François Boucher

des aliments sont détectées par des terminaisons nerveuses. L’ouïe : Elle peut contribuer au plaisir alimentaire pour certains aliments. Par exemple, le craquant d’une baguette de pain avant de la manger. Le gout : Il est perçu au niveau de la bouche : Les papilles gustatives de la langue détectent les saveurs sucrées, acides, amères, salées et umami. Les dents renseignent sur la texture des aliments (croquant d’un biscuit, tendresse de la viande…) Il est perçu au niveau des cellules olfactives :

exaspéré avant de se lever en ayant l'intention de recevoir ses ordres. Il n'avait pas de temps à perdre à s'occuper d'un morveux qui n'avait même pas un quart de siècle. -Vous avez quel âge ? Demanda le Louis. -150 ans. Il ignora complètement la bouche fine qui dégringola sous le choc et se dirigea vers la toilette et ferma la porte. Il se mit alors sous la douche en se lavant efficacement. Etrange gamin. L'alpha n'avait toujours pas eu envie de sang. Qu'est-ce que cela voulait bien pouvoir dire

dissonant. Alice Schäfer ouvrit les yeux avec difficulté. La lumière du jour naissant l’aveuglait, la rosée du matin poissait ses vêtements. Trempée de sueur glacée, elle grelottait. Elle avait la gorge sèche et un goût violent de cendre dans la bouche. Ses articulations étaient meurtries, ses membres ankylosés, son esprit engourdi. Lorsqu’elle se redressa, elle prit conscience qu’elle était allongée sur un banc rustique en bois brut. Stupéfaite, elle découvrit soudain 7/281 qu’un corps

mettait à hurler de dégoût. « Enfants de pute, virez-moi ça, c'est un Noir ! Le type y allait de sa protestation. - Non, monsieur, je vous jure... » Mais ça ne servait à rien. Il repartait plein d'amertume, un billet de cent dollars scotché sur la bouche, incapable de comprendre qu'il était tombé du bon côté et que l'horreur attendait les rescapés surpayés de la sélection. L'aveugle habitait un château construit à flanc de colline, à quelques kilomètres de Westwood, et toute la communauté vivait

vascularisée, dont le rôle est de réchauffer, d'humidifier et de débarrasser de ses impuretés l'air qui y chemine. Orifice postérieur : choane, débouchant dans le pharynx. B) Le pharynx Carrefour des voies aériennes et digestives : communication bouche => œsophage et fosses nasales => larynx. Trois étages : - supérieur ou rhino-pharynx où s'ouvrent les choanes ainsi que la trompe d'Eustache (communication avec oreille moyenne). - moyen (ou buccal) où s'ouvre la cavité buccale. - inférieur

provoquée par l’irritation du nerf qui stimule les glandes salivaires. - Les glandes salivaires produisent davantage de salive pour recouvrir l’oesophage afin de le protéger contre les brûlures d’estomac. Cet excès de salive sert également à protéger la bouche et la gorge des irritations provoquées par les vomissements fréquents durant la grossesse. - Les femmes qui souffrent de nausées et vomissements évitent très souvent d’avaler leur salive provoquant une hypersalivation. - Les angoisses liées à la

trente-cinq ans [et est de] taille moyenne. [Il a] les épaules fortes, [le] visage presque rectangulaire, les yeux sombres et droits, mais les mâchoires saillantes. [Son] nez [est] fort et régulier. [Ses] cheveux noirs [sont] coupés très court. La bouche est arquée avec des lèvres pleines et presque toujours serrées. Il a un peu l’air d’un paysan Sicilien avec sa peau cuite, son poil noir et ses vêtements de teintes toujours foncées, mais qui lui vont bien. […] [Il est] toujours nu-tête [et a] l’air

ciliature somatique, qui recouvre la cellule et bat de façon synchronisée, lui permet de se déplacer. Une ciliature orale distincte couvre la grande invagination ventrale en forme d'entonnoir, le péristome, qui mène jusqu'au cytostome (la bouche). Elle se nourrit essentiellement de bactéries par phagocytose. La paramécie vit isolée en eau douce. Elle fait partie des « infusoires » des anciens auteurs : elle apparaît en grand nombre dans les infusions de végétaux, rendant sa culture

possible du palais pour produire ce son. Dans le cadre de notre poème, on peut donc avoir l’impression que le narrateur a, au départ de son énoncé, de la peine à sortir pleinement les mots de sa bouche et que au fur et à mesure que l’action se passe et qu’il finit par capituler face au destin, la bouche s’ouvre, le son se fait plus fort jusqu’à s’affaiblir à nouveau au dernier vers avec « A ce qu’a préd[i]t la tz[i]gane ». Autre répétition de ce genre aux vers 5 et 6 avec le son /u/ transcrit dans :

soupirs» ou encore “Fut jeté dans un trou comme un chien crevé, après avoir été éventré par un boulet et piétiné, écrasé, mis en bouillie par les charges de cavalerie.” Guernica illustre parfaitement la douleur du peuple : tous les personnages ont la bouche ouverte afin d'exprimer l'effroi,la terreur et la douleur. Comme le personnage brûlé vif à droite du tableau qui exprime la souffrance et le désaroi par ses yeux en forme de larmes ainsi que son visage qui est tourné vers le ciel avec les bras levés