Foule

qui lui serait survenue, une pitié qu'il aurait éprouvée, n'eussent fait qu'accroître cette hilarité des muscles ; s'il eût pleuré, il eût ri ; et, quoi que fît Gwynplaine, quoi qu'il voulût, quoi qu'il pensât, dès qu'il levait la tête, la foule, si la foule était là, avait devant les yeux cette apparition, l'éclat de rire foudroyant. Qu'on se figure une tête de Méduse gaie. Victor Hugo, L'homme qui rit, 1869. Introduction On reconnaît dans Victor Hugo le génial créateur du personnage de Quasimodo

pour les courses de 100m et 200m. 2- Aperçu technique de la course de vitesse 1- Analyse de la foulée La course est une discipline cyclique se basant sur la foulée. Cette dernière est le bond compris entre deux contacts successifs avec le sol. Elle se compose d’une phase d’appui et d’une phase de suspension (figure 2.a et 2.b). 3 Fig. 2.a : La foulée Fig. 2.b : Analyse mécanique de la foulée (Smail 2011) a- La phase d’appui La phase d’appui correspond au moment où le pied du coureur

impériale. À ces mouvements près, on aurait pu se croire dans le palais de la Belle au bois dormant. La brise du printemps, qui passait sur les bonnets à longs poils des grenadiers, attestait l'immobilité des soldats, de même que le sourd murmure de la foule accusait leur silence. Parfois seulement le retentissement d'un chapeau chinois, ou quelque léger coup frappé par inadvertance sur une grosse caisse et répété par les échos du palais impérial, ressemblait à ces coups de tonnerre lointains qui annoncent

narrateur commente les faits de la foule en colère, illustré par la présence de Hussonet et Fréderic, qui observent la scène. Il est également utilisé lorsque la population attaque le trône. Le point de vue narratif passe à l'interne à un endroit précis du texte, même s'il est peu utilisé.On le remarque lorsque Hussonet et Frédéric discutent en utilisant le discours direct:« -Les héros ne sentent pas bon ! » (l - l ) L'auteur peut ainsi commenter l'attitude de la foule, de par la propre observation

dynamique 3. Gustave Le Bon (1841-1931) : il travaille sur la foule qui est une situation collective essentielle, et écrit en 1995 « La Psychologie des Foules ». La foule psychologique est un être provisoire composée d'éléments hétérogènes pour un instant soudé, absolument comme les cellules d'un corps vivant forment par leur réunion un corps manifestant des caractères forts différents de ce de chacune des cellules séparées. Cette foule dote donc les individus d'une sorte d'âme collective qui les

Georges Duroy, le peuple de Paris le contemplait et l'enviait. | Métaphore filée | Il est présenté comme un roi qu'un peuple acclame liée au jeu de mots sur son nom « Georges Du Roy » | Il aperçut la foule amassée, une foule noire,bruissante.. | Champ lexical de la foule | Elle est comparée à une masse, c'est une masse qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour lui, pour l'acclamer. | … le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, qu'elle lui avait

Le garde me poussa et referma derrière moi. Je me trouvai en face de la foule. Les gens me regardaient d’un air interrogatif. Je commençai mon discours. « Bonjour, merci d’avoir pris le temps de venir écouter un détenu. Je suis au pénitencier depuis neuf ans et viens vous demander pardon. Je ne viens pas vous dire que je suis innocent mais simplement essayer de vous prouvez que je mérite votre aide. » Des gens dans la foule commençaient à me monter qu’ils se fichaient de ce que je leurs racontaient

monstres symbolisent également la perversion morale. Leur infirmité, nous dit Claire Caillaud, est perçue comme le signe d'une méchanceté fondamentale dans la mentalité populaire. On voit bien ce glissement dans l'extrait de Notre-Dame de Paris où la foule dit de Quasimodo qu'il est " aussi méchant que laid ", et le personnage de Frankenstein est aussi bien monstrueux physiquement que moralement, puisqu'il avoue avoir commis bien des crimes. Pourtant, sa monstruosité morale n'est pas première : la créature

objectif. Bon travail! Le sujet: identifiez le sujet et la consigneL’écrivain Alexandre Dumas, lecteur des Contemplations, après avoir refermé le recueil, écrivit à Victor Hugo : « Il faut que le pied du vigneron foule la grappe pour qu’elle donne le vin. Il faut que le pied de l’adversité foule le cœur pour qu’il donne la poésie »Ce propos rend-il compte de votre lecture des livres I à IV des Contemplations ?Votre réflexion prendra appui sur l’œuvre d’Hugo au programme, et sur votre culture littéraire

illuminées » L 13, « étoiles » L 3, « scintillait » L 2. =symbole de l'espoir -champ lexical du bruit: « grondements », « longue et sourdes exclamations », « cris qui redoublaient de force et de durée » L 25, « cris d'allégresse » L 46 = bruit de la foule et de la ville soulagée -Association/ rapprochement du bruit et de la lumière: « fusées » L 27, « gerbes multicolores » L 27 • Les Hommes oublient les morts. -L 19 « Cottard, Tarrou [...] étaient oubliés. » = juxtaposition de victimes + phrases