Fonction Florence Lorenzaccio

théâtre, texte et représentation Séquence 1 : Le drame romantique ; révolution du théâtre ou théâtre de la Révolution ? Etude de Lorenzaccio (1834) d’Alfred de MUSSET Texte n°1 : l’originalité de la scène d’exposition Texte n°2 : le meurtre du duc Alexandre Texte n°3 : la tirade de Lorenzo Texte n°4 : le dénouement de la pièce Synthèse sur Lorenzaccio de MUSSET Séquence 2 : Représentations théâtrales de tyrans célèbres ou la représentation du pouvoir au théâtre Texte n°1 : Britannicus

vision romantique se renverse et prend un aspect plus social. Le héros s'engage dans les combats pour la liberté. Ses passions se mettent au service de ses actions. La figure du héros romantique la plus représentative est sûrement celle de Lorenzo (Lorenzaccio, Alfred de Musset). A travers le romantisme on trouve une image aboutie de la figure du valet de la comédie classique, notamment dans les pièces de Victor Hugo (Hernani, Ruy Blas). La topique romantique L'amour L'amour romantique ne se

La jacquerie (1828), et au roman, avec Chronique du règne de Charles IX (1829), il trouve son mode d’expression dans la nouvelle ( L’enlèvement de la redoute, 1829, Mateo Falcone, 1829, Le vase étrusque, 1830). Se consacrant, à partir de 1834, à ses fonctions s’inspecteur général des Monuments historiques, il poursuit parallèlement son œuvre de nouvelliste : La Vénus d’Ille paraît en 1837, Colomba en 1840, Carmen en 1845. Devenu sous l’Empire un sénateur familier de la Cour, il meurt en 1870. Refusant

masculins, que le titre don permet d’identifier comme nobles. Quant à « la reine d’Espagne », sa personnalité dis- paraît derrière sa fonction. Les élèves observeront enfin la rupture qu’indique le titre du dernier acte : les person- 279832BWY_FicheGF_2017_Ruys_Blas_fm9.fm Page 5 Vendredi, 31. mars 2017 4:48 166 nages n’y sont plus désignés par leur nom ou leur fonction, mais par des métaphores allégoriques, dont Sylvain Ledda explicite la signification dans une note (p. 197) : « le tigre » symbolise

liée à la diversité des esthétiques dramatiques B) Les vertus cathartiques de la représentation du conflit Pour conclure : Bilan : Chaque système dramatique se donne sa propre tâche et gère les « antagonismes », « oppositions » et « heurts » en fonction de l’effet qu’il souhaite produire sur le spectateur. Ouverture : Le théâtre contemporain, en explorant de nouveaux langages dramatiques, ne cesse d’innover quant à la représentation des conflits de tous ordres dont les hommes souffrent (utilisation

pleinement sa fonction. Et la justice dans la cité, c’est rendre à chacun ce qui lui revient dans ce jeu de différence. Les citoyens sont différents et ont des fonctions différentes mais ils concourent à la vie de la cité qui profitent à chacun. Aristote dans le livre III dit que la cité peut jusqu’à un certain point s’apparenter à un navire dans lequel chaque marin a une fonction. Il y a le capitaine qui gouverne le navire. Et chacun doit réaliser sa fonction, étant entendu que sa fonction propre est

incarne une catégorie de personne, de gens. Elle tend de caractériser à partir d’un emploi bien défini (le mari, la femme). C’est surtout le cas dans les genres théâtraux comiques, comme dans la commedia dell’arte. On a tendance à caractériser selon la fonction, les personnages qui exercent dans la société. Molière par exemple au 17ème va créer un grand nombre de type, ce sont des personnages qui sont caractérisés par une manie ou une obsession, le type de l’avare, la femme savante, etc…Ces types humains

sommes romanesques que sont l'Ulysse de James Joyce et la Recherche du temps perdu de Marcel Proust. Quelle est l'origine de la nouvelle ? Dix personnes (sept femmes et trois jeunes hommes) fuient l'épidémie de peste qui dévaste la ville de Florence, en 1348, et se trouvent réunies à la campagne. Pendant dix jours, chacune d'elles va raconter des histoires, des nouvelles. Ces récits sont une invention de Boccace, écrivain italien. L'ensemble est publié vers 1350 dans Le Décaméron. Les nouvelles

(notamment avec les figures du Tasse ou de Gian Battista Guarini). Parallèlement, la tragédie retrouve un regain d’intérêt. La Sophonisbe (Sofonisba, v. 1515) de Gian Giorgio Trissino est considérée comme la première tragédie italienne régulière. À Florence les tragédies ne sont pas écrites pour être représentées mais lues ou récitées. A Rome, en revanche, les tragédies sont destinées à la scène, comme celles de Giraldi Cinthio (1504-1573). Ce dernier, qui s’affranchit des règles de la Poétique afin

« je suis ») et sur les modalités possibles de ce rapport : identité, différence ou même opposition. 3) Problèmes impliqués par le sujet : Une telle interrogation implique trois problèmes : - tout d’abord, qu’est-ce que la conscience, comment fonctionne-t-elle et à quoi nous donne-t-elle accès ? - ensuite, y a-t-il un inconscient ? Et, si oui, d’où vient-il ? - enfin, l’homme est-il totalement transparent à lui-même ? Doit-on dire avec Chateaubriand que « Je ne suis que ténèbres à moi-même »