Finitude

aborde la question du temps et de la notion de mortalité chez l'homme, une mort au bout d'une vie à durée irréversible. A travers l’expression artistique. Devant l’inquiétude de sa propre mort Roman Opalka cherche à visualiser par des nombres la finitude du temps humain pour atteindre à sa manière l’infini du temps. Série de photographies: La suite des nombres est peinte à la peinture acrylique blanche, toujours avec un pinceau n° 0 sur un fond uni. Depuis 1972 l’artiste ajoute pour chaque

qu'une créature de chair destinée à périr; cependant, il se distingue par ceci qu'il est capable de concevoir sa propre fragilité. L'homme a une grandeur (il pense). Mais il est aussi une créature misérable. Les philosophes contemporains parlent de la finitude de l'homme: il est fini, c'est-à-dire limité, imparfait. La faculté de désirer peut sembler un exemple de cette misère de l'homme: le désir trouve sa source dans le corps, cette machine périssable qui nous attache à la terre, dans la matière. Il

divertissement n’est que passagé. Pour pascal, le divertissement est un moyen d’empêcher de se sentir seul, et de pensé a soit. Le divertissement n’apporte pas le vrai bonheur, ce n’est que un moyen d échapper a l’ennuie et de nous détournée de notre finitude. « La seul chose qui nous console de notre misère est le divertissement et cependant s’est la plus grande de nos misère. » pascal « Un roi sans divertissement est un homme plein de misère. » pascal « Les homme n’ayant pu guérir la mort, la misère

articulation En effet, la vie humaine est la seule pour laquelle la mort ait un sens. Pour les autres formes de vie, certes la mort existe, mais en tant que réalité objective et inconnue, tandis que la vie humaine a conscience de sa propre finitude lier à la question de l’individualité. L'être humain, bien qu'il ne sache pas quand ni comment il va mourir, sait intimement qu'il mourra un jour. Cette conviction profonde, héritage de la culture, peut rendre la mort terrifiante, qui s'apparente

Or Jaccottet retourne délibérément cette vision en faisant du temps d’écrire un temps comme les autres et en le traitant même en exemple d’une fugacité inexorable. ® Cette coïncidence entre le temps d’écrire et le temps de mourir dramatise la finitude en l’accélérant, puisqu’elle projette sur un espace et sur une temporalité réduite (celle d’un sonnet) la figure même du mourir. Ce sont d’ailleurs ici les mots mêmes (le premier et le dernier mot du texte) qui deviennent des sortes d’aiguilles pointant

douleur. Il vit tout en sachant que sa vie va prendre fin et il est terrifié par sa mortalité. Cette peur l'entraîne à se poser des questions sur son existence, cherchent un sens à un monde quelque peu absurde. La conscience que nous avons de notre finitude nous enferme dans une sorte de paresse, le moindre effort paraissant inutile puisque la vie est limitée et sans aucun sens. Nos jours s'écoulent sans espoir, sans but dans un monde dépourvu de cohérence. Dans la même œuvre philosophique, Schopenhauer

» -> met en relief la faiblesse du poète et sa déchéance - Opposition nature/homme : v11 « s’iront rajeunissant » (nature) et euphémismes : vers 14 « je passe » « refroidi » « je m’en irai » (poète) -> le seul horizon de l’homme est la mort La finitude de l’homme : - opposition : « je passe » v14 à « tous ces jours passeront ; ils passeront en foule » -> le temps n’agit pas de la même manière sur la nature et sur l’homme - contraste entre les adverbes : « bientôt » vers 15 et « toujours » et

de nous détourner d'une plus grande misère qu'ils engendrent eux-mêmes ? Une misère telle que l'ennui mortel ? Il ne sont peut être que le seul moyen pour échapper à notre terrible condition qui ne cesse de nous rappeler notre vulnérabilité et la finitude de notre existence . Tout d'abord nous montrerons en quoi le désir est la source de notre misère et en second lieu en quoi il en est le signe . 1 : le désir : marque de notre misère le désir fonctionne comme une construction artificielle

grande liberté d'esprit possible. II- Les chemins de la liberté - Valeur du stoïcisme : la liberté morale. Comment l'atteindre et la renforcer ? - But du stoïcisme : le rendre plus libre. Comment ? A) L'expérience première : la finitude - Finitude : limite, frontière. - L'individu est sans cesse confronté à ses propres limites : des limites qui le rendent malheureux. "Quand tu ne peux pas avoir ce que tu désires, il faut donner ce que tu as." Marc Aurel B) La distinction fondamentale

justement cette fin annoncée de facon si univoque qui permet a la piece d’exister, car les protagonistes envisagent precisement la fin de partie. La scene devient alors le cadre de la reflexion des personnages, reflexion intimement liée au theme de la finitude, cette fin que l’on attend, qui tarde a venir, que l’on remet meme en question en tant que spectateur. Là se trouve toute la puissance evocatrice du premier vers, lien entre le discours des personnage et la reflexion du spectateur tout au long de