Flamme rouge

présentes dans l'ensemble du triptyque comme symbole de calme dans les panneaux latéraux. Dans le panneau de gauche, les soldats quittent le calmer pour monter au front et faire face au massacre tandis que pour le panneau de droite, le noir et le rouge sont derrière les soldats qui reviennent dans le blanc. Ce même blanc peut également symboliser l'espoir. Les couleurs claires sont au loin, à l'horizon à l'instar de l'espoir. Cependant, dans l'ensemble de l'œuvre, ces couleurs prennent le pas sur

de Latran IV). - Le vert symbolise déjà la fertilité de la terre, la vie nouvelle et l'état de grâce. - Le blanc, le baptême. - Le rouge pourpre de l'Eglise byzantine désigne la passion du Christ et le supplice des martyrs. Il exprime également le feu et la foi. Lorsque se développe la dévotion envers Marie, celle-ci est ainsi habillée de bleu ciel et de rouge, parce qu'elle est reine du ciel et mère de Dieu. Pourquoi la couleur ? L'imaginaire des couleurs traduit sans aucun doute une symbolique

capitale incendiée par les Communards désespérés. Voici donc le texte : Jean, plein d’angoisse se retourna vers Paris. A cette fin si claire d’un beau dimanche, le soleil oblique, au ras de l’horizon, éclairait la ville immense d’une ardente lueur rouge. On aurait dit un soleil de sang, sur une mer sans borne. Les vitres de milliers de fenêtres braisillaient, comme attisés sous des soufflets invisibles ; les toitures s’embrasaient, telles que des lits de charbon ; les pans de muraille jaunes, les

des différents plans pour donner une impression de profondeur. Pour l'avion, l'artiste a associé des points bleus et rouges qui, même vus de près, se fondent en une seule couleur pour l'oeil du spectateur. Les couleurs jaune et rouge de l'onomatopée « whaam! » et des flammes sont en aplats rehaussés de cernes noirs. La composition et l'effet de perspective nous placent du côté du pilote de l'avion US Air Force . Le choix de Lichenstein de s'inspirer d'un détail d'une BD existante en l'agrandissant

spectateur est immerge. Le graphique est simple : les contours des figures sont cernés pas de gros traits noirs comme dans une bande dessinée classique. Les couleurs sont peu nombreuses, artificielles et criardes. Le jaune et le rouge des lettres WHAAM et des flammes sont déposées en grand aplats rehaussés d’un cerne noir. Cette explosion florale sent la chaleur et le tomato ketchup plus que la carcasse carbonisées. Les autres couleurs bleu, noir et gris pour le fond et la carlingue de l’avion

• Une foule inquiète assistait au périlleux lancement. • Une sourde agitation régnait dans l’immense salle. • Les intrépides voyageurs ressentaient une vive émotion. • L’impressionnante fusée s’éleva dans le ciel. • De gigantesques flammes rouges suivaient le puissant projectile. | | |2. Récris les phrases après avoir supprimé les adjectifs qualificatifs

violettes, des champs de géraniums et de pélargoniums, sur lesquels semblaient courir des flammèches ardentes, le rouge, le rose, le blanc incandescent d’un brasier, que les moindres souffles du vent ravivaient sans cesse. Ils durent tourner des rideaux de glaïeuls, aussi grands que des roseaux, dressant des hampes de fleurs qui brûlaient dans la clarté, avec des richesses de flamme de torches allumées. Ils s’égarèrent au milieu d’un bois de tournesols, une futaie faite de troncs aussi gros que la

de Vian, sont les séquences de termes qui désignent les couleurs : ”orbleu ”,”argent sable, cuivre rouge blanc”, ”améthyste vert – noir, pourpre de Cassius, vert de vessie, bleu de chrome, argent rouge, fer bleu.”(12) La filiation surréaliste est manifeste : ”Et les enfants énuméraient en choeur Les règles d’or de la réalité Règle d’or vert règle d’or jaune Règle d’or blanc règle d’or rouge D’or dans le vide d’or dans la stérilité Au jour le jour et sans jamais une surprise Nous les

vitres jetaient des carrés jaunes. Une grande psyché faisait face à une toilette de marbre blanc, garnie d’une débandade de flacons et de boîtes de cristal, pour les huiles, les essences et les poudres. Le comte s’approcha de la psyché, se vit très rouge, de fines gouttes de sueur au front ; il baissa les yeux, il vint se planter devant la toilette, où la cuvette pleine d’eau savonneuse, les petits outils d’ivoire épars, les éponges humides, parurent l’absorber un instant. Ce sentiment de vertige qu’il

tamisée verte, rappelant l'intérieur d'une église. Quand Dom Juan demande à Sganarelle d'inviter le commandeur à dîner avec lui ce soir, la statue dans la pièce de Molière incline la tête. Ici pas de statue, mais un changement de couleur (vert -> rouge -> vert). Les deux personnages principaux; Sganarelle et Dom Juan Une ambiance assez rock'n roll avec un Dom Juan aux cheveux longs, une chemise blanche entrouverte laissant apparaître son torse livide et fragile, un pantalon de cuir, moulant