Fonction De La Mise En Abyme

LITTERATURE Fin de Partie – Beckett « Place et fonction de la didascalie initiale dans Fin de partie. » Une didascalie, dans le texte d'une pièce de théâtre, est une note brève ou un paragraphe, rédigé par l'auteur à destination des acteurs ou du metteur en scène, donnant des indications d'action, de jeu ou de mise en scène. Elle permet de donner des informations, en autre, sur le comportement, l'humeur ou encore la tenue vestimentaire d'un personnage. Bien qu’intercalées dans le dialogue

transforme en une dernière partie d’échec où deux être marquent des points l’un après l’autre, se déchirent avec un certain sarcasme, malgré une tendresse. Cette pièce met en avant les spécificités du Nouveau Théâtre. II) Tout d’abord, on note une mise en cause du théâtre traditionnel, sur différents points. En effet, la didascalie initiale délivre des pistes sur l’intrigue sans donner de repères précis. Elle annonce seulement le thème de la pièce, celui de l’ennui et de l’attente, on ne parvient

Séance : Sujet type 2 / le merveilleux chez Pommerat. Pistes pour un corrigé. Intro : le conte au théâtre lance un double défi formel à la scène : Au-delà de la dramatisation de son contenu grâce à une mise en dialogue, comment transposer scéniquement le dispositif énonciatif (raconter sur le plateau une histoire à un public) ? Comment faire d’un art de la parole un art de la représentation ? Comment donner à voir sans pervertir le processus imaginaire propre au plaisir de l’auditeur d’un conte

une libertine. l.45 à 47 : « il y aura bien du malheur si le Gercourt ne devient pas, comme un autre, la fable de Paris ». l.45 : « si une fois vous formez cette petite fille ». l.34 : « le sort inévitable » --> fatalité : son plan va forcément fonctionner. Deux portraits méprisants.  C. But : gloire et humiliation. Gercourt = perso. ridicule & prétentieux. l.32 : « l’importance que met Gercourt à la femme qu’il aura ». M. critique le choix de G. pr sa femme + le trouve superstitieux & stupide. l

de les émouvoirContexte bourgeois- tradition de la comédie classiqueLa pièce a un succès rapide et entre dans le répertoire de la comédie française. Une des pièces les plus réussies du siècle. C’est une comédie qui nous parle de comédie -> mise en abyme, comédie en vers qui nous parle de vers et de théâtreLe mercure galant et le mercure de France : journal qui parle des livres parus et des pièces jouées dans la semaine à Paris. Les lecteurs peuvent également écrire dans ce journal, beaucoup écrivent

la maison, vaquant à diverses occupations, avec des variations de lumière(ex p 136),ceci accentuant l’impression de monotonie de la vie de A. dont toutes les journées se ressemblent, seulement ponctuées par les visites du voisin Franck. Le récit fonctionne sur le mode de la reprise(d’ailleurs un critique a eu l’impression de lire toujours la même scène avec quelques variantes, comme si le récit n’avançait pas vraiment), ce qui rappelle l’évocation de l’air indigène commenté dans le roman(p 99à101)

d’une créativité individuelle. Le pôle de la parole, bien que de nature individuelle, participe de la langue comme l’atteste le concept d’énonciation qui a pris naissance sous la plume de BENVENISTE pour la première fois : L’énonciation est cette mise en fonctionnement du langage par un acte individuel d’utilisation. (BENVENISTE, 1981[1974], p. 80)On s’aperçoit dès lors que le mythe en effaçant le sujet d’énonciation est à hauteur de langue et non de parole de telle manière que sa vérité n’est plus

représenter une pièce s’il veut être original, même si l’originalité ne doit pas être la préoccupation majeure du metteur en scène : si elle l’est, le metteur en scène met la pièce à son service, au lieu de la servir, de la mettre en valeur. Le travail de mise en valeur du metteur en scène est donc prédominant. Selon Artaud, le rôle du metteur en scène est très important, il dit « l’asservissement à l’auteur, la soumission au texte, quel funèbre bateau ! Mais chaque texte a des possibilités infinies »

en exposant, en exhibant, les intentions du dramaturge. Nous nous intéresserons donc initialement à la façon dont ce monologue original constitue une scène d’exposition puis nous analyserons sa dimension métapoétique.  I – Un prologue qui fait fonction d’exposition  A – Un prologue original : Ce prologue semble s’ouvrir sur des coulisses et non sur le plateau : EFFET de THEATRE dans le THEATRE. Nous sommes bien sur le plateau pourtant, le rideau est levé puisque le discours didascale évoque

psychologie des personnages. L’histoire d’Antigone est liée au mythe d’Œdipe, un oracle ayant prédit qu’Œdipe tuerait son père et épouserait sa mère, il est exposé à sa naissance sur le Mont Cich.   I) Une scène d’exposition. La scène d’exposition a pour fonction de répondre aux attentes du public : fournir des infos sur le personnage, le contexte, l’intrigue. Il est intéressant de voir si cet extrait répond à la tradition de la scène d’exposition. 1) Informations sur les personnages. La scène nous fournit