Fonction De Sganarelle

spectateur est censé se détourner des passions représentées. Or Molière est l’un des plus grands acteurs de cette promotion du théâtre au XVIIs. Lui-même est d’ailleurs non seulement dramaturge mais aussi comédien (il a notamment joué le rôle de Sganarelle). Sa pièce DJ intervient en 1665 alors que son Tartuffe vient de subir un échec. Il s’agit ici d’étudier la scène 1 de l’acte I, soit la scène d’exposition. Cmt cette scène représente-t-elle les enjeux de DJ, c’est la problématique que nous nous

« Cléanthis : Ah ! vraiment, nous y voilà… » jusqu’à fin de la scène. Perspectives d’étude : Le rapport maître / valet Le personnage porte-parole Fonctions du théâtre Textes complémentaires : • Différentes figures de valets : - Molière, Dom Juan, acte III scène 1 (fin de la scène : le « raisonnement » de Sganarelle ). - Molière, Les Fourberies de Scapin, extraits des scènes 2 et 3 et de l’acte I. - Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, acte V, scène 3 (extraits).

spectateurs et les lecteurs. Mais, le genre ne dépend pas seulement de la situation, la pièce elle-même peut dépendre des personnages, par exemple quand une pièce met en scène Dom Juan, comme celle de Molière. Dans cette pièce le valet de Dom Juan ( Sganarelle) nous dresse un portrait de son maître. Il dit de lui que c’est un « enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique...» D’après ce portrait Dom Juan nous apparaît comme un monstre. Le genre peut dépendre de la mise en scène. C’est le rôle

théâtre est un genre où l'on a toujours distingué la tragédie de la comédie; cette dernière se définit essentiellement par le fait qu'elle provoque le rire. Mais elle possède plusieurs caractéristiques.  On peut alors se demander quelles sont les fonctions des aspects comiques dans une pièce de théâtre. Dans un premier temps, nous allons voir les différents comiques dans une pièce, dans une deuxième partie nous verrons que le comique dénonce et corrige la société enfin dans une dernière partie nous

? Questions sur les genres argumentatifs Essai, fable, conte philosophique… Quel genre argumentatif vous semble le plus efficace ? Vaut-il mieux argumenter directement (essai) ou s’appuyer sur un apologue ? Donnez des exemples. Quelles sont les fonctions de l’apologue ? Quelle est l'utilité de l’utopie (Thélème, l’Eldorado, etc.) et de la contre-utopie ? Quel est le rôle joué par la morale dans une fable ? Sans cette moralité, la fable est-elle moins convaincante ? Qu’est-ce qui fait la diférence

prénoms Claudine et Colin= stéréotype de la famille bourgeoise que l’on retrouve d’ailleurs dans une autre pièce de Molière= Georges Dandin Choix du nom du chien « Brusquet » fait référence proverbe populaire : heureux comme le chien de Brusquet qui fonctionne comme une antiphrase = le chien finit déchiré par les loups. Molière a fait passer le nom du maître du proverbe au chien de M.Dim= malheur associé au proverbe lié cette fois à M.Dim 2. Le mépris de caste Une familiarité insultante

charnière entre le 17 siècle et le 18 siècle de la raison. Il est libertin parce qu’il refuse les conventions sociales et religieuses et il joue avec la religion.ACTE III Il s’agit d’un dialogue théâtral. Dans cet extrait il y a 3 personnages: Don Juan, Sganarelle qui déclenche la conversation et le pauvre et ils se trouvent dans la forêt. On peut diviser le texte en 3 grandes séquences: - 1 séquence: il y a la rencontre entre les personnages et le pauvre demande l'aumône - 2 séquence: Dom Juan se moque du

Dépit amoureux) 1659 : véritable triomphe avec les Précieuses ridicules, reprise d’une pièce créée auparavant à Béziers. 1660 : contraints de quitter salle du petit Bourbon, comédiens s’installent définitivement au Palais-Royal. 1660 : Sganarelle ou le Cocu imaginaire, nouveau grand succès. 1661 : Molière, soucieux de réussir dans genre noble, écrit Dom Garcie de Navarre ou le Prince jaloux, « comédie héroïque » -> aucun succès. -> se consacre alors essentiellement au comique : à

l’expression est passée au XVIIe siècle à un sens imagé pour désigner les personnes libérées de tout esclavage de la pensée, les libre-penseurs. Molière a peint de manière percutante le caractère du libertin dans le personnage de Dom Juan, que son valet Sganarelle décrit comme suit à Gusman, l’écuyer de Done Elvire : (…( tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu, ni

contemporains… ). • Etre capable de distinguer les différents sens du terme « mythe »et de classer les mythes en fonction de ces différentes acceptions. I. Travail de groupe Par groupe et à l’aide de documents, les élèves tenteront de répondre aux questions suivantes : Comment définiriez-vous un mythe ? (plusieurs définitions par groupe sont envisageables) Quelle(s) fonction(s) ont les mythes ? Citez quelques exemples de mythe. Le professeur demandera à chaque groupe de choisir un porte-parole