Fierté

Paragraphe 2 : Dans le poème intitulé « Gretchen la pâle », Émile Nelligan décrit d’abord une femme fière à la beauté parfaite, pour ensuite la présenter comme un être cruel. En effet, l’image la femme de ce poème est, en premier lieu, comparée à la fierté ainsi qu’à la perfection de sa beauté. La citation suivante : « Elle est de la beauté des profils de Rubens/ Dont la majesté calme à la sienne s’incline. » prouve, par une métaphore, à quel point la femme est belle. En effet, dans son poème, Émile

Trivelin s’efforce-t-il de l’aider à se libérer de cette condition ? Ne l’a-t-elle pas méritée ? Oui, cependant le but de Trivelin n’est pas de punir les maîtres, mais de leur faire rendre compte combien ils sont ridicules avec leur amour-propre, leur fierté, leurs manières et également pour leur ouvrir les yeux sur la façon dont ils leur arrive souvent de traiter leurs esclaves.3 La deuxième partie de cette scène marque un tournant dans la position d’Euphrosine. En effet, elle commence à être intéressée

sensation d’humilité, Alexandre se sent tout à la fois gonflé de fierté à l’idée de se montrer avec Ginou et d’avoir réussi à être accepté par une jeune fille bourgeoise : « […] je fus trop intéressé, trop flatté pour ne pas m’émouvoir. Je tâchai de me contraindre à l’indifférence. » (p. 197) Ainsi, malgré l’émotion dans laquelle se retrouve plongé le narrateur, son orgueil le pousse à feindre l’indifférence et il ressent une réelle fierté pour être quasiment parvenu à conquérir Ginou : « Je me sentais

* Militaire (« geste militaire », « marche d’un soldat »), il a gardé sa démarche militaire même s’il a rejoint la vie civile. * La fierté (« regard rapide, circulaire », « il portait beau par nature », « cambrai », « poitrine bombée », « frisa sa moustache »), de plus, tout le monde le regarde(les femmes avaient levées la tête vers lui. ») * La fierté est aussi montré par son caractère : «  poussant les gens », il avançait brutalement », « l’air de défier », « heurtant », « poussant »

de noirceur qui jongle de ceour en ceour. mais qué t'il advenu de ce monde, ou sont c merveilleuse vertu qui fesait la fierté de l'homme ? en diré une prison de desir innacessible, un reve d'une beauté destructrice et fatal pour tous ceux qui s'y engage, jamais auparavant la matiere na pris une telle empleur dans le ceour des gens. en parle de liberté de reussite de fierté, mais tous né qu'illusion et mirage. parfois on a l'impression qu'on passe toujours a coté, mais comment saisir cette fameuse

surmonter un malheur nous apporte de la confiance en soi, de la fierté. Nous pouvons prendre l’exemple d’un enfant qui subit un divorce par ses parents. Au début, il sera triste et malheureux. Mais qu’après un certain temps, cela l’endurcira et il aura une meilleure confiance en soi. En conclusion, un malheur nous permet d’apprendre à ne pas faire les mêmes erreurs du passé et que lors nous surmontons cette épreuve, cela nous apporte de la fierté.

Elle évoque tout d'abord son honneur et sa fierté qui représente la mentalité du peuple juif de l'époque: « J'ai porté la tête haute, et j'ai si bien regardé les gens en face qu'ils détournaient les yeux. » (l.2-3); « mais je l'ai regardé fièrement. » (l.14). Cependant Hélène Berr vient parfois à se poser des questions et fait preuve de faiblesse: « Mais je ne pouvais pas le regarder en face, » (l.23). Ce qui ne l'empêche pas de retrouver une certaine fierté: « Je ne voulais pas porter l'étoile, mais

Lyon, lieu du nom droit et de la violence. Y règne sans partage la violence, la sexualité, l’alcoolisme et la saleté. Tout commence par une insulte à la bonne conscience bourgeoise : Calaferte, le seul élève à obtenir son certif, le déchire avec fierté devant le directeur de l’école !!! Oubliez les récits de l’enfance fondés sur les beaux souvenirs nostalgiques ! Ce livre est plutôt l’héritier de Vallès avec la misère en plus. L’enfant n’est pas un être innocent mais au contraire une créature

cristal ou même àde la porcelaine. Si précieux, si fragile et si rare. Il faut savoir le garder, en prendre soin, très grand soin. - Mais quel intérêt à garder jalousement son bonheur pour soi ? Pourquoi ne pasmontrer avec fierté que nous sommes heureux ? - Parce que la fierté tue le bonheur ! Le garder jalousement ? Oui. Parce qu’il vaut mieux que la jalousie intervienne de cette façon plutôt qu’ellesoit attisée en laissant le bonheur aux vues de tous. Vous aviez raison de parler de trésor, le Bonheur

OUI | NON | On se croit capable de réussir. | X | | On peut être facilement rejeté par quelqu’un. | X | | On pense ne pas être capable de réaliser ce genre de tâches. | X | | On ressent de la fierté parce qu’on est habile. | X | | On a peur d’ennuyer quelqu’un. | X | | On préfère reporter à plus tard des tâches difficiles. | | X | On peut acquérir une meilleure réputation. | X | | 4