Financement Campagne électorale

cacophonie, le "tautisme"l , trop de communication finissant par tuer la communication. En outre, et ce n'est pas le moindre, elle aurait le défaut d'être nouvelle, c'est-à-dire de rompre "avec ce qu'a été, très longtemps, la tradition de la campagne électorale en France"2. Comme toute activité nouvelle, elle doit ainsi construire sa crédibilité afin d'assurer sa légitimité. Par "légitimité" nous entendons, à la suite de Max Weher 3 , "l'état de ce qui 100 "LEGITIMITE" est justifié d'exister"4

le plus souvent une voie de tensions et de violences dans la plupart des pays africains. Rares sont des élections apaisées, livres et transparentes. Au Burundi, à quatre jours des élections communales, aucun incident n’est reporté mais la pré-campagne avait déjà fait peur au Burundi et plus d’une quinzaine de ménages de la province Makamba au sud du pays ont fui vers la Tanzanie[1]. En effet, plusieurs alertes sur un regain de violences ont été déjà lancées par des organisations neutres comme

les électeurs ne désignent pas directement leurs représentants. En 1815, sous la Restauration, le suffrage universel masculin est aboli et le suffrage censitaire est rétabli. En juillet 1830, la Monarchie de Juillet élargit de nouveau le corps électoral en abaissant le cens et l’âge minimum pour voter. L’adoption du suffrage universel Le 5 mars 1848, la République adopte le suffrage universel masculin qui ne sera plus remis en cause par la suite. Tous les Français âgés de 21 ans et

Lincoln, la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». Autrement dit le pouvoir est détenu par le peuple, mais cela ne doit pas se limiter à la période électorale. En effet, les citoyens doivent pouvoir exprimer leurs doléances en tout temps et pas seulement pendant la campagne électorale de leurs élus, pour cela il existe des moyens, certains sont à la discrétion des autorités publiques, comme par exemple le référendum, mais pour ne pas dépendre de la volonté des autorités

les électeurs potentiels et pas seulement par rapport aux inscrits sur les listes électorales, comme c'est le cas en France. Les intérêts particuliers sont représentés par toutes sortes de lobbies allant de la défense de l'environnement au port des armes (National Rifle Association). Le financement des campagnes : il existe un financement public pour la campagne présidentielle, contrôlé par la commission électorale fédérale. Séparation des pouvoirs : elle est garantie par la Constitution et son

sciences sociales. On finit par admettre cependant son importance, elle acquiert sa spécificité. 2 phases successives : - après 2nde guerre mondiale → on assiste à un renouvellement des forces politiques d'où l'intérêt des travaux de sociologie électorale + rapport USA et France, les universitaires se rencontrent. 1945 : école libre est nationalisée, puis perte avec apparition école administrative + association française de science po en 1949, 1951 revue française de sciences po - années 1960-1970 :

mandats électoraux et fonctions électives. Pour garantir l’accès de toutes les sensibilités politiques du peuple à la compétition électorale, la démocratie représentative a su également mettre en place des règles tendant à la promotion et au respect du pluralisme. Le financement des partis politiques, mis en place par la loi du 11 mars 1988 relative à la transparence financière de la vie politique, est la garantie que l’ensemble des courants politiques peuvent participer à la lutte électorale, mais

particulières. Mais cela peut aller encore plus loin : il existe des campagnes de courriers « fantômes ». Leur but est de ne pas se faire remarquer par les journalistes, le grand public et les adversaires. Cette pratique s’adresse aux principaux lobbies, aux donateurs généreux, aux personnes qui les aident à faire du phoning. Elle fut largement utilisée lors de la campagne présidentielle de 1980 même dans les derniers jours de la campagne. Ces courriers, parfois dans un langage grossier peuvent répandre

bâtiment, le contrôle des points stratégiques, la présence de casseurs et de cartouches vides trouvées à l’extérieur du bâtiment... La violence venue de l’extérieur voulait frapper fort dans un lieu où la droite a connu ses plus grandes défaites électorales. L’école de travail social de l’Université Centrale du Venezuela est bel et bien un bastion de la gauche, et le symbole d’une lutte universitaire des plus ardues.Le conducteur du bus calciné déclara dans un reportage de la chaîne municipale Avila

parmi les professeurs membres du Conseil universitaire; 5. un chargé de cours désigné pour deux ans par le collège électoral des chargés de cours; 6. un étudiant de deuxième ou de troisième cycle nommé pour un an par l’association ayant le pouvoir légal de nommer des représentants des étudiants de cette catégorie ou, en l’absence d’une telle association, élu par un collège électoral. Le mandat de l’étudiant est renouvelable une fois; 7. deux étudiants de premier cycle, nommés pour un an par l’association