Flamme éternelle

m’étais permis Je suis pourtant condamnée à souffrir Comme cette jeune fleur qui fane à l’intérieur de moi Suis-je perdue à l’intérieur de ma tendre vie? Puis-je tant souhaiter lui tendre mes mains? Si moites qu’il n’y voit que les larmes De cette flamme solitaire Au milieu du mystère Qu’est la vie… L’impatience de ne jamais être aimé L’impatience de ne jamais savoir qui l’on est Pourquoi chaque seconde est ainsi programmée pour m’anéantir? Pourquoi est-ce si dure

qui s’est donné ce pseudonyme pour la première fois dans “Les voix intérieures”, qui lui permet de parler de lui à la troisième personne et de donner une valeur générale à ce souvenir et à ces sentiments, c’est la tristesse d’être, dans la nature éternelle et toujours rajeunie, un être qui change, qui passe et qui meurt. Pourtant, Hugo parvient à surmonter la tristesse qui l’envahit, la confiance et l’énergie virilement triomphent en lui : si la nature oublie, du moins la mémoire humaine sait conserver

Comme il est bête ! » En somme, je suis mal côté J’allume le feu dans l’été, Dans l’usine je suis poète ; Pour les pauvres je fais la quête. Qu’importe ! J’aime la beauté. Beauté des pays etdes femmes, Beauté des vers, beauté des flammes Beauté du bien, beauté du mal. J’ai trop étudié les choses ; Le temps marche d’un pas normal : Des roses, des roses, des roses ! Intro : AuXIXème et XXème siècle, un nouvel art poétique se met en place avec une succession de mouvements

laquelle les images se télescopent. L’expérience de la guerre est aussi au cœur de Calligrammes, écrit en partie dans les tranchées et publié en 1918, où se mêlent lyrisme amoureux et images violentes. Mais Apollinaire est avant tout un poète lyrique, éternel passant de la vie, amoureux mélancolique et hanté par la fuite du temps. Ainsi, les figures féminines abondent dans ses poèmes, qu’elles soient tirées de la mythologie, de la vie ou de l’imagination du poète. « La Loreley » est un poème tiré de la

tous les profane passe sa première épreuve, celle de la terre, nous laisse comme première impression que l'homme doit faire face à ses démons. En effet dans cette pièce sombre, éclairée par la faible lueur de la bougie qui symbolise a mes yeux la flamme de l'espoir, faible et si puissante, qui nous permet de distinguer tout ce qui nous entour. VITRIOLE, le sel, le souffre, le mercure, le pain, l'eau, le miroir, le sablier, le crâne, le coq, la faux. Tout nous conduit à la mort, tout nous ramène à

-Métaphore 2 : Dans nos deux esprits , ces miroirs jumeaux ( Vers 8 ) Deux esprits qui se ressemblent → Identique , fusionnel -Métonymie 1 : Les miroirs ternis et les flammes mortes ( Vers 14 ) - Abstrait pour concret Les miroir ternis → Leurs esprits ne se ressemblent plus , ils ne sont plus fusionnel Les flammes mortes → Amour passionnel mort , disparus qui n'est plus la ►Symbolisme , correspondance , traits majeurs : Le poète s'adresse à la femme aimée. On remarquera

933 à 960. | |Tartuffe (à Elmire) | | | | |933 |L’amour qui nous attache aux beautés éternelles | | |n’étouffe pas en nous l’amour des temporelles ; | |935 |nos sens facilement peuvent être charmés | | |des ouvrages parfaits

pour moi ; t er l'amour de ma viie mon ange ♥ :) Simplement et je l espere c es que cette annee passe pire ke tro tro vite et que l on se retrouve dans 2 ans ensemble o lycée ;D Je T Aime Pire Que toute o monde mon bbeii de ma viie ♥♥ L ange Eternel De Ma Viie Ser Toi Et toi seul Océane Delasalle ; Tu es la femme de ma vie ♥ (LLL) Des le premier jour ou nos regards se son croises mon coeur s es aussitôt mis a s affoler jamais je noublierais ce jour car dans ma memoire il sera grav'eii

ultime tentative de trouver le repos dans la mort. Le thème de la mort est d'ordinaire synomyme de peur, de cynisme et de ténèbres, pourtant, c'est tout autrement que Beaudelaire traite ce sujet. En effet, il parle de la mort comme d’une renaissance éternelle, d’une libération, qui permet d’atteindre le bonheur, à l'opposé de la vision classique de la mort. Dans ce poème, Baudelaire décrit la future mort de sa compagne et de lui-même, puis il nous laisse entrevoir la résurrection de leurs deux âmes se

jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Charles Baudelaire, poète français de la seconde partie du 19eme siècle, considéré comme précurseur du mouvement symboliste, est en réalité nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le Symbolisme