Fort Carillon

Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique ! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour ! nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève, Se pâment longuement sous l'ardeur des climats ; Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève ! Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts : Un port retentissant où mon âme peut boire A grands flots le parfum, le son et la couleur ; Où les vaisseaux

quel que soit le statut de l’œuvre, il s’agit toujours d’une représentation figurative, aux formes classiques. Prenons l’exemple, à Carcassonne, en France, du monument aux morts de la guerre de 1870, sculpture réalisée entre 1910 et 1914 par René Carillon, faite de bronze et disposée sur un socle de granit puis entourée d’une grille en fer forgé, intitulée « En carré pour la patrie ». L’œuvre, un monument aux morts, fait appel à la mémoire collective et est installée sur un grand carrefour de la ville

signifie que le mouvement central est un axe de symétrie, comme un miroir. La partie 1 et la partie 5 ont beaucoup de points communs ; la partie 2 et la partie 4 également. Crescendo : augmentation progressive de l’intensité musicale (de plus en plus fort) Piano, mezzopiano, mezzoforte, forte, fortissimo, etc. : nuances, intensités musicales (de la moins forte à la plus forte) Accords : ensemble de sons organisés joués en même temps Cluster : grappe de sons joués en même temps (tous les sons compris

précieuses indications  : « C'est un    ●   ● Avant  même le lever du rideau, « on ​ entend  carillonner » (l.20) . ​ Cet  élément sonore ancre  la pièce en un instant précis, mais ​ fonction  plus symbolique : d'une part, il se substitue  solennellement aux  trois coups traditionnels du théâtre d'autre part il attire  l'attention du  lecteur et du spectateur sur la bande­son ; enfin  on peut comprendre ce carillon comme une sorte  de signal qui marque  l'émergence d'un événement.  ● ● Si    aucune époque n'est réellement précisée

de ses parents, presque tous hommes de six pieds*. Je leur fis présent de clous, d’outils, de perles fausses et d’étoffes de soie. Il fallut lui rendre sa visite chez lui ; nous fûmes bien accueillis, et l’honnête Toutaa m’offrit une de ses femmes fort jeune et assez jolie. L’assemblée était nombreuse, et les musiciens avaient déjà entonné les chants de l’hyménée. Telle est la manière de recevoir les visites de cérémonie. Bougainville, Voyage autour du monde (1772) *Ereti : Chef de la tribu indigène

incapable d'éprouver la douleur ou le plaisir, de faire preuve de compassion. Le hiatus «effrayant, impassible», qui n'est pas fortuit, qu’il eût été facile d'éviter en utilisant le mot «effroyable» qui a la même racine qu’«effrayant» et un sens plus fort, accentue encore cette impression pénible. Le caractère ternaire se vérifie encore par le rythme 3 / 3 / 3 / 3 du vers, qui n'a ici rien de dansant : il rend le tic-tac de l'horloge, le balancement du pendule, le martèlement régulier des secondes.

l'ai mise hier soir en rentrant, mais à ce propos figure-toi qu'un imbécile quelconque, sans doute pour me faire une mauvaise farce, est venu carillonner à ma porte vers minuit ; j'ai demandé qui était là, mais comme personne ne me répondait, je me suis recouché et rendormi." En ce moment, on sonna, c'était le propriétaire, personnage grossier et fort impertinent. Il entra sans saluer. "Monsieur, dit-il à mon ami, je vous prie d'enlever immédiatement la charogne que vous avez pendue à votre

sa « vraie » nature. C’est d’abord à travers son attitude vis-à-vis des cloches de Notre-Dame que l’auteur transmet la vraie nature de Quasimodo : sa capacité de douceur. Il les aimait, les caressait, leur parlait, les comprenait. Depuis le carillon de l’aiguille de la croisée, jusqu’à la grosse cloche du portail, il les avait toute en tendresse. (p. 209) De plus cette tendresse, cette douceur apparaît de manière plus importante à travers son comportement envers Esmeralda et l’amour qu’il

d’éviter toute erreur dans le but de se faire bien voir. La première phrase de l’extrait décrit assez bien cette attitude, lorsque qu’elle refuse d’attendre devant la porte par peur de paraître ridicule. Ensuite, c’est son cœur qui commence à battre plus fort à mesure qu’elle avance dans le vestibule, de plus, elle ne peut s’empêcher de sourire comme si elle ne contrôlait plus son corps simplement sous l’influence de son environnement. Ces réactions disproportionnées nous montrent qu’Emma est une personne

puissants et de grands groupes de patients, enfermés, soumis aux traitements. D’autres, montrèrent que l’organisation de l’hôpital pouvait induire les troubles psychiques. Autrement dit, si une personne saine est soumise à la dictature hospitalière, il est fort probable qu’après quelques semaines elle est en souffrance, tant la culture 4 hospitalière est éloignée de la vie quotidienne, de la culture locale, des habitudes personnelles. Cet hôpital-là est un monstre qui brise un à un tous les liens. Tout