Fourmilière

capacité d’agir de l’homme. L’homme considéré d’un point de vue plus général à l’air d’une espèce bien moins extraordianire. Il vit en communauté tout comme les abeilles, les fourmis ou les rats. Les hommes batissent des villes, les fourmis des fourmilières, les abeilles, des ruches. La société humaine est hierarchisé, chacun s’occupe à une tâche différente et contribue indirectement à la survie de tous. Chez les fourmis et les abeilles il en va de même. Hobbes nous explique dans le Léviathan la nécéssité

descend vers Carrefour, une fois descendu on est comme forcé de faire tous les magasins sur notre route et là une autre entrée II.4 La dictature des flux A l’intérieur de la galerie marchande, les gens qui circulent font penser à une fourmilière, le flux abonde dans tous les sens et en continu. Si on s’intéresse un peu à ce mouvement de masse, on remarque qu’il est toutefois organisé : les gens s’organisent et marchent à droite, ils s’improvisent un code comparable au code de la route.

géant nouveau. Or c'était un soliveau, De qui la gravité fit peur à la première Qui, de le voir s'aventurant, Osa bien quitter sa tanière. Elle approcha, mais en tremblant; Une autre la suivit, une autre en fit autant: Il en vint une fourmilière; Et leur troupe à la fin se rendit familière Jusqu'à sauter sur l'épaule du roi. Le bon sire le souffre et se tient toujours coi. Jupin en a bientôt la cervelle rompue: «Donnez-nous, dit ce peuple, un roi qui se remue.» Le monarque des

de l’hôte d’une part et la révélation du parasitisme des prétendants d’autre part . En effet, le passage se donne à lire comme une scène de procès théâtrale orchestré par Athéna. Se concentre à la fois dans le discours et dans la narration une fourmilière de preuves qui révèlent les crimes des prétendants. Véritable prélude au châtiment final, les présages scandent également le texte et s’accumulent à mesure que les révélations se mettent à jour. Le parasite, victime aveugle d’une véritable machine

exhaustive des différentes profession qu'il rencontre. De plus, il compte précisément le nombre d'établissements, de boutiques et comptoirs pour chaque métiers, insistant sur leur nombre élevé. Cela montre bien l'activité dense qui règne dans la fourmilière qu'est Paris, si densément peuplée. Le commerce avec l'extérieur représente une part important des activités économiques. Il se fait principalement par voie fluviale comme l'écrit l'auteur aux lignes 33-34 « La ville est traversée par la Seine

avait pour tous les goûts. Je marchais au milieu du trottoir, dévisageant attentivement chacune des personnes que je croisais, me demandant quel était leurs âge, comment vivaient-ils leurs vies. Leurs secrets dans cette gigantesque et hostile fourmilière, c'est qu'ils sont tous différents, qu'ils s'ignorent et pourtant se croisent tous les jours sans prendre le temps de s'observer. Ils avancent sans se poser de questions d'un pas rapide vers leur objectif ou leur devoir. Je passais devant une

inutilité de faire la guerre, autre que pour perdre des vies (« Ah ! malheureux ! s'écria le Sirien avec indignation, peut-on concevoir cet excès de rage forcenée ! Il me prend envie de faire trois pas, et d'écraser de trois coups de pied toute cette fourmilière d'assassins ridicules. »). 3. La satire : c’est un discours écrit ou oral qui se moque de quelque chose, souvent de façon ironique ou de manière dérisoire. L’auteur s’en sert pour critiquer les défauts ou les mœurs de ses contemporains/de la société

Singapour). 1. une population nombreuse qui a longtemps été un handicap - Depuis l’Antiquité : Asie orientale : zone bien plus peuplé que les autres espaces. - XVIIIe siècle, lorsque les européens colonisent cet espace : ils parlent de fourmilière. - L’Asie a donc toujours été très peuplée : longtemps été un handicap : l’agriculture était l’activité dominante et aucun n’était à l’abri d’évènement climatique aux conséquences catastrophiques. - 1980 : le dirigeant chinois Deng Xiaoping :

vertige, apprécie selon plusieurs points de vue les œuvres monumentales exposées temporairement dans le hall ou enfin contemple ses semblables à loisir en prenant la mesure de leur petitesse, de leur nombre et de leurs mouvements incessants. Vaste fourmilière évoluant dans une ambiance de machine tournant à vide, cette architecture néo-industrielle semble produire un effet particulièrement démocratique sur la fréquentation du musée. Elle attire un large public qui n’est manifestement pas celui que l’on

acceptables mais il faut relativiser en évoquant le fait que certaines espèces animales telles que les chimpanzés ont une certaine science en ce qui concerne les insectes qu’ils attrapent à l’aide de tiges qu’ils introduisent dans les termitières ou fourmilières. N’est-ce pas là un exemple de science, de science du comportement (des fourmis qui montent toute sur la tige et se font ensuite manger)? Enfin l’auteur ne prouve pas que l’animal n’ait pas de conscience en tant qu’espèce. Dans la troisième