Figure Du Tyran

la représentation dans la société que ce soit l’adultère (Le châtiment des amants, Paris, De Boccard, 1990) ou ici les jeunes filles. En ce lieu, en ce temps Pourquoi les jeunes filles? Pourquoi ce titre? La jeune fille n’est-elle pas une figure intemporelle, jeune et belle, qui comme l’éphèbe a toujours ébloui et fasciné les Grecs? En quoi la place de cette étape, entre deux âges, deux mondes : celui de l’enfant puis de l’épouse est-elle un révélateur de la société athénienne du Ve siècle

d’une confrontation entre deux approches du pouvoir, celle de Créon et celle de sa nièce Antigone * Différence, aussi, entre Antigone d’Anouilh et celle de Sophocle, qui et son intertexte principale : chez Sophocle, Créon est présenté comme un tyran, alors que chez Anouilh, il apparait comme un homme plus sage et plus mesuré. Si le pouvoir de Créon est illégitime chez Sophocle, c’est donc avant parce qu’il est mal exercé (en ce sens Créon s’oppose à Œdipe). En revanche, chez Anouilh, c’est la

institutions partielles qui vont évoluer entre le VIII & le IVe siècle av JC. Section 2 : Les instituions originelles de la Cité Si on ouvere les oeuvres d'Homère, on s'apperçoit que le monde gracs aux alentours du Xe siècle est dominé par une figure politique qui est celle du roi Héros. Un guerrier commande à une seie de chef de clans qui forme des companions d'arme. La creation formelle des cités vers le VIIIe siècle va remettre en cause se modèl institutionnel archaique. Progressivement dans

les déboires d’un petit garçon confronté à la cruauté pour la première fois. Ainsi nous verrons comment le thème intemporel de l’oppression des plus puissants sur les plus faibles nous est dépeint par chacun des auteurs. Lafontaine nous présente la figure de l’oppresseur sous les traits d’un loup. Il faut y voir ici la peur atavique envers l’animal reprise mainte fois dans la littérature. Cette crainte n’est pas sans nous rappeler celle des « Grands », la noblesse qui, sous louis XIV, détenait tous

- Auteur : Érasme (année de naissance non exacte: 1466 ou peut-être 1467 ou 1469 - mort: 1536), est un prêtre catholique évangélique et écrivain humaniste. Il considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive. - Contexte historique : Réformes et guerres religieuse (dimensions dans l’Église chrétienne). Époque de Montaigne, différentes catégories sociale. Courant littéraire : Humanisme - Œuvre : différents extraits tirés de l'Éloge de la Folie. La Folie fait son propre éloge

particulières seront les différents articles de l’Encyclopédie, et l’arbre ou système figuré en sera la mappemonde. L’usage d’une métaphore géograaphique permet de montrer la grandeur et la diversité du projet encyclopédique. De plus, tout un champ lexical de la raison, de la connaissance apparaît avec des termes tels ordre encyclopédique, connaissances, philosophe, opérations qu’il peut faire sur ces objets, système figuré, cartes particulières. Bien qu’il reconnaisse officiellement l’autorité de l’Eglise

laisser en leg un Etat riche car avant qu’il ne soit mis au banc de la société internationale : plus d’un lui faisait les yeux doux et parmi lesquels figure Sarkozy, un de ses bourreau. Qui ne se rappelle du tapis rouge qui lui avait déroulé en France et des tirades de Rama Yade, alors ministre, qui se dressait contre cet honneur réservé à un tyran. Le monde a changé, l’Afrique avec ! Au Gabon et au Togo, les fils de président ont fait main basse sur le pouvoir. En lybie, Chaif al Islam est tombé

Lecture Analytique 1 La Boetie I-Critique/Blâme du tyran, de la tyrannie Le tyran n’est pas mentionné dans les quatre premières lignes du discours. Il apparait par le pronom indéfini « on », à la ligne 5. On l’appelle aussi « ennemi », adversaire. Il est celui qui veut détruire, faire du mal, nuire, ligne 7. Il apparait indirectement par la périphrase « celui », l7. « Ce maître », ligne 9, implique le type de relation dominé-dominant. Il apparait indirectement à travers les actions qu’il exerce

derrières. on construits des théâtres( en grec lieu ou l'on voit) pour permettre a chacun d'y assister avec le plus grand le théâtres de Dionysos a Athènes derrière l'acropole (15 000 places) tragos --> Le bouc On peut rapprocher le bouc au satyres. Figures mi homme mi bouc qui représentent la pulsion le désir associé au culte de Dionysos tragoidia---> le chants Peu être il y avait 'il des hommes déguisée en bouc, ou alors on sacrifiait un bouc pour la pièces ou bien était ce la récompense du gagnants

témoins, accusés, tous condamnés d'avance». Et Caesonia accepte de le suivre dans ce qui pour elle est folie. Acte lI Les patriciens se plaignent des avanies multiples et vexatoires que leur fait subir «depuis trois ans» «le plus insensé des tyrans», et sont prêts à une sédition. Cherea se joindrait à eux «pour retrouver la paix dans un monde à nouveau cohérent», mais leur demande d’attendre, d’aller dans le sens de Caligula : «Organisons sa folie.» Hélicon, avec son ironie habituelle, soutient