Fondement De La Politique Chez Platon

style chez les premiers grands prosateurs grecs. La rédaction en prose – traités médicaux, récits historiques, plaidoyers d'orateurs, dissertations de philosophes – ne constitue pas seulement, par rapport à la tradition orale et aux créations poétiques, un autre mode d'expression mais une forme de pensée nouvelle. L'organisation du discours écrit va de pair avec une analyse plus serrée, une mise en ordre plus stricte de la matière conceptuelle. Déjà chez un orateur comme Gorgias ou chez un historien

rendre des décisions justes. Il y a une assimilation dans le voc commun entre droit et justice. Pour le juriste la notion de justice sera plus précis Justice : sens subjectif : l’aspect moral de la justice. Elle est en générale considérée comme un fondement du droit. Ex : dans l’antiquité , les juristes romains définissaient la justice étant comme l’art du juste et de l’équité. * Sens institutionnel : l’ensemble des institutions judiciaires dont la fct est de rendre la justice par le respect du

philosophie politique. Le plan du livre, tel qu'il est annoncé, montre ainsi essentiellement deux parties: 
1) les chapitres 1-15 établissent que la théologie laisse à chacun le droit de philosopher comme il l'entend ; 
2) les chapitres 16-20 montrent que cette liberté peut et même doit être accordée sans danger pour la paix de l'Etat et le droit du souverain. Seule une motivation puissante a pu faire abandonner momentanément à Spinoza son œuvre principale. Ce Traité théologico-politique est un plaidoyer

Apologie de Socrate Dans l’Apologie de Socrate (Πλάτωνος Ἀπολογία Σωκράτους, sous-titrée Genre éthiqueéthique ) Platon rapporte les plaidoyers de Socrate lors de son procès qui déboucha sur sa condamnation à mort. Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d’Athènes. Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse, impiété, et introduction de nouvelles

outil important et en éminent discours pouvant tout remettre dans un champ questionnaire. Telle est la grande problématique. Non seulement elle met en exergue les grandes problématiques, elle cherche également à donner réponse à ces problématiques. Platon s’est accroché l’idée pour dire : « la philosophie, c’est ouvrir les yeux des hommes à un monde qui dépasse les apparences ». Car, avec la philosophie, l’homme est devenu sujet et se réalise en tant que tel. Il est l’interrogeant dans l’interrogé

Il n’a jamais existé. C’est une hypothèse qui permet de réfléchir sur la nature et le comportement de l’homme en dehors des structures sociales. Dans le but de répondre à une question qui traverse la politique : sous quelles conditions le pouvoir est-il légitime ? Quel est le meilleur pouvoir politique ? C’est à partir de cette analyse de l’homme à partir de nature que Hobbes cherche à répondre à la question. Hobbes nous explique que l’homme a un instinct de survie. Or il ne faut pas oublier que

société vont servir à le construire. Par sa nature ouverte il possède une seconde nature qui s’appelle «culture » qu’il va bâtir (un vêtement qui lui permettra de survivre). Donc l’homme a besoin qu’on lui inculque cette seconde nature. La communauté politique, universitaire. Aristote : « l’homme est un zoòn politikon ». Nous pensons que l’homme à besoin d’une polis, d’une citer pour croître, pour être civiliser et être polit. Nous pouvons espérer à avoir un esprit critique, relativiser, oxygéner notre

phases : les précurseurs (grec, romain, arabe), les pré-modernes (Mercantilisme, Physiocratie) et l'économie moderne (qui débute avec Adam Smith à la fin du XVIIIe siècle). « […] les idées, justes ou fausses, des philosophes de l’économie et de la politique ont plus d’importance qu’on ne le pense en général. À vrai dire le monde est presque exclusivement mené par elles. Les hommes d’action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves de quelque économiste

caractère absolument certain de l'existence du sujet pensant : «  je pense, donc je suis ». Tout est incertain et douteux sauf le « je » (je ne peux pas douter de ma propre conscience). Descartes fait ainsi du phénomène de la conscience de soi le fondement inébranlable de la vérité, sur lequel toute connaissance doit prendre modèle pour s'édifier. « Que suis-je » dit alors Descartes, « je suis une substance (=sujet) dont toute l’essence (=nature) n’est que de penser ». L’âme est plus aisée à connaitre

considérable. Ainsi au XXIe siècle les pratiques religieuses sont de moins en moins influentes. Mais il reste difficile d’imaginer une société sans religion car la religion constitue un patrimoine culturel important. Par exemple dans certains pays, la politique est principalement inspirée de la morale religieuse. Cependant, en quoi la religion est-elle nécessaire à la société ? Pour répondre efficacement à cette problématique nous nous demanderons en premier lieu, qu’est-ce que la religion peut nous apporter