Finitude

l’auteur va au-delà de la critique du traditionnel dogme de la volonté cher à de nombreux philosophes depuis l’Antiquité. On retrouve la remise en cause de l’idée même de liberté, l’illusion d’être maître de ses choix et l’impossibilité d’échapper à sa finitude mais la fatalité chère à Nietzsche est ici doublée d’un certain cynisme selon lequel la notion même de libre-arbitre aurait été créée pour endiguer encore davantage tout espoir d’émancipation de la condition humaine. On peut dès lors s’interroger

chemin, jamais au même endroit. Héraclite disait d'ailleurs : « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. ». Ce vers introduit alors tout le contenu du poème : la fuite du temps, cette fuite du temps elle-même est l'expérience de notre finitude, le temps nous est compté. Le mot « rivages » introduit un des grands thème du romantisme : la Nature. v.2 Dans la nuit éternelle emportés sans retour, L'expression « emportés sans retour » marque encore la fuite du temps, le temps comme fatalité

la nature proposée par le poète 1 Une nature en éveil 2 Une nature qui sollicite les sens 3 Une nature personnifiée L’opposition entre la nature et la condition du poète 1 La mort opposée à la vie 1 Infinité et finitude 2 Mouvement et errance 2 La solitude opposée à l’amour 3 La sérénité opposée à l’angoisse Le mélange de souffrance et de dérision 1 Un lyrisme authentique... 2 ... tempéré par l’amertume et par l’humour noir..

l’image des rives. Cf : idée de passage d’un monde (celui des vivants) à un autre (celui des morts), référence à la mythologie, le passage du fleuve des enfers - C’est une prise de conscience que rien ne dure, de la fragilité de la vie, de notre finitude qu’il semble vivre en écrivant « Ma mort approche » Cette phrase oppose les termes « mon passé » qui ouvre l’extrait et « ma mort » qui clos l’extrait.

parcourir et découvrir le monde. Instruments de musique: plaisir => biens terrestres, donc mortels (souvenez vous que c'est l'époque où l'on découvre que l'univers est mortel, où l'on remet en question les dogmes chrétiens, où la mort reste la finitude absolue, etc.) Vous remarquerez qu'il y a un crâne déformé entre les deux ambassadeurs, sur le sol. C'est une anamorphose (=technique de déformation très à la mode au XVIIe) Pourquoi cette déformation? -elle prend par surprise -on accumule des

en effet qu'il existe une nature humaine. L'homme répondrait donc invariablement à certaines caractéristiques : l'homme possède par exemple une raison et une conscience, ce qui le différencie de l'animal. Celles-ci lui permettent de connaître sa finitude car il est un « être-pour-la-mort », d'avoir conscience de ses actes et de ne pas agir uniquement selon ses instincts. Mais ce qui fait également fondamentalement la nature humaine pour certains philosophes, c'est qu'elle est soit bonne, soit mauvaise

bonheur parce qu'elle connaît ses limites et son impuissance à maîtriser le monde pour nous faire atteindre le bonheur. La raison s'accompagne donc nécessairement d'une conscience malheureuse qui nous fait prendre acte de nos insuffisances et de notre finitude. C'est précisément quand on atteint l'âge de raison que l'on sait de manière claire que nous sommes mortels et que la condition humaine est une triste condition. - La raison est une faculté qui en tant que calculante exige du sérieux et refuse

limite. Par sa logique de devancement elle nous fait ressentir le fini de notre monde comme un manque. Or ce n’est que la condition d’existence de la réalité objective telle qu’elle peut être perçue. Ainsi l’infinitude de l’imagination s’oppose à la finitude du réel. L’imagination nous fait percevoir le monde fini comme un manque, une privation. Par l’illusion elle instille en nous un écart entre nos désirs infinis et la capacité de les satisfaire dans un monde qui lui est fini. S’il apparaît alors

et urbanisme, sont autant de problématiques qui rythment l’exposition . 2/ Pays thème Justification Ce que vous avez préféré Chine La vieillesse Ici l’œuvre traite de façon assez choquante la mort , ou en tout cas de la triste finitude de la condition humaine. De plus les visages rappellent étrangement ceux de grands dirigeants mondiaux .(VOIR PHOTO 1) Œuvre réalise à partir de cendres d’encens .L’odeur initiale est encore perceptible. Sculpture autoportrait. Ici ZHANG HUAN fait

message général sur la condition humaine, que pourrions-nous retenir surl’ensemble des personnages du roman ? Car qu'il s'agisse de faire face aux choses de la vie tel que l'idée de dignité ou de souffrance, ou à l'inverse de faire face à l'idée de finitude et d'angoisse, dansle contexte que propose l'oeuvre, Car l’angoisse, la douleur et la solitude étant inévitables, tous les personnages du roman sont concernés. Pour ce travail, je propose donc de traverser les