Flamme éternelle

procéder à l’industrialisation de la société . En effet,le vers 25 est construit en alexandrin constitué de deux hémistiches : 2 métaphores→ “le fer était leur sang” et “la flamme leur cerveau” Ces métaphores font référence aux ressources utilisées par les ouvriers lorsqu’ils travaillent dans des usines et des mines. La “flamme”, qui fait référence au feu, est souvent utilisée pour brûler le charbon et faire fondre le “fer”, et le “cerveau” qui fait référence à leur savoir-faire. Le poète évoque

tempête, Esprit de Dieu, Voix qui nous réveille, Esprit de Dieu, Ouvre nos fenêtres, Esprit de Dieu ! Clame la Nouvelle, Esprit de Dieu ! 2.) Flamme sur le monde, Esprit de Dieu, 5.) Source de sagesse, Esprit de Dieu, Feu qui chasse l'ombre, Esprit de Dieu, Puits de la tendresse, Esprit de Dieu, Flamme de lumière, Esprit de Dieu, Source pour ton peuple, Esprit de Dieu, Viens dans nos ténèbres, Esprit de Dieu ! Coule en nos demeures, Esprit de Dieu ! 3

aux monstres des forêts, faire couler le sang de mes ennemis, et qui naguère ai percé d'innombrables traits l'horrible Python qui, de sa masse venimeuse, couvrait tant d'arpents de terre. Contente-toi d'allumer avec ton flambeau je ne sais quelles flammes, et ne compare jamais tes triomphes aux miens." [463] L'Amour répond : "Sans doute, Apollon, ton arc peut tout blesser; mais c'est le mien qui te blessera; et autant tu l'emportes sur tous les animaux, autant ma gloire est au-dessus de la tienne"

profanes sont ensuite astreints au silence. Alors que Pamina est désespérée, surgit sa mère, la Reine de la Nuit, qui la somme de tuer Sarastro à l’aide d’un poignard : « Mon cœur aspire à la vengeance infernale, mort et désespoir m’encerclent de leurs flammes ». Elle révèle sa nature, elle ne se maîtrise plus et sa voix monte en arpège jusqu’au fameux contre Fa. Monostatos, qui a suivi la scène, fait chanter Pamina, qui refuse de lui céder, montrant ainsi sa résolution face à la mort, mais Sarastro arrive

Explication linéaire du texte 2 - La Chanson du Mal-Aimé - 5 dernières strophesExplication linéaire du texte 2 – « La Chanson du Mal-Aimé » → LA POÉSIE DU XIXe au XXIe siècle → OEUVRE: Alcools, Guillaume Apollinaire → PARCOURS ASSOCIE: Modernite poetique? INTRODUCTION ● Plus long poeme de Alcools ● 60 quintils d’octosyllabes interrompu par trois poemes enchâssés ● Titre qui introduit dans l’univers des chansons de gestes médiévaux avec caractère lyrique et musical. ● Constance de la passion et dimension

forge La lumière l’accompagnait Et lui faisait danser son ombre Pourvu qu’ils me laissent le temps Il sautait à travers les herbes Il a cueilli deux feuilles jaunes Gorgées de sève et de soleil Les canons d’acier bleu crachaient De courtes flammes de feu sec Pourvu qu’ils me laissent le temps Il est arrivé près de l’eau Il y a plongé son visage Il riait de joie il a bu Pourvu qu’ils me laissent le temps Il s’est relevé pour sauter Pourvu qu’ils me laissent le temps Une abeille de cuivre

vivacité au texte et renforcent l’aspect tragique. De même, le fait que l’extrait soit écrit en alexandrins ornementés de nombreux effets rythmiques lui donnent un aspect saccadé, notamment les césures des vers 295 « Je pressais son exil, et mes cris éternels », 297 « Je respirais Oenone ; et depuis son absence », 301 « Vaines précautions ! Cruelle destinée ! » qui peuvent être interprété comme les sanglots de Phèdre, témoins de son désespoir. Cette désolation va même jusqu’aux pulsions suicidaires « ma

l'aspiration exaltée à la grandeur et la réalité médiocre -l'insatisfaction crée de nombreuses souffrances qui vont jusqu'à entraîner la mort 2-Réaction d'Indiana face à sa condition de femme *La femme est considérée comme une éternelle mineure qui passe de la tutelle du père à celle du mari *Indiana fait le choix de résistance spirituelle *L'impératif « taisons-nous » prouve la dissimulation de la résistance et de la souffrance d'Indiana. 3- Qu'est ce que le mariage au XIXème

toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri, « Je ferai rejaillir la haine qui m'accable Sur l'instrument maudit de tes méchancetés, Et je tordrai si bien cet arbre misérable, Qu'il ne pourra poussa ses boutons empestés! » Elle ravale ainsi l'écume de sa haine, Et, ne comprenant pas les desseins éternels, Elle−même prépare au fond de la Géhenne Les bûchers consacrés aux crimes maternels. Pourtant

opposition v.1 « chez les débauchés » « l'aube blanche », placés côte à côte mais antithétiques -thème même du poème, association des deux -thème du recueil, extraire la beauté du vice phonème en « ch », qui marque l'apaisement ; vers solennel, éternel « quand »+ présent de v. générale, cette attirance survient de manière inéluctable Aube ici symbole de l'Idéal « Entre en société » signifie « se joint à », il s'agit donc bien d'une rencontre le « mystère »du v.3 repose sur le fait que dans l'être