Fonds de garantie des dépôts

DEVISES I-DEFINITION ET ILLUSTRATION II- CARACTERISTIQUES DES CONTRATS FUTURES SUR DEVISES 1- La négociabilité sur un marché organisé 2- La standardisation des contrats 3- L'existence d'une chambre de compensation 4- Le dépôt de garantie et l'appel de marge III-Représentation des contrats Futures sur les devises IV-AVANTAGES ET INCONVENIENTS DES FUTURES SUR DEVISES 1-Avantages 2-Inconvénients CONCLUSION INTRODUCTION Un contrat à terme est une opération négociée entre

intervenants dans une opération de titrisation 10 Section 3 : Description du mécanisme de la titrisation : cas du CIH 12 Chapitre 2: Aspects fiscal et comptable de la titrisation 16 Section 1 : Pour l’etablissement initiateur 16 Section 2 : Pour le Fonds de placements collectifs en titrisation 17 Conclusion 20 Introduction La titrisation des actifs est une technique d’origine américaine, débutée dans les années 1970, le département américain au logement et au développement urbain a effectué

par les établissements de crédit : La banque est un agent économique qui joue un rôle extrêmement important, car elle exerce deux fonctions principales :  Le principe de l’intermédiation : l’intermédiation bancaire existe dans la collecte de fonds et la distribution de crédits. Dans ce sens la banque collecte des capitaux pour son propre compte et les prêtes à ses risques et périls.  La prestation et services : jouer un rôle d’intermédiaire ne suffit pas, les banques doivent aussi dans un

divergent concernant l’importance de ces dépôts dans les ressources de la banque islamique. Pour certains, cette manne ne constituerait qu’une infime partie des ressources des banques islamiques (Siagh, 2001 p.30). Pourd’autres, il s’agirait d’une importante ressource allant même jusqu’à 75% des ressources mobilisées pour certaines IFI (BID, 2002. p.118). * Ne génère aucun intérêt en contrepartie de la gratuité de certains services (chèques, transferts de fonds etc) * Lorsque la banque islamique

statuts (caisse d’épargne et de prévoyance, crédit agricole, banque populaire, crédit mutuel, crédit municipal, sociétés financières,…) * Sauf les institutions citées à l’article 8 : trésor public, banque de France, la poste, IEDOM, caisse des dépôts et consignations ? toutes ces institutions fi réalise des opérations, mais ne sont pas soumises d’agrément par une autorité de tutelle, mais toutes les autres banques doivent demander une agrémentation de l’autorité tutelle. Hors mis ces cas particulier

différencier les « bons » des « mauvais » débiteurs. Ainsi l’utilisation par les banques de ratings (internes ou externes) permettra d’évaluer la solvabilité des débiteurs. Mais depuis la publication des propositions relatives à la révision des exigences en fonds propres pour les banques par le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire en 1999 et 2001, les entreprises craignent que ces prescriptions ne se traduisent par un fort renchérissement des crédits bancaires, voire, le cas échéant, par un véritable blocage

et les crédits d’équipement pour les entreprises). Les opérations de collecte de ressources. Ces ressources sont principalement les dépôts, les produits des emprunts et les produits monétaires. Les banques peuvent également obtenir des ressources en émettant des actions au titre d’une augmentation de capital ou des titres obligataires et monétaires (certificats de dépôt et bons à moyen terme négociables sur le marché monétaire). Les opérations de gestion de portefeuille de titres financiers. Par ces

Au niveau de la finance des particuliers (épargnants), le terme est parfois utilisé plutôt que celui d'« investissement ». La notion de placement comporte généralement un espoir de gain (rentabilité) couplé à une prise de risque. Même un simple dépôt d'épargne ou l'achat d'un titre de l'État est sujet aux vicissitudes monétaires. Cela dit, la notion de placement comparée à celle de spéculation, comporte une connotation de risque plus modéré ou maîtrisable, et en contrepartie une rentabilité, au

subventions, emprunts, apports en capital. Un premier apport en capital est cependant obligatoire à toute création d’entreprise. Il représente d’ailleurs la prise de risques des fondateurs. Les autres partenaires ne s’engageront qu’en fonction des garanties apportées par les perspectives de développement et surtout par l’engagement financier effectif des fondateurs qui seuls contrôlent l’entreprise. Le montant, les modalités de l’apport (le nombre d’associés, la « qualité » de ces derniers) sont liés

Chapitre 2 : Fonction Budget 1. Description de la structure organisationnelle 1.1. Budget de fonctionnement et d’équipement 1.2. Budget d’investissement Chapitre 3 : les principales missions de la fonction 1.dépôts/consignation 1. Fonction Dépôt 1.1. Fonction d’encaissement 1.2. Fonction de versement 2. Fonction de consignation 2.1. Ouverture de compte 2.2. Consignation 2.3. Déconsignation 2.4. Clôture de compte