Fournisseurs De Zara

par les couts A ce principe de base s’ajoute 3 principes marketing : Les bas prix, l’absence de rupture, le service aux consommateurs. Ces valeurs s’articulent autour d’un discours : partage des profits avec les collaborateurs, motivation des fournisseurs, communication transparente de l’entreprise, écoute du personnel (associé), célébration d leurs succès. LVMH : n°1 mondial du luxe a fondé sa philosophie sur l’art de vivre à l’occidental en ce qu’il a de plus de raffiné. Le groupe s’appuie

La logistique, une activité en plein essor Michèle Léglise (SESP) La logistique, en tant que chaîne de flux de marchandises et d’informations du fournisseur au client, s’est beaucoup développée et rationalisée au cours du dernier quart de siècle, en France comme dans les autres pays industrialisés. Depuis les années 90, elle est devenue un secteur d’activité à part entière. Elle concerne toutes les branches d’activité (industrie, commerce, BTP, produits agricoles, services) des secteurs privé et

un atout stratégique Comme beaucoup d’entreprises, peut-être ne songez-vous à modifier votre supply chain que lorsque quelque chose ne fonctionne plus (stocks trop importants, clients se plaignant de la médiocrité de votre service ou retard d’un fournisseur pour une livraison critique). Ou peut-être avez-vous constaté après une analyse d’étalonnage concurrentiel (benchmarking) que votre performance de supply chain était inférieure à celle des autres acteurs du marché. Si vous ne pensez à modifier votre

sont dans l’obligation d’adopter une stratégie commune pour pouvoir se démarquer : la différenciation. La première raison est que c’est un marché très concurrentiel qui laisse peu de place aux commerces indépendants car les enseignes comme Mango, Zara ou H&M se sont fortement développées. La deuxième raison est la revendication d’un style propre à chaque consommateur. En effet, les consommateurs, en majorité les femmes, veulent des vêtements qui leur ressemblent donc il faut les personnaliser

données secondaires 6 2.2.1 État civil 6 2.2.2 Âge 6 2.2.3 Segmentation 7 3. CONCURRENCE 7 3.1 Bénéfices moyens des entreprises du secteur 8 3.2 Concurrents directs 8 3.3 Avantage concurrentiel 10 3.4 La concurrence indirecte 11 4. FOURNISSEURS 12 5. ÉTUDE DE MARCHÉ 12 6. STRATÉGIE DE MARKETING 13 7. PRÉVISIONS BUDGÉTAIRES 14 7.1 Ventes potentielles 14 7.2 Financement 15 8. STRATÉGIE NUMÉRIQUE 15 LISTE DES ANNEXES 16 ANNEXE I – RÉSULTATS SONDAGE 16 ANNEXE II – FICHE

transversal et global, a fait écouler beaucoup d'encre ces cinq dernières années. De nombreux experts ont d'abord disséqué les flux afin de proposer une organisation capable de piloter les flux de l'entreprise et de ses partenaires depuis le fournisseur du fournisseur jusqu'au client du client. Les entreprises, alors doivent être prêtes à délaisser les modèles classiques pour évoluer et atteindre la maturité et mettre en œuvre les approches les plus innovantes, en contre partie ses exigences se sont multipliées

d’information, logistique sophistiquée) * Commerce doit s’ajuster aux exigences de nombreux acteurs : * Producteurs * Prestataires logistiques qui assurent l’écoulement de la marchandise (manutentionnaires, transporteurs) * Fournisseurs et entreprises de services : création du cadre physique du magasin et de son offre, outils nécessaires au fonctionnement de l’entreprise (sociétés d’étude, prestataires marketing, banquier …) * Consommateurs * Pouvoirs publics (lois

de l’organisation, reeingénierie, benchmarking etc …) ❑ Depuis le début des années 90 apparaît ce que l’on appelle « l’école scandinave » qui met en avant une vision du marketing basée sur la notion de services exprimés dans la relation fournisseurs / clients. En d’autres termes ils ont principalement travaillé sur les facteur de différentiation et d’enrichissement de l’offre (Cf. NOKIA, ERICSON, LEGO …) ❑ Enfin l’école « latine » adopte une vision résolument sociologique, tant dans

 détail  est  le  maillon  final  de  la  chaîne  de  distribution.  Il  se   distingue  ainsi  du  commerce  en  gros  :     Ø Achat  des  produits  auprès  d'un  fournisseur,  d'un  producteur  ou  d'un   importateur,  soit  directement  ou  par  l'intermédiaire  d'un  grossiste.   Ø Revente  de  la  marchandise  à  l'unité  ou  par  petite  quantité

montant accordé par les françaises à leurs achats de PAP -2,8% de ventes de PAP féminin par rapport à 2011 +0,3% de progression des prix moyens Distribution du prêt-à-porter féminin Les 3 circuits leaders 1. Les chaines spécialisées (Zara, H&M...) : 33,9% de PDM (-0,2% par rapport à 2011). 2. Le commerce de détail indépendant multimarques : 19,9% de PDM (-0,2%). 3. Les Grandes Surfaces Spécialisées à Grandes Diffusion : 10% de PDM (-0,1%). Les circuits qui maintiennent leur position