Fracture

l’immobilisation prolongés quelle qu’en soit la cause (maladie, traumatisme, long voyage…) ; les interventions chirurgicales et tout particulièrement les interventions orthopédiques, gynéco-obstétricales et carcinologiques ; les traumatismes : choc, fracture osseuse ; les troubles de la coagulation dus à des maladies héréditaires ; chez la femme, la contraception orale (pilule contraceptive), le traitement hormonal substitutif de la ménopause, la grossesse ; certaines maladies : cancers en particulier

Démarche clinique : Monsieur Paul Vincent Mr Paul, 20 ans est hospitalisé depuis le 15 février 2011 en service spécialisé en rééducation fonctionnelle à cause d'une paraplégie flasque, complète et définitive suite à la fracture luxation de la 12e vertèbre thoracique survenue lors d’une chute sur le dos dans un skate parc. Dans son histoire de vie, on note que Monsieur Paul est actuellement en 2e année de médecine et qu'il possède le permis de conduire. Il vit en colocation dans un appartement

inférieur. Cas de l'épiphysiolyse aiguë : La maladie se manifeste douleur brutale (parfois après une chute), accompagnée dune impotence fonctionnelle totale, et d'une hanche fixée en rotation externe et très douloureuse. Le tableau fait penser à une fracture du col du fémur. Quels sont les examens à réaliser ? Le bilan radiographique :  Bascule du noyau céphalique sous la ligne de Klein (en vert sur l'image de dessous)  Diminution de la hauteur du noyau céphalique  Ostéoporose métaphysaire interne

entraînements trop rapprochés sans respecter la phase de récupération. • Risque de ne pas augmenter la performance : des entraînements trop éloignés ne respectant pas le potentiel de la surcompensation. • Risque d’accident musculaire, tendineux, voire fracture osseuse à cause du manque de la période 3. Le plan d’entraînement Le plan d'entraînement peut devenir complexe, si on tient compte des charges d’effort d’endurance, de résistance et/ou de force. La longueur et l’intensité des séances jouent

contention et en lui laissant les jambes pendantes (installation de tabouret) Le FR est un traumatisme pour la personne soignée (symbole du handicap) ; celui-ci doit être adapté à la taille de la personne ; l’alléger au maximum. ATTENTION : en cas de fracture osseuse (plaques, vis) il y a 3 mois de consolidation. ---obtenir l’autonomie dans la toilette et l’habillage A travers la douche ; douche en position assise sur une chaise type « jardin » ; les personnes sont recouchées pour l’habillage. Travail

Démarche clinique Mme C Mme C Jeanne, 92 ans, a été admise en service de traumatologie orthopédie après une ostéosynthèse avec pose d’un clou de Steinmann il y a 12 jours. Cette opération est survenue après une fracture ouverte de la cheville droite qui s’est de plus, luxée. Nous ignorons les circonstances de son accident. Suite à l’intervention, Mme C a présenté un œdème important au niveau du pied opéré. Elle n’a pas rapporté de douleurs significatives, ce qui laisse penser que les traitements

basketball. ¤ 31% au football. ¤ 25% au volleyball. Différentes entorses, différents endroits : Entorse LLE : ¤ Lésion la plus fréquente. ¤ Majoritairement faisceau antérieure du LLE. Entorse LLI : ¤ Lésions rares. ¤ Très souvent associée à une fracture bimalléolaire. Entorse externe de la cheville : Il s’agit d’un traumatisme en supination. Sensation de rupture, souvent perçue par le blessé. Douleur aigüe constante. Sensibilité douloureuse en avant de la malléole externe. Une tuméfaction

voire même contre-indiquer l’opération. L'intervention En dépit des soins et prévention, certains accidents ou incidents peuvent se produire au cours de l’opération prévue. Il faut citer: La blessure de tissus voisins (muscles, tendons). Une fracture des os du pied par une ostéoporose et chez le sujet âgé. Elle peut justifier une ostéosynthèse ou une décharge prolongée. La blessure de nerfs qui peut entraîner, même après reprise chirurgicale, des troubles durables tels des douleurs irradiées

contention celui-ci me propose de le faire moi-même pour l'une des patiente. Madame F a 88 ans. Elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer. Elle a des antécédents de vertiges mais sans précision et de diabète. Elle a subit une hystérectomie totale et une fracture fémorale en octobre 2010. Elle mesure 1m55 pour 44kg. Ces dernier temps Madame F a inverser son rythme de sommeil donc elle dort la journée et déambule la nuit. Elle a fait récemment une phlébite ce qui a nécessité la pose de bande de contention

garrot doit être visible et noter heure de la pose du garrot. Le risque du garrot est l’accumulation de toxines qui se propagent dans le corps lors du relâchement garrot. Le garrot doit être posé en première intention s’il y a des corps étrangers ou fracture ouverte. -Evaluer les pertes -Si épitaxie (saignement nez) : moucher pour enlever caillot, pencher la tête en avant et sucer des glaçons qui valorise la vasoconstruction. -Si otorragie (saignement oreilles) : laisser l’écoulement -Si hématémèse