Finitude

Exemple : Médiation première …. Le cogito est une expérience – c'est la découverte d'une évidence. C'est une expérience de pensée. L'expérience est aussi lié à la sensibilité. Kant verra dans l'idée d'expérience l'épreuve de ce qu'on appel la finitude du fait d'être humain. L'être est fini car il est mortel. La notion de fini et infini : terme dont le sens à évolué mais ce sont des termes typique. Spinoza « les pièges du langage ». Le mot infini est construit négativement alors qu'il peut

diversité. Doit-on réduire cet ensemble à une seule unité ? Prenons cette relation dans l’autre sens pour finalement n’y voir qu’une finalité et non un moyen. Nécessité économique et sociale la croissance infinie devrait elle nous satisfaire ? Notre finitude se trouverait alors dans un seul et unique modèle en permanent renouvellement. Néanmoins, la recherche d’une croissance modèle tient une tonalité quelque peu utopique et nous rappelle qu’une croissance de ce type, sans fin pourrait provoquait la

et de l’esclave • Désir : instrument de réalisation des grandes œuvres : « rien de grand dans le monde ne s’est fait sans passion » (Hegel) ex César franchissant le rubicon • Désir : ce qui me permet de transcender le tragique de ma situation : finitude, mort, vieillissement autant d’éléments naturels incontournables face auxquels seul le désir – comme divertissement fondamental – apporte une échappatoire. • Les illusions et les déceptions engendrées par le désir et signalées dans la première

de la critique de la raison pure, qu’il acquiert dans cet ouvrage, par son unité essentielle avec l’imagination transcendantale, une fonction métaphysique centrale. Ce rôle, il l’obtient parce que la compréhension de l’être, en raison même de la finitude du dasein dans l’homme, se projette vers le temps ». Heidegger affirme ici que ce n’est pas parce que le temps est une forme de l’intuition qu’il acquiert une fonction métaphysique centrale. Mais, pourquoi donc alors Kant lui a-t-il attribué une

à contrario, la croyance religieuse ou philosophique en Dieu, n’est pas déraisonnable, en ce sens qu’elle correspond à une attitude d’humilité face à une question humaine fondamentale, toujours restée inexpliquée et à l’angoisse de l’homme sur sa finitude. Et enfin, nous élargirons le propos en prenant pour base une phrase attribuée à Malraux « le 21ème siècle sera religieux ou ne sera pas », pour démontrer que la foi et la raison peuvent être complémentaires, et éviter une « mécanisation »

Le temps est-il la limite de l'homme ? Problématique La question est ici de savoir dans quelle mesure la conscience du temps agit comme un obstacle pour l'homme. Le problème visé ici est celui de la finitude de l'homme, c'est-à-dire des limites que r... ...encontrent sa puissance d'action et son pouvoir de pensée. Autrement dit, lorsque l'on parle du temps, on parle de la conscience que l'homme a de son action, c'est-à-dire de la représentation qu'il se fait de son être tel qu'il évolue dans l'espace

la voûte celeste parsemée de milliers de points lumineux, nous ressentons instinctivement notre petitesse et notre finitude, et nous avons l’impression que l’univers ne peut avoir de limites, qu’il s’étend à l’infini. “Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie!” s’exclame Blaise Pascal. Ce que le philosophe appelle “l’égarement” et “l’effroi” de l’homme résulte de sa finitude, de sa place entre les deux infinis, l’infiniment grand et l’infiniment petit …” 1. Rechercher combien nous pouvons

conscient. Mais il sait qu'il pense, qu'il sait ou qu'il agit, que l'on appellera "prendre conscience et qui est le passage de l'un a l'autre. Mais alors, la mort qui touche chaque être vivant est’ elle une certitude pour chaque espèce? Et cette finitude laisse telle place à autre chose, à une autre forme d'existence? L'on entend aussi parler d'expériences de mort imminente, ces personnes ayant été proches de la mort en auraient t'elles eu conscience? Mais l'homme pour qui les sens n'ont jamais ressenti

réactions de cette personne, c'est-à-dire le juger en connaissant son histoire. L’homme doit être conscient de sa propre finitude. Pour Pascal, la mort est l’aspect le plus éclatant de la finitude humaine. Le seul moyen pour lui d’échapper à cette mort est la foi. Mais les philosophies athées n’ont pas cette ressource et pourtant, elles ont toutes conscience de la finitude de l’homme. Comment supporter alors cette angoisse de la mort si on ne croit pas en Dieu ? Pour Hannah Arendt, philosophe allemande

la philosophie ? - « Finitude humaine » ? C’est le fait que l’homme ait conscience de ses limites et qu’il sache qu’il va mourir. Cela génère une angoisse pour l’homme. Pour se libérer de cette dernière, il va tenter de trouver le salut. - En quoi les questions de la finitude humaine et du salut trouvent réponse différente dans la philosophie que dans les religions ? Pour les religions, on arrive à vaincre cette peur de la mort et donc de la finitude humaine par la foi et par la