Fourmilière

entièrement tourné en studio à l’exception de quelques scènes dans la casbah d’Alger, le dédale de ruelles, et l’atmosphère en sont parfaitement crédibles. Alger est en effet décrite comme : « Un maquis, profond comme une forêt, grouillant comme une fourmilière, un vaste escalier dont chaque terrasse est une marche et qui descend vers la mer. Entre ces marches des ruelles tortueuses et sombres, des ruelles en forme de guet-apens, des ruelles qui se croisent, qui se chevauchent(…) dans un fouillis de labyrinthes(…)

multiplient. Son œuvre « Les embarras de Paris » est une satyre de l'environnement parisien autour du poète .Dans son poème il explique le bruit permanent auquel tout poètes vivant a Paris est confronté. Il en va même de comparer la capitale a une fourmilière : »D'un peuple d'importuns qui fourmille sans cesse. La Comtesse Anna de Noailles écrit ce poème (« J'écris »), parut en 1901 dans un de ses recueils « le Cœur innombrable ». De registre lyrique et de genre poétique, il suit la composition d’une

que nous sommes les seuls à avoir de l'intelligence, pour créer des outils par exemple, et bien laissez moi vous contredire sur ce point, les orang-outan se servent de fines branches qu'il perfectionne eux même pour se nourrir des larves dans des fourmilières, certains oiseaux se servent de pierre pour briser des œufs trop dur pour leurs becs, les loutres elle aussi utilise des cailloux pour briser des coquillage et ainsi se nourrir... la seule différence entre eux et nous, c'est que nous, nous réutilisons

boutique surchauffée où s’entasse le linge sale avec ses puanteurs et ses malpropretés morales. Il en va de même de Germinal. De nombreuses métaphores ravalent le peuple de mineurs au niveau de l’animalité ds Germinal : la mine est d’abord une fourmilière d’ « insectes humains, fouissant la roche », elle avale les ouvriers dans un « enfournement de bétails ». Animaux du sacrifice, les mineurs ont la « figure moutonnière » de la soumission et l’apparence placide du bovin : « le sein énorme » de la

sud pendant 15 jours. Nous sommes arrivés en car, j'étais joyeux et impatient car j'allais découvrir un des plus grand canyon au monde. Le paysage était désertique, l'air était chaud et sec. Malgré la chaleur étouffante et la fatigue, je vis des fourmilières qui mesuraient environ 2 mètres de haut. J'admirais avec fascination la construction de ces maisons faites de terre rocailleuse et de brindilles. En marchand un peu, sous un soleil brûlant, j'atteignis des cascades d'eau qui ruisselaient entre

De couleur fort tannée, et tels que les Abeilles, Avaient longtemps paru. Mais quoi ! dans les Frelons Ces enseignes étaient pareilles. La Guêpe, ne sachant que dire à ces raisons, Fit enquête nouvelle, et pour plus de lumière Entendit une fourmilière. Le point n'en put être éclairci. "De grâce, à quoi bon tout ceci ? Dit une Abeille fort prudente, Depuis tantôt six mois que la cause est pendante, Nous voici comme aux premiers jours. Pendant cela le miel se gâte. Il est temps désormais

restreint et sans grande valeur) - un petit coin de terre - des animaux couverts d'un turban (= les Turcs) - des fous de notre espèce couverts d'un chapeau (= les Européens) Voltaire veut aussi montrer la folie des hommes qui constituent «une fourmilière d'assassins» tout en étant «des animaux chétifs». D'autres individus enfin ne sont désignés que par un nom générique : Sultan, César. La démonstration de l'auteur, enfin, est renforcée par des hyperboles nombreuses telles que «cent mille fous»

d’une utilité ramenée à la nécessité vitale menace de recouvrir la question du sens et porte atteinte à la dimension spécifiquement humaine de l’activité : elle nous pousse à nous conduire comme des rouages de machines, ou comme des fourmis dans la fourmilière. Les uns et les autres – rouages et fourmis – fonctionnent, ils contribuent à la bonne marche de l’ensemble, sans jamais poser la question du sens de ce qu’ils font – et pour cause ! […] Si Hannah Arendt affirme de façon provocante que « le travail

passe, les grenouilles meurent engloutit par la Grue -> Carnage c)L'évocation de la nature "marécageuse" (v-7) "eaux" (v-9) "joncs","roseaux" (v-10) "Soliveau"(v-14) -> bout de bois "tanière" (v-17) "fourmilière" (v-20) -> forme d'humour, on compare les grenouilles à des fourmis.. Conclusion: ->ressemblance avec l'homme: il reste en communauté, l'insatisfaction, distant avec les sujets importants, attend, n'agit pas. ->Nature dangereuse pour les petits

battent. Au même titre que l’homme fait la guerre à ses congénères, la fourmi semble doué de cette même «sociabilité» en se battant contre ses propres congénères d’une fourmilière voisine. Ou bien même, les rapports entre fourmis au sein même d’une fourmilière révèle des caractères sociaux (comme la trophallaxie) qui font de la fourmilière une civilisation. Or d’après Rousseau, c’est parce qu’il acquiert de la culture que l’homme naturel devient civilisé, autrement dit qu’il développe des rapports sociaux