Flamme éternelle

(Hurlevent, Les canaux) Johan Barnes (Péninsule des flammes infernales, Bastion de l'honneur) Modoru (Désolation des dragons, Repos des étoiles) Sarah Bouillelume (Terres foudroyées, Rempart-du-néant) Tilli Duvechardon (Forgefer, La Grande Forge) Vaean (Darnassus, Terrasse des Artisans) Alys Vol'tyr (Desolation des dragons, Marteau d'Agmar) Bradley Laville (Désolation des dragons, Vexevenin) Erilia (Bois des chants éternels) Felannia (Péninsule des flammes infernales, Thrallmar) Ildine Tristelance (Dalaran

Songe, songe Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant la carnage. Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des [mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fer expirants. Peints-toi dans ses horreurs Andromaque éperdue:

quelques années de règne. Bérénice dit délibérément “adieu” à Titus : “Eh bien ! régnez, cruel [...] après mille serments D'un amour qui devait unir tous nos moments, Cette bouche, à mes yeux s'avouant infidèle, M'ordonnât elle-même une absence éternelle [...] Je n'écoute plus rien, et pour jamais : adieu…”. Berenice a peur qu’elle souffre plus que lui. Elle essaie donc de le torturer avec ses paroles, faire qu’il se sente coupable et indigne : “L'ingrat, de mon départ consolé par avance, Daignera-t-il

aux arbres du rivage! Maintenant, jeune encore et souvent éprouvé, J'ai plus d'un souvenir profondément gravé, Et l'on peut distinguer bien des choses passées Dans ces plis de mon front que creusent mes pensées. Certes, plus d'un vieillard sans flamme et sans cheveux, I. Data fata secutus. DEVISE DES SAINT−JOHN 2 Les feuilles d'automne Tombé de lassitude au bout de tous ses voeux, Pâlirait s'il voyait, comme un gouffre dans l'onde, Mon âme où ma pensée habite, comme un monde, Tout ce

l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappinEt

temps – qui passe – recense… Ah, vivre encore à tes genoux ! Ah, vivre encor ! Mais quoi, ma belle, Le néant est mon froid vainqueur… Du moins, dis, je vis dans ton coeur ? Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre

nage, houle, voile, rameurs, flammes (drapeaux des navires), mâts, ports, flots, vaisseaux, glissant, roulis, bords. - Pays lointains : langoureuse Asie, brûlante Afrique, monde lointain, là-bas - Richesse des pays tropicaux : l’arbre et l’homme pleins de sève, huile de coco, musc, rubis, perle, saphir, féconde - Vie paresseuse : se pâment longuement, féconde paresse, infinis bercements du loisir embaumé, oasis, nonchaloir - Chaleur : ardeur des climats, éternelle chaleur 2°) Experience magique

regarde et t'écoute à diverses reprises. Toi, riant agréablement, ce qui déchire en moi, misérable, tous les sens; en effet, en même temps que je porte mon regard vers toi, Lesbie, j'en reste sans voix. Mais ma langue est engourdie, Une flamme subtile se répand dans mes membres, Mes oreilles tintent par leur propre son, Et mes deux yeux sont couverts par la nuit. Catulle, le repos (=l'oisiveté) t'est pénible; à cause de l'oisiveté, tu exultes et tu te démènes trop sous l'empire

d’Eden et condamnés à travailler la terre pour en obtenir les bienfaits : la punition se fait par la souffrance. Par ailleurs, la phrase « si la damnation est éternelle ! » semble être biffée, à moins que ce ne soit « si la damnation est éternelle, c’est encore la vie ». Dans ce cas, la vie est associée à la damnation. L’adjectif « éternelle » et l’adverbe « encore » démontrent l’ampleur de la souffrance du poète qui perdure et semble infinie. Ainsi le poète associe l’enfer à la vie et éprouve une

car c'est ce que les démons font. Et la pitié ? Il n' y a que de la pitié et de la compassion au Ciel. La mésiricorde vient de Dieu et le diable n'a aucune connaissance d'aucune miséricorde que ce soit. Satan est totalement contre ça. Psaumes 36: 6 Eternel ! Ta bonté atteint jusqu'aux cieux, ta fidélité jusqu'aux nues. Définitivement, ce n'est pas ainsi en Enfer. Et Psaumes 74:20 dit: Aie égard à l'alliance ! Car les lieux sombres du pays sont pleins de repaires de brigands. L'enfer est tout simplement