Folle Du Logis

13 SOCIALISATION ET MÉDIAS L’influence des médias sur les comportements est au cœur de questionnements de plus en plus nombreux, en particulier ceux autour de la télévision. Cette « folle du logis » occupe une part croissante de notre temps si bien qu’on peut se demander si elle n’est pas devenue un agent de socialisation à part entière. TÉLÉVISION ET INTERNET, DES MÉDIAS PARTICULIERS Télévision et Internet contribuent à faire reculer l’ignorance et l’intolérance. Ils transmettent des valeurs

utopique de l’auteur est très sérieux. Par ce biais, il avance des propositions philosophiques alternatives. Son récit est un laboratoire d’une liberté de demain. Il s’attaque au lieu commun du XVIIe siècle qui considère l’imagination comme la folle du logis. Du coup, l’imagination n’a rien à voir avec la fantaisie. Elle est ce qui va rendre la réflexion critique et possible. Il donne à la raison les moyens de mener ses enquêtes. Le démontage du religieux : Cyrano propose dans son roman un démontage

préférence marquée de la mère envers l'aînée et mauvais traitements à l'égard de la cadette, dessine une figure de marâtre "elle la faisait manger à la Cuisine et travailler sans cesse" ligne 6. Ecriture du conte marqué par l'hyperbole " cette mère était folle de sa fille aînée" ligne 5. Le premier dialogue qui fasse entendre des voix au discours direct est celui entre la Fée et la cadette. Paroles de douceur et docilité chez la cadette qui apparaît comme serviable "Oui-dà, ma bonne mère" ligne 9, même douceur

quelques convulsions de rage qu'elle n'a pu vaincre ont payé sa dette de faiblesse féminine à la nature. Mais peu à peu elle a surmonté les éclats de sa folle colère, les frémissements nerveux qui ont agité son corps ont disparu, et maintenant elle s'est repliée sur elle-même comme un serpent fatigué qui se repose. « Allons, allons ; j'étais folle de m'emporter ainsi, dit-elle en plongeant dans la glace, qui reflète dans ses yeux son regard brûlant, par lequel elle semble s'interroger elle-même

quelques convulsions de rage qu'elle n'a pu vaincre ont payé sa dette de faiblesse féminine à la nature. Mais peu à peu elle a surmonté les éclats de sa folle colère, les frémissements nerveux qui ont agité son corps ont disparu, et maintenant elle s'est repliée sur elle-même comme un serpent fatigué qui se repose.  « Allons, allons ; j'étais folle de m'emporter ainsi, dit-elle en plongeant dans la glace, qui reflète dans ses yeux son regard brûlant, par lequel elle semble s'interroger elle-même.

Le XVIIe siècle condamnait sévèrement les passions (Racine), l'imagination, cette « folle du logis » (Pascal, Descartes). Mais alors que triomphait dans la première moitié du XVIIIe siècle l'esprit rationaliste des Lumières pour qui un homme sensible n'est qu'un « être médiocre [...] un être abandonné à la discrétion du diaphragme » (Diderot, Le Rêve de d'Alembert), certains penseurs et écrivains mettaient en même temps en valeur le rôle des sensations, de la sensibilité : le philosophe Condillac

Sur la branche trop faible encor pour le porter. Chanson Les hirondelles sont parties. Le brin d'herbe a froid sur les toits ; Il pleut sur les touffes d'orties. Bon bûcheron, coupe du bois. Les hirondelles sont parties. L'air est dur, le logis est bon. Il pleut sur les touffes d'orties. Bon charbonnier, fais du charbon. Les hirondelles sont parties. L'été fuit à pas inégaux ; Il pleut sur les touffes d'orties. Bon fagotier, fais des fagots. Les hirondelles sont parties. Bonjour,

MALEBRANCHE Introduction : Selon Pascal, « l’imagination est la folle du logis ». En effet, ‘l’imagination est la capacité de former des images mentales, nait du corps. Elle empêche ainsi l’homme d’user de sa raison, par les puissances de dérèglement notamment par les perceptions et les sensations. Nicolas Malebranche est né en 1638, d’une famille de parlementaires parisiens. Il étudie la philosophie d’Aristote et la théologie à la Sorbonne. Il est ordonné prêtre en 1664. Cette même année,

Diurne et Nocturne, dont nous rappellerons brièvement le principe. Se basant sur les acquis de la réflexologie, de la psychanalyse jungienne9, et la pensée de Gaston Bachelard, le philosophe élabore un système qui fait la part belle à la « folle du logis ». Le symbole y apparaît comme une production de l'imaginaire dont le contenu sémantique dépend du régime qui le gouverne. Le régime diurne serait caractérisé par des structures schizomorphes ; les principes logiques

cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et, en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Il fallait, entre autres choses, que cette pauvre enfant allât, deux fois le jour, puiser de l'eau à une grande demi lieue du logis, et qu'elle rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre