Filles et garçons

parlent moins, c'est que le travail s'accomplit maintenant sur le terrain, dans les quartiers. Au fameux manifeste en dix articles (« Respect ? On se parle sur un autre ton » ; « Pas besoin de sa bande pour se parler » ; « Les mecs qui frappent les filles sont des impuissants » ; « Quand on casse, c'est toujours nous qui payons »...) s'est ajoutée une charte qui per-met aux signataires de s'engager à diffuser les idées pacificatrices et à organiser des débats dans la rue, les cités, les établissements

que celle de la famille. Tout d'abord, l'école traite tous les élèves de façon égale, elle développe les valeurs d'égalité des chances, de mérite, de tolérance, de compétition, de réussite. Les filles sont éduquées comme les garçons et sont incitées à investir les domaines réservés jusque-là aux garçons. Au moment de l'orientation, le conseil de classe raisonne à partir des résultats scolaires et non du sexe ou du milieu social .La mixité s'est imposée peu à peu à l'école. Or, la socialisation par

le genre. Les garçons et les filles sont élevés de manière particulière en respectant certains stéréotypes véhiculés par la société. Par exemple lorsqu’un petit garçon tombe on va le remettre sur ses pieds et lui demander de ne pas pleurer, lui dire que ce n’est rien alors que la petite fille sera consolée, cajolée et on trouvera ses larmes plus « naturelles ». Tout cela vient du fait que la société considère que les garçons doivent être forts et ne pas se plaindre. Ainsi les garçons sont plus stimulés

 Les filles aussi ont droit à une éducation « Toutes personnes à droit à l’éducation » Extrait de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme « L’éducation est un droit, mais pour trop de femmes et de filles ce n’est toujours pas une réalité. L’éducation nous envoie un message… un message de confiance et d’espoir. Elle dit à chaque enfant : tu as un avenir ; ce que tu penses, c’est important. » Ban Ki-Moon, secrétaire générale des Nations Unis « Toutes

fillette est aussi robuste que ses frères et elle manifeste les mêmes capacités intellectuelles.  Ainsi c'est l'intervention d'autrui dans la vie de l'enfant qui dès ses premières années semble lui insuffler sa vocation.  Une différenciation commence à se faire entre fille et garçon : c'est aux garçons surtout qu'on refuse peu à peu  baisers et caresses ; quant à la fillette, on continue à la cajoler, on lui permet de vivre dans les jupes de sa mère, le  père la prend sur ses genoux et flatte ses cheveux ; on l'habille avec des robes douces comme des baisers

vouvoiement . Dans une classe, les garçons ont tendance à appeler les filles par leurs noms de famille en ajoutant « San ». Selon les contextes, précédé du prénom ou du nom de famille ou bien encore d'un surnom ou d'un pseudonyme. On peut aussi l'utiliser avec le nom d'une profession (Shichô-San : M. le Maire), d'un animal ou d'un lieu (Fuji-San). - Han : identique à ''San'' dans le Kansai (Kyoto et Osaka entre autres) - Chan : c'est un suffixe pour les filles, une marque d'affection donnée

libres sortent entre amis , leurs week end sont souvent consacrés aux sorties en boites de nuits , ou aux soirées entre amis . Les sports ont une importance dans leurs loisirs qui diminuent mais restent tout de méme présente ( Garçons : sports de combats , football ; filles : Danse , équitation , gym ). B) Le Style vestimentaire des adolescents (1960-2000) 1) Mode des années 1960 : La mode se constitue réellement avec l'invention de la haute couture. Après la seconde guerre mondiale la

disciplines : biologie, matérialisme, histoire. L’auteur utilise notamment des données scientifiques pour appuyer son propos et démontrer que les hommes et les femmes sont égaux dans leur formation biologique. Elle montre également comment et pourquoi au fil de l’Histoire la femme a été définie comme l’Autre puis dans une perspective mythique démontre comment des écrivains ont contribué à renforcer le mythe féminin qui englobe le dégoût de son propre corps, l’obsession de la virginité, et les exigences

disparité entre les garçons et les filles, c'est-à-dire la différence entre ces deux ci. 2. Selon Nicolas Jonas, dans son essai consacré à la famille, la disparité entre garçons et filles dans les différentes filières d’enseignement s’explique que dans l’enseignement général, plus les filières sont valorisées, plus la proportion de garçons est importante. Dans l’enseignement technique, les filles sont surreprésentées dans les filières tertiaires et médico-sociales et les garçons dans les filières

qu'il y a plus de garçons que de filles au niveau primaire à l'âge de onze ans, la plupart des filles et garçons sont à l'enseignement secondaire. Par la suite, nous pouvons voir que le taux de garçons en apprentissage est plus élevé que celui des filles. À l'âge de dix-sept, il y a 4,7% de filles en apprentissage contre 13,6% de garçons. Dans les études supérieurs, au contraire, nous faisons le constat qu'il y a plus de filles que de garçons. À l'âge de 20 ans, il y a 46,2% de filles qui sont en études