Flamme éternelle

est un inceste symbolique car elle n’a pas de réels liens de parenté avec Hippolyte. Elle « le retrouv[e] dans les traits de son père » (290). Père est placé en fin de vers pour accentuer la relation entre Phèdre, Hippolyte et Thésée. Ses « cris éternels » (295) sont des hyperboles qui montrent que Phèdre ne cesse de se plaindre et veut chasser Hippolyte car elle ne supporte pas son image. Elle essaye de briser tous ses liens : « l’arrachèrent du sein » (296). Le sein, placé à l’hémistiche représente

avant de renaître et de vivre pleinement sa seconde naissance, il se doit de faire un bilan et de répondre par écrit à trois questions :  Dans cette étroit cabinet de réflexion,  dont la seule source lumineuse se trouve être une simple bougie dont la flamme vacille lentement, le profane, une fois que le bandeau lui est retiré, se trouve rapidement confronté aux nombreux symboles et inscriptions qui l’entourent. Puis peu à peu, il découvre un autre symbole, dont aucun support matériel ne peut exprimer

l'air, Mais vous ne saurez pas que le matin se lève, Qu'il faut revivre encore, qu'il fait jour, qu'il fait clair. Ils iront retenant leur âme qui chancelle Et trébuchant ainsi qu'un homme pris de vin ; - Et vous serez alors dans ma nuit éternelle, Dans ma calme maison, dans mon jardin divin... Anna de Noailles. (1876-1933) J'ai un rendez-vous avec la Mort. Recueil: Poésies diverses. J'ai un rendez-vous avec la Mort Sur quelque barricade âprement disputée, Quand le printemps revient

Rappeler la mort d’Egée. Destin de Tristan semblable à celui d’Egée. * Rappel de la ronce qui symbolise le lien indestructible de l’amour plus fort que la mort. Expression écrite : Sujet : Après la mort des amants, la ronce représente l’ amour éternel au delà de la mort . Inventez une autre fin pour réunir les amants malgré la mort et réécrivez le passage à partir de " le roi Marc les ensevelit en deux tombeaux. Mais pendant la nuit … " Imaginez en environ 10 lignes ce qu’il pourrait se passer

Camus, publié en 1942, il fait parti du « cycle de l'absurde ». Dans cette œuvre, refusant le suicide, Camus catégorise trois genres : Le héros absurde fait face à l'absurdité de la vie. Il va même jusqu'à l'apprécier, recherchant toujours la même flamme, la même passion qui l'anime, comme le fait Don Juan en recherchant toujours cette première passion de femme en femme. Le suicidaire ne voit plus aucun sens à sa vie et fait le « grand saut », au même titre que le croyant, échappant ainsi à l'absurdité

ses bouclesSon bandeau d'orEt traînait ses petits souliers à bouclesElle était si belleQue tu n'aurais pas osé l'aimerJ'aimais les femmes atroces dans les quartiers énormesOù naissaient chaque jour quelques êtres nouveauxLe fer était leur sang la flamme leur cerveauJ'aimais j'aimais le peuple habile des machinesLe luxe et la beauté ne sont que son écumeCette femme était si belleQu'elle me faisait peur Annie Sur la côte du TexasEntre Mobile et Galveston il y aUn grand jardin tout plein de rosesIl

entoure la flamme, l’amour t’entoure. Tu es amoureux, tu es amour. Alors l’amour est éternel. Il n’est dirigé vers personne. Quiconque s’en approche s’y abreuvera. Quiconque s’approchera de toi sera enchanté par l’amour, enrichi par lui. Un arbre, un rocher, une personne, un animal, n’importe. Même si tu te trouves assis, tout seul . . . Bouddha, seul, assis sous son arbre est en train d’irradier l’amour. L’amour est constamment en train de pleuvoir autour de lui. Cela est éternel et c’est

est un poème écrit en et appartenant au recueil Les Fleurs du mal, dans sa première section, Spleen et idéal. Un poème de Charles Baudelaire, qui nous montre son ressenti sur la mort, qu’il voit comme une fatalité qui nous obsède car elle est une éternelle patience. La structure du poème rappelle la structure du temps utilisée par l'horloge : 24 vers, comme les 24 heures d'une journée ; chaque quatrain compte quatre vers, comme autant de quarts d'heure. * L'Horloge Horloge! dieu sinistre, effrayant

consolé plaintif,Et défiant de mon feu peu hâtif ;Mais maintenant que tu m'as embrasée,Et suis au point auquel tu me voulais,Tu as ta flamme en quelque eau arrosée,Et es plus froid qu'être je ne soulais*. Louise Labé (1524-1566), Après qu'un temps la grêle et le Tonnerre extrait de Sonnet 1555 Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,Dans la nuit éternelle emportés sans retour,Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âgesJeter l’ancre un seul jour ?Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière

des causes, examiner le cœur d’Iker et verser l’eau de Noun pour vaincre son inertie. Montant des profondeurs, le faucon de la royauté renouvela les facultés assoupies. A la troisième heure, silencieuse, furent allumés des feux. Parmi les hautes flammes engendrant une intense chaleur, celles de l’Annonciateur assaillirent la Demeure de l’or. Un éclair les repoussa, une violente lumière enveloppa la momie d’Iker. A la quatrième heure, des génies armés de couteaux tuèrent des ennemis d’Osiris. Isis