Fléxibilité Solution Chomage

l'embauche car les employeurs pourront difficilement licencier. Le problème de cette exigence (de la cause réel et sérieuse) c'est que ça réduit la flexibilité de l'entreprise. Il peut difficilement s'adapter à son environnement qui est instable donc cela cause un frein à l'embouche. Le deuxième problème qui peut entraîner une augmentation du chômage est le fait que l'employeur doit suivre des procédures très longues pour licencier un salarié (cela peut décourager l'employeur à embaucher).Le 3eme

critiquée et donc on assiste à un retrait de l’Etat. * L’Etat critiqué : Responsable de tous les problèmes économiques et sociaux car il intervient trop dans le domaine économique, notamment dans le domaine du travail puisqu’il est responsable du chômage. S’il n’y a pas de croissance en Europe cela est la faute de l’Etat puisqu’il prélève trop d’impôt, de cotisation sociale. Il pénalise les entreprises du point de vue du marché mondial. * Le désengagement de l’Etat : En réduisant l’intervention

de la valeur du patrimoine net des ménages. Les pertes d'emplois s'accentueront en 2010, avec une destruction prévue aux alentours de 940 000 emplois à la fin de l'année. Contexte de dégradation du marché du travail. En effet nous sommes dans un chômage de type keynésien, dû à une insuffisance de la demande de biens et services anticipée par les E* qui conduit ces dernières à limiter la production et donc l’emploi. Les nouveaux emplois aidés dans le secteur non marchant permettront tout juste de

qualifiés, mais – au sein de chaque grande classe sociale – les emplois impliquant une relation de service sont davantage exposés que les autres. Plus de 25% des employés de commerce et des personnels de services directs aux particuliers sont au chômage ou sous contrat à durée limitée, près de deux fois plus que la moyenne nationale. Les inégalités de salaires sont restées très stables en France, mais les inégalités d’exposition à des conditions d’emploi fragiles ont augmenté considérablement. La

conventions collectives.  Règles relatives à la Protection Sociale : régime de Sécurité Sociale. En France il y a un régime de CQ qui englobe les risques de l’existence (maladie, accidents du travail, maternité/parentalité, invalidité, décès, chômage). Le chômage dans certains pays est intégré à la Sécurité Sociale, en France il est géré par l’UNEDIC (service public indépendant de la CQ : bientôt UNEDIC + ANPE : opérateur unique = demande d’emploi + indemnité  Droit de l’Emploi : ensemble des règles

prévisionnelle qui engage des analyses rigoureuses. Selon Anderson (2004), les composantes essentielles de ces modèles sont : L’analyse de l’offre; L’analyse de la demande; L’appréciation des écarts entre l’offre et la demande; L’exploration de solution. Il est important de préciser que les analystes qui nourrissent la planification stratégique sont aussi ceux qui guident la planification des ressources humaines. Par exemple  si Bombardier prévoit l’obtention d’un contrat de fabrication d’avions

rationnel de la décision : elle commence par une phase d’analyse-diagnostic du problème (ici un besoin à combler qu’il s’agit d’identifier) et se poursuit par un recensement des solutions envisageables avec une évaluation de leurs conséquences. Elle se prolonge par la décision proprement dite, c’est-à-dire par le choix de la solution maximisant le résultat recherché au regard de critères spécifiés à l’avance, puis par sa mise en œuvre pour s’achever bien plus tard par un contrôle. La décision apparaît,

améliorer le système par une intervention de l'État et une politique économique adaptée. Il revient à une analyse macroéconomique et il conteste l'approche par l'offre au profit de l'approche par la demande. Sa préoccupation principale est de réduire le chômage, il faut soutenir la demande et non pas l'offre, par une politique économique qui encourage la consommation et l'investissement. L'intervention maximum de l'État au niveau économique et social. D'où l'idée de transformer l'État gendarme en État providence

se traduire par un partage de la valeur ajoutée plus défavorable aux salariés, par des économies de capital (avec les externalités et les différents types de flexibilités notamment), par une délocalisation plus importante de la production (c’est ce qui commence à se passer à l’heure actuelle), par des fusions-acquisitions et par une flexibilité plus grande de l’investissement, des emplois et surtout des salariés. Pour illustrer le capitalisme financier et ses principes, les auteurs ont pris l’exemple

le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles » 2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser