille de l'impératrice Joséphine. Il devient l'aîné de la famille impériale après les morts successives de son frère aîné en 1831 et du duc de Reichstadt (Napoléon

on voit qu’elle s’élance dans l’harmonie. » On sait que plusieurs Angevins dont  l’imprimeur Léon Cosnier l’ont entendue, vers 1835 au théâtre San Carlo de  Naples puis à paris au Théâtre-italien. elle rivalise de talent et de succès avec Giuditta pasta (1797-1865) (fig. 30, p. 46), la première à être sacrée « diva » en 1826, année où deux artistes français  prosper barbot et Jules Coignet l’applaudissent à naples dans le rôle de médée  (C. Giraud-Labalte), et aussi avec la pisaroni, Henriette Sontag (1806-1854) (fig. 6), puis Wilh

l’empressement qu’ont eu les jésuites de traduire en français les ouvrages de ce bel esprit espagnol leur confrère, tout occupé à traiter de la politique dans le goût d’une morale profane... » ? J. de Courbeville traduisit aussi El Político (Le Politique Dom Ferdinand le Catholique), qui parut en 1732. (N. d. E.) 5 Préface de El Discreto qu’il cite, et dont il oublie ces paroles : muchos faltan, hasta doze. Il est vrai que Lastanosa ne nomme pas ces douze traités, mais il était pourtant de l’exactitude d’un

chrétiens .................................................................. 26 Fiche de révision / Exercice La Gaule chrétienne ................................ 27 Vers le Bac Composition (1) : Quels rapports entretiennent Rome et les chrétiens du Ier au IVe siècle ? ........................................ 27 Partie 4 Le temps de l’humanisme et de la Renaissance Chapitre 6 Les débuts de l’humanisme et de la Renaissance Dossier .............................................. 49 La révolution

été tissée par les occupants latins. Afin de concrétiser leur occupation, les Romains avaient aménagé un réseau routier dont la plus grande partie de l’infrastructure, formée de voies consulaires (ou impériales) et vicinales, fut achevée entre le ier et le début du iie siècle. Nos régions furent parcourues de trois voies consulaires : une voie reliait Reims à Trèves et traversait, entre autres, les actuelles localités de Hagen, Mamer, Strassen, Luxembourg, Senningen, Grevenmacher en franchissant

secouer les vieilles hiérarchies. C’est un mouvement qui trouvera inégalement des adeptes dans différents Etats. On constate que le Piémont reste à l’écart des grandes réformes administratives alors qu’il sera le moteur de l’unification. A l’inverse, Naples (conservatrice, hiérarchisée, rurale) fait un grand accueille aux réformes administratives. Comment comprendre cela : * Au XVIII siècle, l’idée de l’unité italienne est impensable car les rapports des Etats aux Lumières sont rares. Très peu

l’empereur d’Autriche. L’empire d’Autriche domine toujours les pays danubiens à populations allemande, magyar, slave ; s’y ajoute, en Italie, le Royaume lombard-vénitien. Le reste de la péninsule est divisé, les états les plus importants sont le royaume de Naples, les États de l’Église, le royaume de Piémont-Sardaigne. Le tsar quant à lui conserve la Finlande, la Bessarabie, et contrôle directement un royaume autonome de Pologne autour de Varsovie. Pour maintenir cet équilibre, Alexandre 1er va mettre en

siècles av. J-C.) Mise en œuvre – La participation du citoyen aux institutions et à la vie de la cité : fondement de la démocratie athénienne. – La démocratie vue et discutée par les Athéniens. Question obligatoire Citoyenneté et empire à Rome (ier- iiie siècles) Mise en œuvre – L’extension de la citoyenneté à la Gaule romaine : les tables claudiennes. – L’extension de la citoyenneté à l’ensemble de l’empire : l’édit de Caracalla. Thème 3 – Sociétés et cultures de l’Europe médiévale du

de paix du 30 mai 1814 avec la France reste modéré : aucune indemnisation à payer, pas de réduction territoriale  ne pas compliquer la tâche aux Bourbons. Russie : désir d’attacher toute la Pologne, déjà en possession de la Bessarabie. Alexandre Ier initiateur de la Sainte Alliance. Metternich ne souhaitait pas d’accroissement territorial pour l’Autriche (maxi de l’empire à ses yeux). Méfiance vis-à-vis des ambitions territoriales russes et prussiennes. Talleyrand arrive à Vienne armé d’une profonde