Fleurs Du Mal Beauté Laideur

GT 1 : L’homme et l’animal Texte A : « Le crapaud » de Victor Hugo, 1859, La légende des siècles Texte B : « Une charogne », Charles Baudelaire, 1861, Les Fleurs du mal Texte C : « La mort du loup », Alfred de Vigny, 1864, Les Destinées 1) Qu’est-ce qui permet de réunir ces trois poèmes ? 2) Quelle relation entre l’homme et l’animal mettent-ils en scène ? Réponses : Question 1, points communs, synthèse : Poèmes en vers du XIXe siècle Victor Hugo, Vigny : romantiques Alexandrins pour Hugo et

façon très cru . I – Certes , dans les Fleurs du mal et dans un certain nombre de poèmes du XIX au XX , il semble que la poésie se donne pour tâche d’embellir le réel A la fin du XIXe siècle est apparu le décadentisme un mouvement littéraire et artistique qui se traduit par un attrait vers l’irrationnel, la mort, le mystère et le rejet de la science. Dans la section tableaux parisien et dans spleen et idéal , qui est la partie la plus importante des fleurs du mal car il y est bien mis en évidence le

s’achève prématurément en 1841. Revenu à Paris, il dépense tout l’héritage de son père et est donc placé sous conseil judiciaire en 1842. Il décide de se consacrer à la poésie et commence à écrire plusieurs poèmes qui paraîtront plus tard dans les Fleurs Du Mal. Charles Commence également à faire des critiques d’art où il défend Delacroix dans ses peintures du romantisme ou Balzac dans sa perversité. Il rencontrera également Nerval, Théophile Gauthier ou encore Théodore De Banville. En 1843 il prendra

Baudelaire, auteur révolutionnaire du XIXe siècle. Ce poème est tiré du recueil « Les fleurs du mal ». Il apparaît dans ce poème un contraste entre la beauté et l'horreur. L'auteur décrit une charogne qui est ensuite comparée à son amante de façon artistique. Le poème crée une confusion chez les lecteurs, car c'est un poème romantique en premier lieu; mais le fait d'introduire une charogne qui est une image de la laideur et de l'horreur donne un côté de dégoût au poème. La première problématique qui

», « tout ce corps remue », « large croupe ». · Transformation de la femme en éléphant Souvenir de Baudelaire dans le « Serpent qui danse » ( Les Fleurs du Mal , 1858) · A la différence de Baudelaire qui suggérait la sensualité et l’idéal, Rimbaud met en valeur la maladresse du mouvement. · Rejets et des contre-rejets Mime la disharmonie de son mouvement :«

REVISIONS FRANÇAIS1 – POESIE · ALBATROS : Baudelaire précurseur modernité 19e siècle (1821 – 1867)Poème 1861, Fleurs du mal en 1857, se trouve dans la section spleen et idéal4 quatrains, alexandrins, rimes croiséesSon poème nous parle de l’albatros, où il se compare à l’animal, et bous décrit ainsi le jugement que porte les gens à son égard. COMMENT LE POETE PEUT IL SE TROUVER SI GRAND DANS SON DOMAINE ET SI PETIT DANS LA SOCIETE ? 1 – UN MAESTRO DANS SON ART (3 STROPHES)2 – UN ETRANGER DANS LA SOCIETE

Introduction Charles Baudelaire est depuis longtemps un poète reconnu, l’un des auteurs les plus lus, les plus traduits et les plus commentés du monde. Baudelaire a enrichi le domaine poétique par sa création littéraire des Fleurs du Mal. Cette œuvre représente et incarne les aspects de la modernité poétique et littéraire au niveau de la langue et du style. Baudelaire fait de la poésie une vision du monde, un ordre de valeurs qu’il serait artificiel et réducteur d’enfermer dans des catégories

Le texte a étudié est un poème Le "Mauvais Vitrier" qui est l'un des cinquante Petits poèmes en prose rédigés par Baudelaireentre 1855 et 1864. Le recueil, encore appelé Le Spleen de Paris, a connu une publication posthume en 1867. Après les Fleurs du mal (1857), c'est la dernière tentative de Baudelaire pour accéder à uneécriture libre et poétique. S'il se libère des contraintes de la rime, le poète se donne un rythme, une structure proche de la poésie. Il parvient à son rêve esthétique par la rencontre

toute son âme et qu’il la chérirait de toute sa force.» (chap. I, p. 28) = parallélisme 2. Beauté de la vie a) Richesse du château (chap. I, p. 24-26) b) Paysages des Peuples : «Elle errait à pas lents le long des routes, l’esprit parti dans les rêves ; ou bien, elle descendait, en gambadant, les petites vallées tortueuses, dont les deux croupes portaient, comme une chape d’or, une toison de fleurs d’ajoncs. Leur odeur forte et douce, exaspérée par la chaleur, la grisait à la façon d’un vin

plaire aux yeux ». En ajoutant « aux yeux », Boileau met en exergue l’aspect visuel purement esthétique au détriment du plaisir d’une émotion. Nous allons donc aborder la fonction première de l'art en tant que miroir du réel indissociable de la beauté formelle, puis nous examinerons l'art en tant que représentation picturale ou graphique d’une réalité susceptible de susciter un intérêt autre que purement esthétique. La problématique repose donc sur le sens donné au verbe « plaire ». Dans l’antiquité